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Tant que nous serons séparés
Danièle Momont (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 13/04/2023
Éditeurs :
Archipoche

Tant que nous serons séparés

Danièle Momont (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 13/04/2023
Mary, 18 ans, se rend à Cliffehaven pour percer un secret de famille. Mais son arrivée à la pension du Bord de mer pourrait menacer Peggy Reilly, sa propriétaire, car en voulant aider sa nouvelle protégée Peggy court au-devant du danger… 8e volet de la saga « La pension du Bord de mer », par l’autrice de La Dernière Valse de Mathilda.
Sussex, octobre 1942. Mary Jones, 18 ans, accompagne à la gare son petit ami, qui part sur le front. Sur le chemin du retour, elle apprend que le presbytère de... Sussex, octobre 1942. Mary Jones, 18 ans, accompagne à la gare son petit ami, qui part sur le front. Sur le chemin du retour, elle apprend que le presbytère de ses parents a été bombardé.
Des décombres elle parvient à extraire le coffre de son père, qui contient ses journaux intimes....
Sussex, octobre 1942. Mary Jones, 18 ans, accompagne à la gare son petit ami, qui part sur le front. Sur le chemin du retour, elle apprend que le presbytère de ses parents a été bombardé.
Des décombres elle parvient à extraire le coffre de son père, qui contient ses journaux intimes. Mary en prend connaissance. Et ce qu’elle lit la bouleverse…
À tel point qu’elle décide de partir à Cliffehaven, sur la côte sud-est du pays, pour y trouver des réponses. Là, elle se lie d’amitié avec la propriétaire de la pension du Bord de mer, la chaleureuse Peggy Reilly.
Cette dernière découvre bien vite la raison de sa présence.
Mais, en voulant aider sa nouvelle protégée, Peggy court audevant des problèmes. Remuer le passé n’est jamais sans danger…

« Depuis plus de dix ans, cette série enchante les Britanniques. Et on les comprend ! » Babelio
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EAN : 9791039203319
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 432
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9791039203319
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 432
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Livre_o_vert 17/11/2023
    Je n'ai jamais lu les tomes précédents, mais cela n'affecte en rien la compréhension de l'histoire. J'ai reçu le prochain tome en service de presse, mais je voulais lire le précédent. On y retrouve Mary et son histoire dans les deux. Je trouve qu'il est assez facile de rentrer dans l'histoire malgré le fait de ne pas avoir lu les autres. J'ai adoré en apprendre davantage sur l'effort de guerre, l'aide que les femmes et les hommes incapables de combattre ont apportée pour maintenir l'économie en marche, poursuivre le travail des hommes étant au front et dès lors contribuer à l'effort de guerre. Mary est une jeune fille de 18 ans, amoureuse d'un jeune homme qui doit partir au front, laissant sa bien-aimée dans son village. En lui disant un dernier au revoir, une frappe survient dans les environs... En rentrant chez elle, elle réalise que le presbytère a disparu, que ses parents ont été réduits en cendres. C'est ainsi qu'elle devient une jeune orpheline durant cette Seconde Guerre mondiale, accueillie par ses beaux-parents en attendant de décider de son avenir. Un coffre mystérieux est découvert, un coffre qu'elle va avoir du mal à ouvrir... Jusqu'au jour où elle y parvient. Elle se rend à Cliffehaven, près de la côte. La propriétaire de la pension, Peggy Reilly, l'accueille chaleureusement. À partir de là, une amitié naît, mais lorsque des secrets émergent, est-ce que tout peut rester comme avant ? Le passé n'est pas toujours quelque chose à remettre en surface. Le personnage de Mary m'a beaucoup intrigué, même si elle n'a pas le tempérament le plus fort des femmes de la pension. Les autres résidents ont toutes quelque chose d'attachant. L'entraide et le soutien entre elles sont vraiment touchants. Une bonne découverte, j'ai hâte de lire le prochain tome !Je n'ai jamais lu les tomes précédents, mais cela n'affecte en rien la compréhension de l'histoire. J'ai reçu le prochain tome en service de presse, mais je voulais lire le précédent. On y retrouve Mary et son histoire dans les deux. Je trouve qu'il est assez facile de rentrer dans l'histoire malgré le fait de ne pas avoir lu les autres. J'ai adoré en apprendre davantage sur l'effort de guerre, l'aide que les femmes et les hommes incapables de combattre ont apportée pour maintenir l'économie en marche, poursuivre le travail des hommes étant au front et dès lors contribuer à l'effort de guerre. Mary est une jeune fille de 18 ans, amoureuse d'un jeune homme qui doit partir au front, laissant sa bien-aimée dans son village. En lui disant un dernier au revoir, une frappe survient dans les environs... En rentrant chez elle, elle réalise que le presbytère a disparu, que ses parents ont été réduits en cendres. C'est ainsi qu'elle devient une jeune orpheline durant cette Seconde Guerre mondiale, accueillie par ses beaux-parents en attendant de décider de son avenir. Un coffre mystérieux est découvert, un coffre qu'elle va avoir du mal à ouvrir... Jusqu'au jour où elle y parvient. Elle se rend...
