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Silver Spoon - La cuillère d'argent - tome 02
Fabien Vautrin (traduit par), Maiko_O (traduit par)
Collection : Silver Spoon - La cuillère d'argent
Date de parution : 11/04/2013
Éditeurs :
Kurokawa

Silver Spoon - La cuillère d'argent - tome 02

Fabien Vautrin (traduit par), Maiko_O (traduit par)
Collection : Silver Spoon - La cuillère d'argent
Date de parution : 11/04/2013
L’histoire de Silver Spoon vous fera découvrir la vie au sein d’un lycée agricole à travers ses personnages attachants et une narration sans faille !

Après avoir découvert un four à pizza enfoui sous un tas d’ordure, Yûgo va avoir la lourde tâche de régaler ses camarades ! En effet, ces derniers habitant hors de la zone de livraison des pizzerias, Yûgo est le seul à connaître le véritable goût de cette fameuse spécialité italienne. S’engage alors une course aux ingrédients pour créer la pizza parfaite !

EAN : 9782351428351
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 115 x 177 mm
EAN : 9782351428351
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 115 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • py314159 04/12/2022
    Silver Spoon, la cuillère d'argent est un manga de Hiromu Arakawa. Yûgo Hachiken découvre un four à pizza dans les ordures. Or les autres élèves, qui habitent des zones rurales, n'en ont jamais mangé ! Un manga original et plaisant sur le monde agricole japonais.
  • Rickola 09/04/2019
    J’avais vraiment adoré le premier tome de Silver Spoon qui m’avait énormément surpris de par son humour (moins du point de vue de l’esthétique et de la qualité d’écriture, puisque je n’en attends pas moins d’une auteure aussi brillante qu’Hiromu Arakawa). De plus, l’intelligence avec laquelle elle traite de la question des animaux dès le premier tome m’a scié, si bien que c’est avec un grand plaisir que je continue cette série qui me plait de plus en plus ! Après avoir découvert un four à pizza enfoui sous un tas d’ordure, Yûgo va avoir la lourde tâche de régaler ses camarades ! En effet, ces derniers habitant hors de la zone de livraison des pizzerias, Yûgo est le seul à connaître le véritable goût de cette fameuse spécialité italienne. S’engage alors une course aux ingrédients pour créer la pizza parfaite ! On continue de découvrir la vie quotidienne dans le lycée, et Yugo s’intègre de mieux en mieux, notamment parce qu’il va prendre l’initiative de faire de la pizza en sollicitant l’aide de tout le monde pour réunir les ingrédients. Lorsqu’il va chercher du lard, un élève pose à Yugo la question de savoir s’il pourra manger Cotelette, le petit cochon pour lequel il s’est pris de sympathie, et il ne sait pas quoi répondre à ça. Encore une fois, Arakawa met bien en évidence la complexité de la question du rapport aux animaux en tant que denrées consommables alors qu’ils sont avant tout des êtres vivants. Elle a également toujours ce talent pour trouver la petite réplique anodine mais pourtant riche de sens concernant les animaux. Par exemple, quand Aki dit « il n’y a pas de bons ou de mauvais animaux » lorsqu’elle parle des animaux sauvages qui se mangent les uns les autres. C’est tout bête, mais cette remarque invite à la réflexion selon moi. On assiste également à un derby entre le lycée agricole et le lycée technique. Ce passage est assez court mais est l’occasion de constater la rivalité entre les deux, dans une compétition très drôle. Encore une fois, Arakawa a vraiment un talent dingue pour le comique de situation, traitant de façon excessive les réactions des personnages pour un résultat plus percutant. En règle générale, ce tome reste de toute façon aussi drôle que le premier, de par les situations mises en scène et sa galerie de personnages haute en couleurs, sans oublier le décalage comique entre Yugo et ses camarades. Un des événements majeurs de ce volume vient du fait que Yugo va travailler avec Aki chez les parents de cette dernière durant toutes les vacances d’été, l’occasion pour les deux de se rapprocher, et pour le protagoniste de voir davantage à quoi ressemble la vie à la campagne. Une des thématique sabordées dans ce tome étant la différence entre