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Sexe et dépendances
Françoise Jaouen (traduit par)
Date de parution : 06/09/2007
Éditeurs :
10/18

Sexe et dépendances

Françoise Jaouen (traduit par)
Date de parution : 06/09/2007

William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Mais lassé de cette vie sentimentale, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile, tant les tentations...

William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Mais lassé de cette vie sentimentale, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile, tant les tentations se multiplient. Contacté par de nouveaux clients en quête d'un appartement, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès...

William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Mais lassé de cette vie sentimentale, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile, tant les tentations se multiplient. Contacté par de nouveaux clients en quête d'un appartement, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Mais la façade ne tarde pas à se lézarder...

« Drôle, mais aussi noir sur les problèmes inhérents à l’âge mûr et à la vie de couple, Sexe et dépendances confirme le talent satirique de son auteur. »
Alexandre Fillon, Livre Hebdo

Traduit de l'américain
par Françoise Jaouen

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EAN : 9782264045881
Code sériel : 3994
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264045881
Code sériel : 3994
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Humour narquois, sens de la formule et dialogues pétillants sont quelques uns des ingrédients qui font le charme des livres de Stephen McCauley. [...] Oscillant entre la comédie des mœurs et la comédie sociale, il élargit cette fois son registre et prouve qu'il n'est pas seulement un savoureux romancier, mais aussi un fin observateur de la société américaine. »
Christine Rousseau, Le Monde des livres

« McCauley, au meilleur et peut-être au plus proche de lui-même, trouve entre ironie et lucidité une petite place pour l'amour qui finit mal à Montréal. Ou peut-être bien. On ne doit pas rire avec n'importe qui, avec McCauley on peut, c'est du sérieux. »
Jean-Baptiste Harang, Libération

« McCauley n'a pas perdu son sens de l'humour, des formules qui font mouche [...]. Drôle, mais aussi noir sur les problèmes inhérents à l'âge mûr et à la vie de couple, Sexe et dépendances confirme le talent satirique de son auteur. »
Alexandre Fillon, Livres Hebdo

« Une fois de plus, McCauley s'amuse - et nous avec lui - à concocter une chronique sociale à la fois drôle et attachante qui nous rappelle l'essentiel en matière de petites annonces : qu'elles soient sentimentales ou immobilières, celles-ci doivent toujours être traitées de particulier à particulier. »
B. L., Lire