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  • larzilliere 13/08/2023
    c est une superbe histoire comme je les aimes. histoire qui peut être vrai pendant la guerre entre amour passion et tristesse je pense qu il y a une suite il faudra juste que je trouve le titre suivant. très bon écrivain lecture facile et je me suis vite mise dans l histoire
  • MamieAgnes 17/06/2023
    J'ai aimé retrouver la Pension du Bord, la chaleureuse Peggy Reilly et ses pensionnaires. Contrairement aux tomes précédents, la jeune femme que Peggy va prendre sous son aile n'est pas une de ses locataires et surtout, l'auteure ne clôt pas l'histoire et laisse planer de nombreux mystères. Pour connaître la suite, il faut donc lire le tome suivant...
  • Cassiopee42 11/04/2023
    Ce roman est le tome 8 de la série « La pension du bord de mer) mais il peut, comme tous les autres, se lire indépendamment, même s’il peut être intéressant de suivre quelques personnages récurrents afin de voir leur évolution au fil du temps. Angleterre, Octobre 1942. Mary Jones est amoureuse de Jack Boniface, ses parents ne soient pas trop d’accord avec ça, bien que son père soit plus compréhensif. Sa Maman est un peu dure avec elle et elle ne se l’explique pas. Mais Jack est un jeune homme altruiste et il décide de s’engager de l’armée. Un bouleversement pour ce jeune couple qui se sépare en se promettant de s’écrire tous les jours. Malgré l’interdiction des siens, elle décide d’aller à la gare pour un dernier aurevoir à son petit ami. Après des adieux déchirants, elle rentre et découvre qu’une bombe a touché le presbytère où elle vit (son Papa est pasteur). Ses géniteurs sont décédés et il ne reste presque plus rien de sa vie. Elle est recueillie par la famille Boniface qui l’aide à faire face. Dans les vestiges de l’habitation familiale, elle retrouve une malle que son père tenait toujours fermée. Elle y découvre des journaux intimes, des documents personnels alors qu’elle pensait surtout qu’il s’agissait de paperasse concernant la paroisse. Ce qu’elle lit provoque un véritable tsunami en elle. Toutes ses certitudes sont remises en cause, les appuis solides sur lesquels elle avait fondé son quotidien ne sont plus aussi sûrs. Mais Mary est une battante, elle décide de comprendre, de faire toute la lumière sur ce qui la préoccupe. Pour cela, elle part à Cliffehaven, où elle a trouvé un travail en usine et une place dans une pension tenue par Doris. Elle pense y rester un an avant d’intégrer l’école qui lui permettra d’être institutrice, son rêve de toujours. Mary a toujours été, malgré un lien plus délicat avec sa mère, une fille choyée, avec des habitudes tranquilles. Son installation à Cliffehaven est un chambardement total. Ses journées ne sont plus les mêmes, il faut se lever pour travailler (mais elle sent qu’elle participe à l’effort de guerre et elle est satisfaite). Heureusement un piano (elle joue merveilleusement bien) va lui offrir d’autres opportunités, des rencontres qui vont l’égayer et l’aider à avancer. En parallèle de Mary, le lecteur suit quelques protagonistes réguliers de cette saga. Doris, femme un peu hautaine, chez qui Mary est hébergée, Peggy sa sœur, qui tient « la pension du bord de mer » avec ses habitués. Son mari va obtenir une permission et le bonheur des retrouvailles sera bien présent, Ron son beau-père, un homme surprenant et attachant. Avec une écriture fluide et plaisante, un style vif, l’auteur nous entraîne dans les aventures de toutes ces personnes, elle laisse planer des doutes, maintenant un certain suspense pour les uns ou les autres. Certains lui reprocheront certainement de laisser une porte ouverte, sans que tout ne soit abouti, mais c’est pour nous donner envie de lire la suite. Personnellement, je vais me plonger toute suite dans le recueil suivant. J’aime lire les aventures écrites par Tamara McKInley, c’est vivant, prenant, pas prise de tête, bien ancré dans l’époque choisie sans que le contexte historique soit trop lourd. Je suis conquise ! Ce roman est le tome 8 de la série « La pension du bord de mer) mais il peut, comme tous les autres, se lire indépendamment, même s’il peut être intéressant de suivre quelques personnages récurrents afin de voir leur évolution au fil du temps. Angleterre, Octobre 1942. Mary Jones est amoureuse de Jack Boniface, ses parents ne soient pas trop d’accord avec ça, bien que son père soit plus compréhensif. Sa Maman est un peu dure avec elle et elle ne se l’explique pas. Mais Jack est un jeune homme altruiste et il décide de s’engager de l’armée. Un bouleversement pour ce jeune couple qui se sépare en se promettant de s’écrire tous les jours. Malgré l’interdiction des siens, elle décide d’aller à la gare pour un dernier aurevoir à son petit ami. Après des adieux déchirants, elle rentre et découvre qu’une bombe a touché le presbytère où elle vit (son Papa est pasteur). Ses géniteurs sont décédés et il ne reste presque plus rien de sa vie. Elle est recueillie par la famille Boniface qui l’aide à faire face. Dans les vestiges de l’habitation familiale, elle retrouve une malle que son père tenait toujours fermée. Elle y découvre des journaux...