le mode de vie en ville et à la campagne. Que ce soit quand Yugo se rend compte que ses camarades n’ont jamais mangé de pizza car personne ne livre chez eux, ou encore qu’il n’arrive pas à envoyer de SMS faute de réseau, qu’il se perd en cherchant la ferme « voisine » qui est en fait à 8 kilomètres… Tous ces petits détails parfois très amusants contribuent à bien mettre en avant cette différence de cadre de vie. C’est d’ailleurs en allant chez Ichiro, dans la ferme voisine de celle de la famille d’Aki, que Yugo constate que tout le monde met la main à la pâte, y compris ses petites sœurs pourtant très jeunes. Ce passage m’a beaucoup plu car le regard de Yugo, en tant que personne extérieure à ce monde est très intéressant. On sent un mélange d’admiration et de tristesse vis-à-vis de ces gens qui travaillent beaucoup plus que la moyenne pour ne pas gagner plus pour autant. De plus, c’est l’occasion d’étoffer Ichiro qui est un très beau personnage à mes yeux. De la même façon, Yugo profite d’un peu de repos durant son travail estival pour aller visiter la coopérative de la famille de Tamako. On constate de ce fait une grande différence dans la façon de travailler ainsi que dans la vision du bétail par rapport à Ichiro et sa famille. Alors que celui-ci cherche à préserver les vaches fatiguées qui ne produisent plus assez de lait, elles sont envoyées directement à l’abattoir dans la grande coopérative qui évoque les énormes structures industrielles telles que les fermes des mille vaches. Ainsi, Yugo constate une grande différence dans la façon de voir les animaux en fonction des éleveurs, mais constate que dans tous les cas, il s’agit d’un métier difficile notamment du fait de la question de l’attachement aux animaux. Pour toutes ces raisons, ce tome est encore une véritable réussite, et cette série tend à s’affirmer comme une vraie pépite (je garde la réserve de mise puisque je n’en suis qu’à deux tomes, mais ils sont tellement réussis que je suis d’emblée convaincu) de par la maîtrise dont Arakawa fait preuve dans le développement de ses thématiques, de la richesse qu’elle apporte à son récit et à la façon dont elle exploite totalement le potentiel de chaque situation. Ce volume est encore l’occasion de constater une évolution chez Yugo ainsi que les questionnements qu’il partage avec nous, lecteurs, du fait qu’il soit extérieur à ce monde. Encore une fois, c’est un travail d’écriture qui force le respect. En résume, ce deuxième tome de Silver Spoon confirme tout le bien que je pensais du premier. Toutes les qualités que l’on est en droit d’attendre d’un récit écrit et dessiné par Hiromu Arakawa sont là, avec en plus un humour omniprésent qui fait mouche à tous les coups. La richesse thématique de son oeuvre, son univers agricole parfaitement exploité et ses personnages à la caractérisation très juste font que je prends un plaisir fou à lire chaque tome. Je vais d’ailleurs me lancer au plus vite dans le troisième volume, qui je n’en doute pas, continuera à me charmer !J’avais vraiment adoré le premier tome de Silver Spoon qui m’avait énormément surpris de par son humour (moins du point de vue de l’esthétique et de la qualité d’écriture, puisque je n’en attends pas moins d’une auteure aussi brillante qu’Hiromu Arakawa). De plus, l’intelligence avec laquelle elle traite de la question des animaux dès le premier tome m’a scié, si bien que c’est avec un grand plaisir que je continue cette série qui me plait de plus en plus ! Après avoir découvert un four à pizza enfoui sous un tas d’ordure, Yûgo va avoir la lourde tâche de régaler ses camarades ! En effet, ces derniers habitant hors de la zone de livraison des pizzerias, Yûgo est le seul à connaître le véritable goût de cette fameuse spécialité italienne. S’engage alors une course aux ingrédients pour créer la pizza parfaite ! On continue de découvrir la vie quotidienne dans le lycée, et Yugo s’intègre de mieux en mieux, notamment parce qu’il va prendre l’initiative de faire de la pizza en sollicitant l’aide de tout le monde pour réunir les ingrédients. Lorsqu’il va chercher du lard, un élève pose à Yugo la question de savoir s’il pourra manger Cotelette, le petit cochon...