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • RawhideKid 01/12/2020
    Ecrit à coup de sarcasme. Premier McCauley que je lis mais j'imagine que c'est sa méthode d'écriture. Si ça marche pour une découverte, ça risque d'être redondant très rapidement si c'est comme ça dans tous ses romans. Le narrateur est un homme de 45 ans, agent immobilier, gay et avec une addiction au sexe facile et sans (trop) sentiment. Il passe son temps à juger la vie des autres, source inépuisable de remarques acerbes et drolatiques. Il a un seul ami, steward dans ce roman post-11 septembre, une locataire qui l'exploite, des collègues névrosés et il s'accroche à un couple voulant acheter une nouvelle maison. Après s'être rendu compte que ses aventures sexuelles quotidiennes avec des hommes dont il ne connaît même pas le nom ne le satisfont plus, il décide d'y mettre un terme. Evidemment, dès le premier soir, il replonge aussitôt. Les chapitres sont très courts, parfois pas plus de deux paragraphes, les phrases assez simples. Le style ne repose que sur le sarcasme et il le fait plutôt bien. Les personnages sont tous plus ou moins azimutés, ce qui fait qu'on ne s'ennuie pratiquement jamais malgré un côté répétitif dans la façon de faire.
  • VivianeB 21/08/2020
    Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en lisant ce livre et très vite, j'en ai aimé la prose directe et ironique du héros qui se raconte dans sa vie personnelle et professionnelle. Homosexuel, cet homme plutôt solitaire se révèle dans ce qu'il est de plus sincère et attachant, un homme à la recherche de l'amour et ouvert aux autres pour nouer des liens amicaux. Un livre somme toute un peu étrange mais d'une qualité littéraire bien réelle et intéressante pour nous faire découvrir un homme attachant.
  • jprathle 17/07/2019
    Ce roman de Stephen McCauley est absolument charmant : Sexe et dépendances donne envie d’en savoir un peu plus sur l’auteur. L’histoire est assez originale pour attirer l’attention et pourtant c’est la banalité, en tout cas la véracité des situations qui donne au roman son petit goût de revenez-y. Les personnages sont à la fois pathétiques et attachants, on peut tous se retrouver dans une ou plusieurs de leurs péripéties. L’écriture de McCauley est drôle, le trait est acerbe sans être méchant et le ton ironique qu’il prend pour parler de l’Amérique et de l’après 11 septembre révèle une approche très intéressante des situations. Car Sexe et dépendances est, comme son pitch ne l‘indique pas, une petite étude quasi sociologique de l‘Amérique contemporaine (bon, j‘exagère un peu mais à peine). Tous les personnages du roman ont été traumatisés par l’effondrement du Wall Trade Center et ils trouvent une activité dérivative. Pour certains comme William ce sera le sexe, d’autres comme Charlotte se noieront dans l’alcool tandis qu’une autre aura une frénésie de visite d’appartement. Et Stephen McCauley ne charge pas ses personnages, même si certains comme la locataire de William sont des caricatures ambulantes. Les dialogues sont franchement savoureux tandis que l’auteur ménage tout de même des moments de tendresse qui apparaissent de manière inattendue. Sexe et dépendances est une chronique franchement savoureuse, légère et sans prétention, à déguster avec plaisir.Ce roman de Stephen McCauley est absolument charmant : Sexe et dépendances donne envie d’en savoir un peu plus sur l’auteur. L’histoire est assez originale pour attirer l’attention et pourtant c’est la banalité, en tout cas la véracité des situations qui donne au roman son petit goût de revenez-y. Les personnages sont à la fois pathétiques et attachants, on peut tous se retrouver dans une ou plusieurs de leurs péripéties. L’écriture de McCauley est drôle, le trait est acerbe sans être méchant et le ton ironique qu’il prend pour parler de l’Amérique et de l’après 11 septembre révèle une approche très intéressante des situations. Car Sexe et dépendances est, comme son pitch ne l‘indique pas, une petite étude quasi sociologique de l‘Amérique contemporaine (bon, j‘exagère un peu mais à peine). Tous les personnages du roman ont été traumatisés par l’effondrement du Wall Trade Center et ils trouvent une activité dérivative. Pour certains comme William ce sera le sexe, d’autres comme Charlotte se noieront dans l’alcool tandis qu’une autre aura une frénésie de visite d’appartement. Et Stephen McCauley ne charge pas ses personnages, même si certains comme la locataire de William sont des caricatures ambulantes. Les dialogues sont franchement savoureux tandis...
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  • zagzaguel 16/08/2015
    McCauley nous fait part de ses thèmes de prédilection comme la procrastination ou la désillusion. En effet, son personnage principal, William, aspire à une vie meilleure et plus saine, mais n'arrive pas à sortir de la spirale infernale des vices de sa vie. C'est grâce à un couple qu'il rencontre dans le cadre de son travail et qu'il admire, ainsi que certain de ses amis, qu'il prend conscience que tout ce dont il avait besoin était devant ses yeux depuis le début (un classique direz-vous!) Une fin convenue que l'on voit arriver dès le début, mais ce qui est amusant c'est de savoir comment William finira par s'en rendre compte. J'ai passé un bon moment, même si ce n'est pas le meilleur roman de cet auteur.
  • gege255 17/07/2013
    Voilà un petit moment que ce roman, d'un auteur dont j'ai lu les précédents livres il y a environ dix ans, traînait dans ma PAL ! J'avais tellement adoré l'ironie de Stephen McCauley que m'y remettre me faisait craindre une déception .. Mais le romancier, avec son héros semi-passif, doué pour prendre des décisions et surtout pour ne pas les appliquer, sa description du désenchantement de la quarantaine (sur fond de 11 septembre et de paranoïa générale) m'a de nouveau emballée.. Si la fin est un Chouïa convenue, certaines scènes sont d'anthologie : Son "amie" ex- militaire voulant vendre son appartement avec ses beaux principes, ses rencontres internet décevantes mais addictives, ses clients dont la vie privée se lit comme un livre ouvert simplement par leurs exigences... C'est drôle et plutôt finement trouvé.. Et au risque de me faire incendier (mais ce n'est qu'une question de goût), je préfère McCauley à Maupin auquel on l'a si souvent comparé..
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