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Se résoudre aux adieux
Date de parution : 23/03/2022
Éditeurs :
Pocket

Se résoudre aux adieux

Date de parution : 23/03/2022

Se refusant au silence, Louise écrit à cet homme qui l’a quittée pour une autre. De longues lettres d’exil, de Cuba, New York et Venise, loin des souvenirs des temps heureux. Des lettres poignantes, laissées sans réponses, mais qui donnent voix aux blessures et empêchent le passé d’expirer dans l’oubli. Pour pouvoir, au bout des mots, réapprendre à vivre et se résoudre aux adieux. 

EAN : 9782266175784
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 160
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266175784
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 160
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Encore une fois, la magie bessonienne fait mouche. Comme son héroïne, l'auteur des Jours fragiles et d'Un instant d'abandon cisèle le détail, ausculte les passions, trouve les mots justes. » 
Marianne Payot / L'Express
« Un roman qui se lit d'une traite, le coeur serré, et qui nous ouvre les portes de l'intime douleur d'une séparation. »
Zoé Gil / Librairie Decitre Confluence

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • OSolal 04/03/2024
    Comme toujours, la belle écriture de Besson est au rendez-vous, ainsi que l’évocation de sentiments, des ressentis, des vécus parfois difficile ou douloureux… C’est ce qui m’a plu. Pour le reste, je n ai pas ressenti d’émotions ou étais emporté par l’histoire comme ce fut le cas pour d’autres romans de cet auteur…
  • roxymusic 25/02/2024
    Clément a quitté Louise. Pour survivre à cet événement, Louise décide de partir loin, là où elle ne comprendrait pas la langue et les usages. Peut être pour se retrouver, mais sûrement plus pour se perdre dans sa douleur. Nous vivons, au travers des courriers que Louise écrit à Clément, sa douleur, ses émotions. Roman épistolaire à sens unique, on regarde Louise se debattre avec cette rupture et son passé. Charmant, mais je ne suis pas parvenue a entrer dans l´esprit de Louise.
  • MesCarnetsLitteraires 06/02/2024
    Ce roman, c'est l'histoire d'une femme meurtrie, quittée, qui tente de faire le deuil de son histoire d'amour et de se reconstruire par l'exil. Cet exil va la conduire dans différents lieux du globe, à La Havane, New York, Venise, Paris, en passant par l'Orient-Express. Lors de ses voyages, elle va écrire à son ex-compagnon. Des lettres restées sans réponses mais qui sonnent comme un exutoire, une délivrance par les mots. Elle lui livre (et donc aussi à nous, lecteurs) ses pensées, ses sentiments, mais également les paysages et les rencontres de cette épopée solitaire. C'est beau, touchant, délicat, sensible. Du grand Philippe Besson à l'état pur ! J'aime toujours autant sa plume qui me transporte à chaque fois. Il peut me raconter n'importe quoi, je reste toujours subjuguée par ses mots...
  • Jarseno 06/01/2024
    Ce qui m'impressionne le plus chez Besson, c'est son talent incroyable pour toujours réussir à se réinventer à chacun de ses romans. C'était mon cinquième roman de cet auteur et je suis toujours aussi fascinée par sa polyvalence. Louise, journaliste pour un journal, est quittée par Clément, qui choisit finalement de rester avec sa femme, après avoir eu une liaison de plusieurs années avec Louise comme amante. Suite à cette rupture très difficile, Louise décide de partir ailleurs pour tenter de guérir son grand amour blessé pour Clément. Le roman est constitué de toutes les lettres que Louise va lui écrire tout au long de son voyage à l'étranger, afin de tenter de lui décrire sa souffrance, ses émotions et ses pensées pour tenter de l'oublier, de l'exorciser d'elle. Une peine d'amour incommensurable. C'est sans aucun doute la plus longue lettre d'amour qu'il m'ait été donné de lire. Une lettre d'adieux de 156 pages, il faut quand même le faire. Impressionnant! Ce n'est pas mon préféré de Besson, mais j'ai quand même passé un très bon moment de lecture.
  • natn 27/05/2023
    Un très court roman de Philippe Besson qui prend pour narrateur, une narratrice et les lettres qu’elle envoie à Clément, ou qu’elle écrit pour elle puisqu’elle sait qu’il ne lui enverra pas de réponse. C’est un livre d’intimité, qui respire l’amour incontrôlable, pas de passion violente, non, mais l’inconditionnel. Louise aime Clément, qui lui vit avec une autre femme. Ils se font « des week-ends en semaine » et par deux fois, Clément a tenté de vivre avec Louise quelques mois, puis est retourné auprès de sa compagne officielle. Alors Louise fuit. De la Havane, New-York, Venise, l’Orient express puis Paris. Au fil de ses lettres nous découvrons son amour, les lâchetés, les beaux moments, son aveu d’avoir rencontré la compagne même pas détestée mais pas seulement. Nous sommes à la Havane, sa chaleur, ses voitures, ses maisons décrépites, New-York et son bruit permanent, Venise et ses senteurs humides si lourdes, l’orient express et sa lenteur et puis Paris, le retour. C’est un beau voyage au cœur de sentiments qui pour moi peuvent être féminin ou masculin, peu importe, celui d’aimer et de n’y être pas assez en retour et d’en souffrir jusqu’aux os. Clément n’est pas un pervers, un maltraitant, juste un indécis et Louise une amoureuse en désespoir. Beaucoup de pudeur, de sensibilité, d’amour dans ce livre. Un très court roman de Philippe Besson qui prend pour narrateur, une narratrice et les lettres qu’elle envoie à Clément, ou qu’elle écrit pour elle puisqu’elle sait qu’il ne lui enverra pas de réponse. C’est un livre d’intimité, qui respire l’amour incontrôlable, pas de passion violente, non, mais l’inconditionnel. Louise aime Clément, qui lui vit avec une autre femme. Ils se font « des week-ends en semaine » et par deux fois, Clément a tenté de vivre avec Louise quelques mois, puis est retourné auprès de sa compagne officielle. Alors Louise fuit. De la Havane, New-York, Venise, l’Orient express puis Paris. Au fil de ses lettres nous découvrons son amour, les lâchetés, les beaux moments, son aveu d’avoir rencontré la compagne même pas détestée mais pas seulement. Nous sommes à la Havane, sa chaleur, ses voitures, ses maisons décrépites, New-York et son bruit permanent, Venise et ses senteurs humides si lourdes, l’orient express et sa lenteur et puis Paris, le retour. C’est un beau voyage au cœur de sentiments qui pour moi peuvent être féminin ou masculin, peu importe, celui d’aimer et de n’y être pas assez en retour et d’en souffrir jusqu’aux os. Clément n’est pas un pervers, un...
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