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  • Takalirsa 20/08/2017
    Le tome 2 de Silver spoon, toujours aussi hilarant ! Cette fois, notre héros de lycée agricole va devoir relever de multiples défis : faire découvrir la pizza à ses camarades ignares en la confectionnant lui-même avec les ingrédients locaux, participer au derby annuel contre les brutes du lycée technique, assumer son premier job d'été dans la ferme de sa copine, et dépecer son premier animal... Que des situations cocasses qui m'ont fait bien rire !
  • Alfaric 19/06/2016
    "Silver Spoon" est un manga de type « school life », plein de bonne volonté, plein de bonne humeur, mais surtout d'une réjouissante fraîcheur en plus d'être une ode à l'amitié et à la solidarité ! [masquer]C'est avec beaucoup d'humour qu'on nous présente Yûgo Hachiken, un adolescent qui pour rompre avec sa famille et la compétition scolaire a choisi un établissement où il compte briller sans trop se fouler… Au lycée agricole Ohezo il se retrouve sans aucune expérience de la ruralité dans une classe peuplée d'enfants de paysans qui comptent bien devenir paysans à leur tour, et alors que chacun a un destin déjà tracé lui n'a strictement aucune idée de ce qu'il veut faire de sa vie, ce qui accentue son malaise avant qu'en travaux pratiques il ne soit obligé de manipuler volailles, porcins et bovins dans le cadre de la section « production animal »… C'est le choc culturel pour le personnage principal tant que pour le lecteur, volontiers citadins voire tokyoite, et nous découvrons le monde merveilleux de la campagne à travers les yeux ! ^^ Si on croise à l'occasion les élèves des sections sciences de l'agriculture, recherche agroalimentaire et ingénierie agricole et forestière, c'est les camarades de classe de Yûgo qui se taillent la part du lion : Aki Mikage, amoureuse des chevaux condamnée à reprendre la ferme de ses parents ; Ichiro Komaba, amoureux du base-ball, voisin d'Aki, qui a déjà plus ou moins repris la ferme de ses parents depuis la mort de son père ; Shinnosuke Aikawa, qui veut devenir vétérinaire mais qui ne gère pas spécialement bien ses relations à la vie et à la mort ; Tamako Inada, adoratrice du Veau d'Or qui ne jure que par l'argent et la loi du plus fort, et qui se voit déjà comme une actrice majeure de la guerre agricole mondiale (et qui perd et prend du poids à volonté, dans l'ordre de plusieurs dizaines de kilos ^^) ; l'espiègle Mayumi Yoshino qui compte bien ouvrir une fromagerie pour bonifier le lait produit par ses parents, Keiji Tokiwa, un bétin qui ne comprend rien à rien mais qui est prédestiné à reprendre l'élevage de volailles de ses parents ; Nishikawa Hajime, un paysan complètement otaku qui n'hésite pas à tuner tracteurs et chariots… On nous décrit les petites exploitations familiales qui se battent pour survivre, les coopératives qui luttent pour presque autant pour exister que pour se développer, et les grosses boîtes productivistes qui mettent le pognon au-dessus de l'homme et de l'environnement… Pendant ce temps, on construit autour du personnage de Yûgo qui se prend d'affection pour Noisette le cheval, Côtelette le cochon et Vice-président le chiot tout une réflexion sur les relations entre hommes et animaux… Et ce dernier exclut d'emblée le végétarisme, car il comprend immédiatement qu'en s'engageant dans cette voie il condamne à l'extinction les animaux d'exploitation dont il veut améliorer la condition : inutile de dire que c'est autrement plus fin et autrement plus convaincant qu'Aymeric Caron dans "Antispéciste". Pourquoi ? Parce que la mangaka Hiromu Arakawa est native d'Hokkaido, issue d'une famille de paysans et est passée par les bancs d'un lycée agricole parce que ses parents ne pouvaient lui offrir mieux à l'image de nombreux personnages de son manga, et que donc elle connaît son sujet niveau ruralité et agriculture (dans tous les cas, mieux que les journalistes bobos hipsters qui s'aventurent guère au-delà du périphérique de Paris). Nous savons tous que le système scolaire japonais est impitoyable, avec élitisme, compétition et sélection, mais démarrer la journée à 4 heures pour finir à plus de 22 heures, trop c'est trop ! C'est même contre productif puisque le corps ne