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Seuls les enfants savent aimer
Date de parution : 21/02/2019
Éditeurs :
Pocket
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Seuls les enfants savent aimer

Date de parution : 21/02/2019
Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l’amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir...
Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l’amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l’amour s’en va.
Seuls les enfants meurent d’amour.
Seuls les enfants jouent leur cœur à chaque instant,...
Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l’amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l’amour s’en va.
Seuls les enfants meurent d’amour.
Seuls les enfants jouent leur cœur à chaque instant, à chaque souffle.
À chaque seconde le cœur d’un enfant explose.
Tu me manques à crever, maman.
Jusqu’à quand vas-tu mourir ?

« Une émotivité démaquillée qui fait le sel de ses chansons. Cali nous émeut. Une fois de plus. » Sophie Delassein – L’Obs

« Cali a le don de nous secouer. » Alice Develey – Le Figaro

« La lettre d’amour d’un petit garçon à sa mère. » Le Dauphiné libéré
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EAN : 9782266287760
Code sériel : 17356
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 176
Format : 108 x 177 mm
Pocket
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EAN : 9782266287760
Code sériel : 17356
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 176
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Seuls les enfants savent aimer est un livre cathartique qui montre qu’après la perte, les amis, la famille et l’amour demeurent, eux, éternels. » Le Figaro
« Autour du souvenir sublime de la disparue, sa beauté, sa douceur, Cali raconte merveilleusement la vie d’un enfant du pays » L’Obs
« Une émotivité démaquillée qui fait le sel de ses chansons. Cali nous émeut. Une fois de plus. » Sophie Delassein, L’Obs
« Un faux roman tendre et attachant. » Marianne
« Cali parvient à faire ressentir au lecteur la stagnation du chagrin et les joies possibles, faramineuses, qui coexistent. » Libération
« La lettre d’amour d’un petit garçon à sa mère » Le Dauphiné libéré
« Magnifique. » Femme actuelle
 « Cali a le don de nous secouer. » Alice Develey, Le Figaro
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LaetiF 24/09/2022
    Le démarrage est terriblement triste puisque les premières lignes relatent l'enterrement d'une jeune trentenaire, vu par son fils de 6 ans, interdit de cérémonie car trop jeune... Ce sera donc un livre sur le deuil, celui qui brise une famille, qui casse une enfance trop tôt. L'écriture est poétique et rythmée : des phrases courtes, des mots bien choisis, on reconnaît bien là l'auteur de chansons. Cali s'adresse à sa maman et lui raconte sa vie après sa mort. Trop émotive, trop touchée par l'histoire et la sensibilité qui s'en dégage, je préfère abandonner (p57) cette lecture pour quelques temps. J'y reviendrai à un meilleur moment...
  • Nastie92 31/03/2022
    Un petit garçon de six ans perd sa maman et son monde s'écroule. Sa vie bascule. Ce petit garçon, c'est Bruno, du moins dans le livre. Dans la vraie vie, c'est l'auteur. Cali a su exprimer avec des mots simples la profondeur de la blessure, l'intensité de la détresse. Il arrive à nous faire sentir, voire ressentir, tout le désarroi de ce petit garçon. Au-delà de cette faille qui l'engloutit, Cali nous parle de l'enfance, et j'ai trouvé qu'il en parlait plutôt bien. L'enfance, cette période de grande fragilité où ce qui apparaît parfois sans importance aux yeux des adultes prend des proportions gigantesques. Où tout se vit très intensément, en positif comme en négatif. Une maman, c'est important pour traverser ces années tourbillonnantes et pour bien grandir. Bruno n'a plus la sienne, alors il se débrouille avec ce (et ceux) qu'il a sous la main. Ce texte, écrit très simplement, n'est pas de la grande littérature, mais Cali a gardé son âme d'enfant et se glisse parfaitement dans la peau de Bruno. La justesse de Cali rend Bruno extrêmement touchant et ce court roman bien émouvant.