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  • Sourisetdeslivres 04/11/2022
    Si tu me suis, ici ou sur le blog, tu connais déjà mon attachement à cette saga. Mes avis sont à retrouver ici ou ici ou encore ici La saga s’appelle «#8201;La pension du bord de mer#8201;». Je rêve qu’un jour je puisse franchir les portes de la pension et entendre Peggy crier après Ron, son beau-père, écouter Cordelia Finch parler aux pensionnaires, m’asseoir dans la cuisine boire un thé avec elle et caresser Harvey, le chien de Ron. Je lis cette saga depuis 2015, c’est un rendez-vous annuel. Un livre vers lequel je vais me diriger directement si j’ai besoin d’une lecture de réconfort, une lecture doudou. Tu peux lire les tomes indépendamment, chacun a son intrigue, mais ce serait vraiment dommage de ne pas faire connaissance de tous les personnages des livres. Ils arrivent au fil des livres à Cliffehaven ou chez Peggy. Le village est devenu réel pour moi. Du chef de gare au boucher, je les connais tous. Tant que nous serons séparés, parle de quoi#8201;? La différence avec les autres opus c’est qu’à la fin du livre on n’a pas toutes les réponses, vivement le 9. On suit Mary Jones, son compagnon, Jack, part pour la guerre. En dépit de ce que ses parents lui ont dit, elle part le soir à la gare. Quand elle revient, le presbytère où elle vivait n’existe plus. Il a été bombardé. Tout été détruit sous l’impact. Seule la malle de son père est intacte. À l’intérieur, Mary découvre de sombres secrets qui vont l’emmener jusqu’à Cliffehaven. Ce n’est pas mon tome préféré, mais j’ai encore une fois adoré me retrouver à la pension du bord de mer. Une fois là-bas j’oublie tout. A lire si tu aimes les romans qui se déroule durant la Seconde guerre mondiale, les secrets de famille, les romans doudous Si tu me suis, ici ou sur le blog, tu connais déjà mon attachement à cette saga. Mes avis sont à retrouver ici ou ici ou encore ici La saga s’appelle «#8201;La pension du bord de mer#8201;». Je rêve qu’un jour je puisse franchir les portes de la pension et entendre Peggy crier après Ron, son beau-père, écouter Cordelia Finch parler aux pensionnaires, m’asseoir dans la cuisine boire un thé avec elle et caresser Harvey, le chien de Ron. Je lis cette saga depuis 2015, c’est un rendez-vous annuel. Un livre vers lequel je vais me diriger directement si j’ai besoin d’une lecture de réconfort, une lecture doudou. Tu peux lire les tomes indépendamment, chacun a son intrigue, mais ce serait vraiment dommage de ne pas faire connaissance de tous les personnages des livres. Ils arrivent au fil des livres à Cliffehaven ou chez Peggy. Le village est devenu réel pour moi. Du chef de gare au boucher, je les connais tous. Tant que nous serons séparés, parle de quoi#8201;? La différence avec les autres opus c’est qu’à la fin du livre on n’a pas toutes les réponses, vivement le 9. On suit Mary Jones, son compagnon, Jack, part pour la guerre. En dépit de ce que ses parents lui ont...
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