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Un tramway nommé Désir
Pierre Laville (adapté par), Catherine Fruchon-Toussaint (préface de)
Collection : Pavillons Poche
Date de parution : 09/11/2017
Éditeurs :
Robert Laffont

Un tramway nommé Désir

Pierre Laville (adapté par), Catherine Fruchon-Toussaint (préface de)
Collection : Pavillons Poche
Date de parution : 09/11/2017
Blanche, une femme d’une trentaine d’années aux allures de grande dame, arrive dans le quartier français de La Nouvelle-Orléans pour rendre visite à sa soeur Stella. Là, elle découvre que... Blanche, une femme d’une trentaine d’années aux allures de grande dame, arrive dans le quartier français de La Nouvelle-Orléans pour rendre visite à sa soeur Stella. Là, elle découvre que sa cadette a épousé un ouvrier fruste et qu’ils vivent dans un sordide appartement. Après plusieurs semaines de lutte, de... Blanche, une femme d’une trentaine d’années aux allures de grande dame, arrive dans le quartier français de La Nouvelle-Orléans pour rendre visite à sa soeur Stella. Là, elle découvre que sa cadette a épousé un ouvrier fruste et qu’ils vivent dans un sordide appartement. Après plusieurs semaines de lutte, de résistance, de mensonges, le papillon de nuit qu’elle est s’y brûlera les ailes.
De cet infernal ménage à trois, composé de « gens ni bons ni méchants, juste d’individus qui ne se comprennent pas les uns les autres » et à jamais incarné au cinéma par Vivien Leigh, Marlon Brando et Kim Hunter, Tennessee Williams a tiré l’une des pièces majeures du XXe siècle, couronnée du prix Pulitzer.
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EAN : 9782221203743
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 272
Format : 122 x 182 mm
EAN : 9782221203743
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 272
Format : 122 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • liliesbookcorner 01/09/2024
    Je ne crois pas avoir déjà lu de pièce de théâtre, et si je lis ce classique de la littérature américaine, c'est encore une fois grâce au club de lecture Pavillons Poche @robert_laffont #x1f60a Après la perte de "Belle Rêve", la propriété familiale, Blanche Dubois débarque chez sa sœur, Stella.  Cette dernière vit avec son mari, Stanley, un ouvrier Polonais, dans un petit deux pièces de la Nouvelle Orléans. Les trois personnages devront donc se partager ce petit espace, dont Blanche, habituée à vivre depuis toujours une vie plus confortable. Enfin, en apparence... que cache son arrivée chez Stella ? Pourquoi débarque-t-elle du jour au lendemain ?  Stanley, macho et violent, se méfie dès le début de sa belle-sœur et de ses grands airs. Rapidement une tension malsaine s'installe entre eux, et s'accentue jusqu'au dénouement tragique... On ressent très bien cette tension au fur et à mesure que les pages se tournent. "Un tramway nommé désir " est une pièce très courte et qui se lit donc d'une traite. J'ai été très agréablement surprise et surtout totalement prise par ce huis clos et par l'atmosphère intense, oppressante qu'il dégage. Les personnages sont assez complexes, déstabilisants, et leurs différents les poussent vers leurs travers les plus sombres. Cette lecture est une très belle surprise qui m'a donné envie de continuer ma découverte des œuvres de Tennessee Williams!Je ne crois pas avoir déjà lu de pièce de théâtre, et si je lis ce classique de la littérature américaine, c'est encore une fois grâce au club de lecture Pavillons Poche @robert_laffont #x1f60a Après la perte de "Belle Rêve", la propriété familiale, Blanche Dubois débarque chez sa sœur, Stella.  Cette dernière vit avec son mari, Stanley, un ouvrier Polonais, dans un petit deux pièces de la Nouvelle Orléans. Les trois personnages devront donc se partager ce petit espace, dont Blanche, habituée à vivre depuis toujours une vie plus confortable. Enfin, en apparence... que cache son arrivée chez Stella ? Pourquoi débarque-t-elle du jour au lendemain ?  Stanley, macho et violent, se méfie dès le début de sa belle-sœur et de ses grands airs. Rapidement une tension malsaine s'installe entre eux, et s'accentue jusqu'au dénouement tragique... On ressent très bien cette tension au fur et à mesure que les pages se tournent. "Un tramway nommé désir " est une pièce très courte et qui se lit donc d'une traite. J'ai été très agréablement surprise et surtout totalement prise par ce huis clos et par l'atmosphère intense, oppressante qu'il dégage. Les personnages sont assez complexes, déstabilisants, et leurs différents les poussent vers leurs...
