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Star Wars L'Escadron Alphabet – tome 3: Le Prix de la victoire
Thierry Arson (traduit par)
Collection : Star Wars
Date de parution : 08/12/2022
Éditeurs :
Pocket

Star Wars L'Escadron Alphabet – tome 3: Le Prix de la victoire

Thierry Arson (traduit par)
Collection : Star Wars
Date de parution : 08/12/2022
Dans ce troisième opus de la trilogie, l’Escadre de l’Ombre reprend des forces : elle n’est plus une proie blessée fuyant les chasseurs de la République, mais une véritable menace bien décidée à exécuter les dernières volontés de l’Empereur.
Depuis le retour de Soran Keize à la tête de l’Escadre de l’Ombre, l’élite des chasseurs de l’Empire retrouve une nouvelle vigueur et l'Opération Cendre, le terrifiant protocole de destruction... Depuis le retour de Soran Keize à la tête de l’Escadre de l’Ombre, l’élite des chasseurs de l’Empire retrouve une nouvelle vigueur et l'Opération Cendre, le terrifiant protocole de destruction planétaire qui a débuté au crépuscule de l'ère Impériale, consume la galaxie.
Suite à leur défaite cinglante et au départ d’Yrica,...
Depuis le retour de Soran Keize à la tête de l’Escadre de l’Ombre, l’élite des chasseurs de l’Empire retrouve une nouvelle vigueur et l'Opération Cendre, le terrifiant protocole de destruction planétaire qui a débuté au crépuscule de l'ère Impériale, consume la galaxie.
Suite à leur défaite cinglante et au départ d’Yrica, les vaisseaux de l'Escadron Alphabet sont aussi délabrés que leurs esprits. Comment attraper une ombre ? Comment l'éliminer ? Et quand bien même la victoire serait encore possible, qui en paiera le prix ?
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EAN : 9782266324977
Code sériel : 00191
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266324977
Code sériel : 00191
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Mangesonge 14/03/2023
    Comment savoir qui l'on est quand une guerre prend fin et que c'était sur elle que l'on appuyait jusqu'ici notre identité ? Comment vivre lorsque l'on appartient, en théorie, au camp du "bien" et qu'on ne s'estime pas digne d'en faire partie ? Comment trouver sa place dans la société quand on a commis des atrocités sans nom ? Voilà certains des thèmes très sérieux auxquels se consacre toute la série "L'Escadron Alphabet", mais encore davantage ce dernier tome. Jusqu'au bout, cette série aura eu à coeur de proposer aux lectrices et lecteurs une version de Star Wars qui s'attarde sur toutes les questions dont la saga préfère habituellement se détourner, sans jamais pour autant trahir ce qui fait l'originalité de cet univers. Celles et ceux qui auraient, par exemple, apprécié la série "Andor" pourraient s'y retrouver. Ce troisième tome nous offre un final grandiose, au niveau des scènes de batailles spatiales qu'il contient, mais plus encore au sujet des déchirements inouis auxquels il soumet des personnages qui tous, traversent des crises existentielles dépeintes de manière poignante. On les voit avancer à tâtons, cherchant à savoir comment agir au plus près de leur conscience dans un univers qui refuse de leur livrer les réponses, et malgré leurs failles, qui sont immenses, on les suit avec intérêt jusqu'à la conclusion, grâce au grand talent de l'auteur. Ce troisième tome est une réussite, même si c'est peut-être selon moi le moins bon des trois. D'abord, parce qu'en tant qu'histoire, il manque d'unité : la première partie tourne autour d'une campagne pour sauver une planète de la destruction, mais les enjeux sont mal posés et passent au second plan des traumas des personnages. Ensuite, le récit pivote sur un événement historiquement significatif de l'univers Star Wars, et cela donne au final le sentiment que le récit est désarticulé. Enfin, même si la conclusion est plutôt réussie dans l'ensemble, l'auteur se met soudain à s'y intéresser à la vie sentimentale des personnages, et c'est un peu tard. Cet aspect aurait mérité d'être développé davantage, ou complètement ignoré, mais en l'état, on reste sur un sentiment d'inachevé. Cela ne retire aucune des qualités qui font de cette trilogie, à mon avis, la meilleure jamais estampillée "Star Wars".Comment savoir qui l'on est quand une guerre prend fin et que c'était sur elle que l'on appuyait jusqu'ici notre identité ? Comment vivre lorsque l'on appartient, en théorie, au camp du "bien" et qu'on ne s'estime pas digne d'en faire partie ? Comment trouver sa place dans la société quand on a commis des atrocités sans nom ? Voilà certains des thèmes très sérieux auxquels se consacre toute la série "L'Escadron Alphabet", mais encore davantage ce dernier tome. Jusqu'au bout, cette série aura eu à coeur de proposer aux lectrices et lecteurs une version de Star Wars qui s'attarde sur toutes les questions dont la saga préfère habituellement se détourner, sans jamais pour autant trahir ce qui fait l'originalité de cet univers. Celles et ceux qui auraient, par exemple, apprécié la série "Andor" pourraient s'y retrouver. Ce troisième tome nous offre un final grandiose, au niveau des scènes de batailles spatiales qu'il contient, mais plus encore au sujet des déchirements inouis auxquels il soumet des personnages qui tous, traversent des crises existentielles dépeintes de manière poignante. On les voit avancer à tâtons, cherchant à savoir comment agir au plus près de leur conscience dans un univers qui refuse de leur...
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  • elessar 25/02/2023
    Ça y est, le 3e tome de la trilogie de l’escadron Alphabet est sorti en VF et aussitôt reçu, aussitôt dévoré. Il faut dire qu’Alexander Freed nous avait gâté jusqu’à présent avec 2 premiers tomes de très grande qualité, et trève de suspens, il achève son oeuvre à la perfection, allant aussi loin que possible, abordant tout ce que j’espérais et plus encore. Ce 3eme volume démarre là où s’est terminé le précédent, Yrica, à rejoint ses anciens compagnons de l’escadre de l’ombre et sert de nouveau sous les ordres de son mentor, le détestable Soran Keize (oui je ne l’aime pas du tout). Côté escadron Alphabet, par la force des choses, Wyl Lark à prix la tête des escadrons qui ont survécut à Troithe, Nath est à la tête des bombardiers et Chase et Kairos volent avec. Les révélations sur la participation active d’Yrica au génocide de Nacronis ont laissé des traces chez tout les membres d’Alphabet et son apparent décès laisse place à des émotions très contradictoires chez ses compagnons. Colère, déception, incrédulité. Mais pas le temps de se reposer puisque la 204e est toujours en activité et qu’elle semble bien décidée à allonger une liste déjà considérable de crimes de guerre. * * * Avec Le Prix de la Victoire, Alexander Freed offre donc la conclusion tant attendue à cet escadron hétéroclite, et il le fait de la plus belle des manière. Si déjà dans les premiers volumes il s’attardait à nous dépeindre avec justesse les affres de la guerre et leurs séquelles sur l’esprit de ceux qui se battent, il continue sur cette lancée poussant encore l’exploration des traumas de nos personnages. Il y a souvent du désespoir qui transpire des pages et on mesure pleinement l’impact des années de combats et des actes commis sur la psyché de nos héros. Et si toutes et tous sont marqué.e.s, chacun.e affronte tout cela de manière différente. Nos personnages sont toujours aussi variés et on notera d’ailleurs avec grand plaisir qu’en plus des pilotes d’Alphabet et de l'ignoble Soran Keize, Freed donne une place de plus grande importance à Hera dans ce volume pour notre plus grand plaisir. Et comme pour les autres, on l'a verra se battre, avancer, douter, continuer, avec ciomme horizon la fin des combats. * * * Si l'auteur est talentueux pour ce qui est de construire ses personnages, la traque de l'escadre de l'ombre donne aussi lieu à des moments épiques où l'action prend le dessus. J'ai cru comprendre qu'on pouvait lui reprocher une certaine tendance à tirer à la ligne pour les dogfights, pour ma part je suis conquis par son style qui instille ce qu'il faut de tension. On est avec nos pilotes, on souffre avec eux, on ressent la fatigue qui s'installe, les tensions du corps, la peur. Mais si j’ai adoré ce volume final c’est notamment pour son questionnement qui va jusqu’au bout, qui aborde toutes les problématique lié à l’après