  • DOMS 16/03/2022
    Alors qu’il a 6 ans, le jeune Bruno voit sa vie basculer avec la mort de sa mère, une jeune femme de trente-trois ans. Bien sûr, il y avait des semaines qu’elle luttait contre la maladie, qu’elle était partie à l’hôpital, mais elle était revenue à la maison. « Tu es revenue. Pour partir à jamais. » Une plaie ouverte qui ne se refermera pas. Il n’a pas été autorisé à accompagner à son enterrement celle qu’il aime par-dessus tout, qui compte tant pour lui, trop jeune, trop fragile. C’est dans une pièce obscure de la maison qu’il va deviner, inventer, la mise en terre, les adieux, pourtant passage quasi obligé pour la plupart des vivants pour arriver à faire son deuil de celui qui part. Un amour filial dont personne dans la famille n’a su prendre la mesure. Des années après, celui qui s’appelle pour nous tous Cali, va enfin écrire, avec les mots du petit garçon de cette époque, la perte, le chagrin, les évènements qui ont bouleversé son horizon, pendant les mois qui vont suivre le deuil. Un père qui meurt peu à peu de l’absence et sera plus souvent au café qu’à la maison, une grande sœur qui tente tant... Alors qu’il a 6 ans, le jeune Bruno voit sa vie basculer avec la mort de sa mère, une jeune femme de trente-trois ans. Bien sûr, il y avait des semaines qu’elle luttait contre la maladie, qu’elle était partie à l’hôpital, mais elle était revenue à la maison. « Tu es revenue. Pour partir à jamais. » Une plaie ouverte qui ne se refermera pas. Il n’a pas été autorisé à accompagner à son enterrement celle qu’il aime par-dessus tout, qui compte tant pour lui, trop jeune, trop fragile. C’est dans une pièce obscure de la maison qu’il va deviner, inventer, la mise en terre, les adieux, pourtant passage quasi obligé pour la plupart des vivants pour arriver à faire son deuil de celui qui part. Un amour filial dont personne dans la famille n’a su prendre la mesure. Des années après, celui qui s’appelle pour nous tous Cali, va enfin écrire, avec les mots du petit garçon de cette époque, la perte, le chagrin, les évènements qui ont bouleversé son horizon, pendant les mois qui vont suivre le deuil. Un père qui meurt peu à peu de l’absence et sera plus souvent au café qu’à la maison, une grande sœur qui tente tant bien que mal de pallier au manque en faisant les tâches ménagères de cette mère disparue, la famille qui ne trouve rien de mieux que de détruire toute trace de celle qui est décédée, en brulant tout, scène marquante du roman j’avoue. Puis il y a l’école, Carole, celle qui focalise tous les sentiments de Bruno, son amour sans retour, Alec, le meilleur ami, celui des secrets, des bêtises, des câlins aussi, enfin le départ en colonie, comme une punition suprême, un éloignement de plus du lieu où repose sa mère. Des souvenirs forts pour l’enfant qui sont tantôt écrits avec le langage du petit garçon, tantôt avec celui du poète, mais qui du coup tiennent également le lecteur à distance de la douleur. chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2018/05/21/seuls-les-enfants-savent-aimer-cali/
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  • Kristof_95 09/03/2022
    [masquer] Seuls les enfants savent aimer Cali 05 03 2022 09 03 2022 Récit autobiographique de Bruno Caliciuri, alors âgé de 6ans. Il vit à Vernet-les-Bains, près de Perpignan, avec son papa, son grand frère et ses deux grandes sœurs. Grands parents, oncles et tantes vivent aussi dans le village. Le bonheur, jusqu'à la mort de sa maman, à 33ans, malade du cancer. Ils sont dévastés, Bruno n'accepte pas sa disparition, le papa se met à boire. Le foyer se meurt. Bruno continue à aimer, d'abord sa famille, notamment ses grands mères. Il rêve que Carole, camarade de classe, partage son amour. En cours d'année, arrive Alec dans la classe. Immédiatement ils deviennent amis et même amoureux. Bruno passe beaucoup de temps chez ce beau garçon. Un second foyer, il demande à la maman d'Alec de devenir aussi la sienne. Pour les grandes vacances Bruno est envoyé en colonie malgré sa volonté. Il décide alors de ne pas dire un mot de tout le séjour, il s'y tient. Vers la fin il s'en prend violemment à un garçon car il croit que celui-ci a déchiré la photo fétiche de sa maman. Bruno est renvoyé chez lui. De retour au village il retrouve Alec. L'expression directrice du récit : "Jusqu'à... [masquer] Seuls les enfants savent aimer Cali 05 03 2022 09 03 2022 Récit autobiographique de Bruno Caliciuri, alors âgé de 6ans. Il vit à Vernet-les-Bains, près de Perpignan, avec son papa, son grand frère et ses deux grandes sœurs. Grands parents, oncles et tantes vivent aussi dans le village. Le