peut plus se régénérer et l'esprit ne peut plus rien assimiler à part du bourrage de crâne… Exagération ou réalité ? Les chiffres de suicides et de crises de surmenage parmi les adolescents sont assez affolants au Japon… (encore que le taux de suicide des jeunes le plus inquiétant est celui de la Finlande, dont le système scolaire est réputé cool, fun et bienveillant : il faudra un jour que tous ceux qui en ont font une référence m'explique le pourquoi du comment)[/masquer] Dans ce tome 2, les élèves du lycée agricole Ohezo ont retrouvé un four à pierre durant le grand nettoyage de printemps et Yûgo est aussitôt promu organisateur d’une pizza party car en tant que citadin il est le seul élève a avoir déjà mangé une pizza et à en connaître le goût… Tout les monde est mis à contribution, y compris la salle d’affinage secrète de Mr Nakajima de la section agroalimentaire, et la fête qui réunis élèves et enseignants est une franche réussite ! Viens ensuite la rencontre entre le lycée agricole et le lycée industriel, et tantôt que les filles font salon de thé les garçons enchaînent les compétitions qui finissent en grosses bastons ! ^^ Viennent suite les vacances d’été, et pour éviter d’avoir à retourner dans sa famille Yûgo préfère aller travailler chez Aki, au grand dam de ses autres camarades de classes qui comptaient bien exploiter cette bonne poire… Et encore une fois, il retrouve complément paumé dans une cambrousse où les portables ne captent pas !^^ Il découvre le rural profond et les petites exploitations des parents d’Aki et d’Ichiro, ainsi que les dangers de la conduite en campagne avec collision avec le gros gibier (ainsi que les histoires flippantes de l’ancêtre centenaire qui a connu la colonisation d’Hokkaido au début du XXe siècle). Mais il découvre aussi d’autre mode de production avec le carrousel de traite rotatif de Gigafarm, la coopérative agricole des parents de Tamako : Yûgo déjà traumatisé par de dépeçage d’un cerf, l’est de nouveau en assistant à un vêlage difficile… La vie et la mort font partie du quotidien du monde agricole ! Définitivement l'un de mes mangas préférés, et il manque trois fois rien pour passer à 5 étoiles !!!"Silver Spoon" est un manga de type « school life », plein de bonne volonté, plein de bonne humeur, mais surtout d'une réjouissante fraîcheur en plus d'être une ode à l'amitié et à la solidarité ! [masquer]C'est avec beaucoup d'humour qu'on nous présente Yûgo Hachiken, un adolescent qui pour rompre avec sa famille et la compétition scolaire a choisi un établissement où il compte briller sans trop se fouler… Au lycée agricole Ohezo il se retrouve sans aucune expérience de la ruralité dans une classe peuplée d'enfants de paysans qui comptent bien devenir paysans à leur tour, et alors que chacun a un destin déjà tracé lui n'a strictement aucune idée de ce qu'il veut faire de sa vie, ce qui accentue son malaise avant qu'en travaux pratiques il ne soit obligé de manipuler volailles, porcins et bovins dans le cadre de la section « production animal »… C'est le choc culturel pour le personnage principal tant que pour le lecteur, volontiers citadins voire tokyoite, et nous découvrons le monde merveilleux de la campagne à travers les yeux ! ^^ Si on croise à l'occasion les élèves des sections sciences de l'agriculture, recherche agroalimentaire et ingénierie agricole et forestière, c'est les camarades...
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  • Linelo 05/01/2015
    La première partie de l'histoire nous fait partager la folle aventure des élèves pour préparer quelques pizzas, sur idée du héros. Idée qui va faire son chemin, chacun voulant apporter son aide, en proposant des ingrédients ou en réparant un vieux four à l'abandon. Pari réussi ! Même les enseignants se joignent à la dégustation. Yûgo se rend compte, grâce à ce formidable travail d'équipe, qu'il est devenu populaire dans son école. Mais sa joie retombera vite lorsqu'il s'engagera à travailler l'été dans la ferme d'une camarade et qu'il sera à nouveau confronté aux difficultés du monde agricole. Encore beaucoup d'humour et d'infos sur les exploitations agricoles dans ce deuxième tome. Une série à poursuivre !
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