Lisez! icon: Search engine
Saveur du temps
Chroniques du temps qui passe
Date de parution : 21/10/2010
Éditeurs :
Pocket

Saveur du temps

Chroniques du temps qui passe

Date de parution : 21/10/2010

« La culture n'est ni un exercice d'archives, ni une affectation de sérieux, ni une invitation à suivre des sentiers fléchés d'avance, avec obligation de rire là et d'admirer ici. C'est...

« La culture n'est ni un exercice d'archives, ni une affectation de sérieux, ni une invitation à suivre des sentiers fléchés d'avance, avec obligation de rire là et d'admirer ici. C'est d'abord un plaisir. À chacun de le prendre où il veut. »
À la manière d'un cabinet de curiosités, Saveur du temps...

« La culture n'est ni un exercice d'archives, ni une affectation de sérieux, ni une invitation à suivre des sentiers fléchés d'avance, avec obligation de rire là et d'admirer ici. C'est d'abord un plaisir. À chacun de le prendre où il veut. »
À la manière d'un cabinet de curiosités, Saveur du temps rassemble des chroniques de 1948 à aujourd'hui. Coups de cœur ou de griffes, panégyriques et traits d'humeur : c'est, avec ici ou là un rien d'inquiétude, un livre de ravissement et d'admiration.
Portrait de notre société, éloge des géants, clin d'œil affectueux au sempiternel héros de l'enfance, Arsène Lupin, ou à la renversante Édith Piaf, ces textes continuent, des années après leur première publication, de nous transporter tout à la fois hors du temps et au cœur de notre temps.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266203319
Code sériel : 14412
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266203319
Code sériel : 14412
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fanfan50 22/01/2021
    Je viens de lire ces chroniques dans l’édition A vue d’œil et ce fut un vrai plaisir. Jean d’Ormesson y fait l’apologie de la belle littérature autant ancienne que plus récente. Il émaille son texte de beaucoup de citations de grands écrivains tels que Hugo, Zola, Cioran, Gide, Péguy, Wilde, Dutourd, Sollers, Borges… qui eux aussi défendent les belles lettres. Il évoque également des personnages qui ont fait preuve d’un grand courage : Sadate, le courage de la paix – Camp David était une formidable aventure qui s’est soldée par l’assassinat du raïs égyptien. Simone Veil qui fut la sixième femme à entrer à l’académie française après Marguerite Yourcenar, Jacqueline de Romilly, Hélène Carrère d’Encausse, Florence Delay et Assia Djebar. Il évoque la grande figure que fut pour la France le Général de Gaulle. De Gaulle vu par Jean Mauriac dans son ouvrage : Conversation avec Jean-Luc Barré. Il nous cite Benjamin Constant : « Que l’Etat se contente d’être juste. Nous nous chargeons d’être heureux. » C’est ce à quoi nous aident puissamment nos grands écrivains : leur lecture nous rendra plus heureux, au moins un instant, le temps d’une belle lecture. L’actualité est si triste.
  • Stefy89 28/07/2020
    J'ai adoré le premier volet, le second je trouve l'histoire avec beaucoup de longueur et de répétition.
  • Rhadamante 07/12/2019
    Il y a deux ans et deux jours disparaissait un grand esprit du XXème siècle, symbole de la causerie littéraire comme on n'en fait plus : Jean D'Ormesson. Je le voyais dans différentes émissions : Ruquier, Ardisson et son esprit et son érudition me fascinait. Certes je n'étais pas né quand il était directeur du Figaro, je n'aurais peut-être pas apprécié le personnage. Saveurs du temps reprend différents articles écrits, notamment dans le Figaro, où Jean d'Ormesson évoque la littérature. Là où le bât blessé, c'est que les articles se montrent inégaux. Les articles montrent une epoque révolue et qui ne peuvent pas parler aux jeunes. C'est dommage. Toutefois, par nostalgie et pour se rappeler comment était cet homme, (re)lisez ce livre !
  • michelangelo 10/12/2013
    Jean d'Ormesson a le chic pour nous passionner avec ses souvenirs. C'est surtout qu'il ouvre à une réflexion forte, parfois désabusée, souvent drôle, sur ces petits travers de nos grands, passés ou présents, et nous délivre une forme de vérité sur ce monde complexe qui est le nôtre. Les articles présentés sont issus de textes parus dans la presse à partir de 1948 mais restent pleinement d'actualité.
  • gill 31/10/2012
    Le plus grand talent de Jean d'Ormesson est peut-être de s'adresser à son lecteur comme s'il était seul à le lire, comme s'il s'agissait d'une conversation au coin du feu ou autour d'une bonne bouteille, dont on lui aurait, en homme de goût reconnu, laissé le choix. Jean d'Ormesson est un illustre homme de lettres, un écrivain surdoué et un homme de culture mais lorsque le plaisir de la lecture de ce passionnant recueil laisse la place à la réflexion, alors, son auteur se révèle surtout comme un conteur. Il nous fait le récit de la littérature, de celle qu'il aime passionnément, celle de Jules Romains, de François Mauriac, de Chateaubriand, de Michel Mohrt, de Montherlant, de Maurice Leblanc et de tant d'autres auteurs talentueux. Cet ouvrage, pourtant très érudit, a l'élégance de la simplicité. Son propos est de donner à tous l'amour des lettres et l'on pardonnera, aisément, à Jean d'Ormesson ce côté, aristocrate cabotin, qui souvent derrière le petit écran vient cacher l’Écrivain - Puisse-t-il me pardonner à mon tour, ce ton si familier qu'il me vient soudain - mais depuis "Apostrophe" dans mes jeunes années, il me vient souvent à l'idée que Mr d'Ormesson a été dans ma vie mon meilleur professeur de littérature.Le plus grand talent de Jean d'Ormesson est peut-être de s'adresser à son lecteur comme s'il était seul à le lire, comme s'il s'agissait d'une conversation au coin du feu ou autour d'une bonne bouteille, dont on lui aurait, en homme de goût reconnu, laissé le choix. Jean d'Ormesson est un illustre homme de lettres, un écrivain surdoué et un homme de culture mais lorsque le plaisir de la lecture de ce passionnant recueil laisse la place à la réflexion, alors, son auteur se révèle surtout comme un conteur. Il nous fait le récit de la littérature, de celle qu'il aime passionnément, celle de Jules Romains, de François Mauriac, de Chateaubriand, de Michel Mohrt, de Montherlant, de Maurice Leblanc et de tant d'autres auteurs talentueux. Cet ouvrage, pourtant très érudit, a l'élégance de la simplicité. Son propos est de donner à tous l'amour des lettres et l'on pardonnera, aisément, à Jean d'Ormesson ce côté, aristocrate cabotin, qui souvent derrière le petit écran vient cacher l’Écrivain - Puisse-t-il me pardonner à mon tour, ce ton si familier qu'il me vient soudain - mais depuis "Apostrophe" dans mes jeunes années, il me vient souvent à l'idée que Mr d'Ormesson a été dans ma vie...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.