bonheur, jusqu'à la mort de sa maman, à 33ans, malade du cancer. Ils sont dévastés, Bruno n'accepte pas sa disparition, le papa se met à boire. Le foyer se meurt. Bruno continue à aimer, d'abord sa famille, notamment ses grands mères. Il rêve que Carole, camarade de classe, partage son amour. En cours d'année, arrive Alec dans la classe. Immédiatement ils deviennent amis et même amoureux. Bruno passe beaucoup de temps chez ce beau garçon. Un second foyer, il demande à la maman d'Alec de devenir aussi la sienne. Pour les grandes vacances Bruno est envoyé en colonie malgré sa volonté. Il décide alors de ne pas dire un mot de tout le séjour, il s'y tient. Vers la fin il s'en prend violemment à un garçon car il croit que celui-ci a déchiré la photo fétiche de sa maman. Bruno est renvoyé chez lui. De retour au village il retrouve Alec. L'expression directrice du récit : "Jusqu'à quand vas tu mourir? " Cali écrit principalement en s'adressant à sa maman. Il écrit à la première personne mais avec une prose d'adulte. Ce qui donne beaucoup de maturité au petit Bruno. On fait le lien avec Cali qu'on connaît adulte. C'est intéressant de voir que la force de caractère et la sensibilité du jeune Bruno se retrouve dans le grand Cali. Lecture rapide pour un texte court, aéré et rythmé. J'ai beaucoup aimé car c'est émouvant sans être larmoyant. J'ai aussi aimé que le récit soit simple et direct pour dévoiler une histoire extrêmement intime. [/masquer]
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  • nathavh 22/01/2022
    C'est le premier roman de Cali publié en 2018, resté trop longtemps perdu dans ma gargantuseque pile à lire. Un texte en majeure partie autobiographique, touchant, émouvant. Bruno a 6 ans lorsque Mireille sa maman disparaît beaucoup trop tôt - à peine 33 ans - emportée par la maladie. Jugé trop jeune, il n'assistera pas à l'enterrement de la maîtresse d'école de Vernet les Bains. Ce récit, c'est un cri d'amour, de manque d'un petit garçon qui pendant huit mois va s'adresser à celle trop tôt disparue, il va lui raconter sa vie, son quotidien et exprimer son manque, sa colère. C'est beau, émouvant, ça remue les tripes. L'écriture est touchante, poétique, sensible. Comment est-il possible de vivre sans amour maternel, sans pouvoir s'accrocher à ses souvenirs matériels car au lendemain de son enterrement tout, absolument tout a été réduit en cendres. Oh l'amour il est là bien entendu, il a sa famille, son frère, ses soeurs, ses grands-parents mais il ne reverra plus jamais la robe jaune à carrés orange et le sourire de sa maman. Comment se reconstruire ? Dans ce roman il raconte le vide, la peur de perdre ses proches, la peur de la mort. Heureusement la vie est faite de rencontres... C'est le premier roman de Cali publié en 2018, resté trop longtemps perdu dans ma gargantuseque pile à lire. Un texte en majeure partie autobiographique, touchant, émouvant. Bruno a 6 ans lorsque Mireille sa maman disparaît beaucoup trop tôt - à peine 33 ans - emportée par la maladie. Jugé trop jeune, il n'assistera pas à l'enterrement de la maîtresse d'école de Vernet les Bains. Ce récit, c'est un cri d'amour, de manque d'un petit garçon qui pendant huit mois va s'adresser à celle trop tôt disparue, il va lui raconter sa vie, son quotidien et exprimer son manque, sa colère. C'est beau, émouvant, ça remue les tripes. L'écriture est touchante, poétique, sensible. Comment est-il possible de vivre sans amour maternel, sans pouvoir s'accrocher à ses souvenirs matériels car au lendemain de son enterrement tout, absolument tout a été réduit en cendres. Oh l'amour il est là bien entendu, il a sa famille, son frère, ses soeurs, ses grands-parents mais il ne reverra plus jamais la robe jaune à carrés orange et le sourire de sa maman. Comment se reconstruire ? Dans ce roman il raconte le vide, la peur de perdre ses proches, la peur de la mort. Heureusement la vie est faite de rencontres et il y a un nouveau qui arrive à l'école; Alexandre Jolly, Alex, celui qui devient son ami pour la vie... c'est plus qu'un frère , ils sont liés par un serment. A la maison, c'est Sandra, sa soeur âgée de 12 ans qui s'occupe de tout, son père se terrant dans le travail et au bistrot pour chasser son chagrin. Bruno ressent cette infinie tristesse. La vie reprend vaille que vaille, il y a Carol à l'école, Mémé Pilar. Les séparations sont difficiles pour la colo de l'été, c'est toujours la peur au ventre, celle de l'abandon, de la mort. Un texte que j'ai dévoré, sensible, à fleur de peau, des mots sur les maux de l'enfance. C'est beau. Ma note : 9.5/10
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