guerre, aux crimes commis, aux excuses que certains se trouvent, aux traumatisme des survivants, et aussi à la manière dont la perpétration de crimes de guerre marque au fer celles et ceux qui les subissent mais aussi qui les commettent. Freed nous livre ainsi un propos réfléchit et nuancé, mais évitant l'écueil de la zone grise ambiguë et sans compromission morale. C'est quelque chose que j'ai particulièrement apprécié notamment avec le personnage de Soran Keize. Un officier loyal, qui pense à ses hommes avant tout, une loyauté qu'on peut trouver louable mais qui cache un aveuglement forcené et montre la balance morale détraqué de cet homme qui n'est qu'un criminel de guerre qui s'enfonce dans une fuite en avant sans fin. Au travers de ce personnages et de tant d'autres, Freed adresse la problématique du génocide, appels les crimes par leur nom sans jamais détourner le regard et offre une réponse qui se tient éthiquement et narrativement. En cela, Le Prix de la Victoire est un roman politique qui puise avec finesse dans notre histoire et s’appuie dessus pour nous offrir matière à réflexions. Ce roman est le dernier tome d’une trilogie et à ce titre il a la difficile tâche d’offrir une conclusion à toutes les intrigues et à tous les personnages, et là aussi l’auteur réussi parfaitement. Il nous offre une fin qui peut sembler douce amer, à la mesure de toute la trilogie mais qui laisse aux lecteurs la place à l’espoir et qui s’avère très satisfaisante à tout point de vue. Alexander Freed à réussi à nous proposer avec le Prix de la Victoire un roman d'exception qui conclut avec brio sa trilogie. Riche en reflexions, mature et touchante, sa trilogie de l'Escadron Alphabet restera comme l'une des œuvres les plus aboutie du canon à ce jour.Ça y est, le 3e tome de la trilogie de l’escadron Alphabet est sorti en VF et aussitôt reçu, aussitôt dévoré. Il faut dire qu’Alexander Freed nous avait gâté jusqu’à présent avec 2 premiers tomes de très grande qualité, et trève de suspens, il achève son oeuvre à la perfection, allant aussi loin que possible, abordant tout ce que j’espérais et plus encore. Ce 3eme volume démarre là où s’est terminé le précédent, Yrica, à rejoint ses anciens compagnons de l’escadre de l’ombre et sert de nouveau sous les ordres de son mentor, le détestable Soran Keize (oui je ne l’aime pas du tout). Côté escadron Alphabet, par la force des choses, Wyl Lark à prix la tête des escadrons qui ont survécut à Troithe, Nath est à la tête des bombardiers et Chase et Kairos volent avec. Les révélations sur la participation active d’Yrica au génocide de Nacronis ont laissé des traces chez tout les membres d’Alphabet et son apparent décès laisse place à des émotions très contradictoires chez ses compagnons. Colère, déception, incrédulité. Mais pas le temps de se reposer puisque la 204e est toujours en activité et qu’elle semble bien décidée à allonger une liste déjà considérable de crimes de guerre. *...
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  • HariSeldon 25/01/2023
    Ce troisième et ultime tome de la série reprend l’ensemble des mécanismes déjà commentés dans mes précédents avis. Un fonctionnement qui a fait ses preuves et qui réussit à l’auteur. On n’est pas dépaysés. Comme dit précédemment, le point fort d’Alexander Freed est aussi son plus gros défaut. C’est un conteur hors pair, qui sait décrire les scènes d’action militaires comme personne et développer ses personnages de manière brillante. Ici, qu’il s’agisse des impériaux ou des rebelles, le casting est au complet et on apprend à nouveau beaucoup de choses sur eux. Même les seconds rôles sont approfondis, ce qui est assez rare pour être souligné. L’agréable surprise venant de la forte présence du personnage de Hera Syndulla. C'est vraiment chouette de la voir à l'œuvre. Mais l’auteur est aussi capable de se perdre dans de longues phrases et descriptions. Et du coup ce roman de près de 700 pages souffre de nombreuses longueurs qui peuvent faire décrocher. Honnêtement on aurait pu avoir un roman un peu plus court et du coup un récit bien plus tendu dès les premières pages.
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