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  • belette42 15/07/2024
    Stella et Stanley est un jeune couple qui voit arriver Blanche, la sœur de Stella, à leur domicile. Ruinée, elle ne sait où aller. Pour Blanche, tout n'est que rêve, luxe, mais la vérité est tout autre quand Stanley découvre la vérité sur sa belle-sœur. "On a tous quelque chose en nous de Tennessee..." Je connaissais peu Tennessee Williams, son nom étant évoqué dans Jours brûlants à Key West de Brigitte Kernel. Tout le talent de Tennessee Williams réside à retranscrire en pièce de théâtre un scénario digne d'un excellent roman noir. La tension est présente au bout de quelques pages seulement. C'est étouffant, malaisant, avec des personnages solides. On y trouve des femmes avec leur fragilité mais aussi avec leur solitude, entre amour et folie. C'est la première fois qu'une pièce de théâtre me marque autant. Raison pour laquelle j'ai envie de découvrir d'autres titres de cet auteur.
  • Sarrousse 29/06/2024
    Je n’ai pas l’habitude de lire du théâtre mais cette pièce se lit comme un roman. Je n’ai jamais vu le film culte qui en a été tiré et je me rends compte que je connais bien plus des images que l’histoire. Mais quelle pièce malaisante ! Deux sœurs, un homme, beaucoup de non dits, de faux semblants, de quiproquos. Personne n’est tout blanc ou noir dans cette histoire et c’est ce qui rend tout ca particulièrement malsain.
  • alainde 12/02/2024
    Blanche qui a perdu son mari arrive à La Nouvelle-Orléans. Elle prend un " Un tramway nommé désir" pour se rendre chez sa sœur ainée Stella qui attend un bébé. Stella est l'épouse de Stanley ; ce dernier un peu rustre prend immédiatement sa belle-sœur en grippe, détestant ses airs aristocratiques, ses affabulations et son coté ténébreux aguichant. Cette pièce de théâtre extrêmement dramatique, a été écrite par Tennessee Williams en 1947. Ce grand classique de la littérature Américaine a été récompensé par un prix Pulitzer. Il nous offre une ambiance trouble, des situations très classiques mais aussi extrêmement sensibles et émouvantes. Ce récit a été brillamment adapté par Elia Kazan en 1951 dans un grand film avec Vivien Leigh et Marlon Brando.
  • nellyes 25/10/2023
    Quand j'ai vu que ce CLASSIQUE était au programme de l'UV de littérature américaine de deuxième année je m’en suis réjouis puisque je le gardais dans un coin de ma tête l’ayant vu trainer, comme des milliers d’autres livres, sur la table basse de ma grand-mère … Je l’ai adoré, les cours théoriques et les TD ont été pour moi un pur plaisir. L’année d’après en licence option Littérature et cinéma, rebelote, autant vous dire que je pense connaitre ce chef d’œuvre pas trop mal (et sur l’édition que j’avais _ Signet _ déjà la masculinité de Marlon Brando alors âgé de 27 ans et torse nu posait le ton …) Impossible d’imaginer autre visage et autre corps que celui de Brando quand on lit les répliques de Stanley, mi homme, mi-Cro-Magnon. Et puis on est séduit par les directions scéniques mais aussi effrayé par le comportement et la folie de Blanche, subjugué par la maturité de Stella et si vous êtes comme moi vous fondrez en constatant comment s'aiment les Kowalski. Williams s'est inspiré de sa propre sœur pour le personnage de Blanche est le fait que l'action se déroule à La Nouvelle Orléans donne une petite touche frenchy bien appréciable.... Alors maintenant parlons Amour avec un immense A … Je peux vous rajouter aujourd’hui, avec mes 20 ans de plus qu’à la fac que j’ai la maturité nécessaire pour différencier cet Amour que je croyais voir et la Passion que continue de vivre en réalité Stella même après la naissance de son bébé, et la jalousie de la sœurette, je vous en parle ? Fallait lui sortir cette cruelle « où étais tu quand je me battais pour sauver Belle Rêve ? Au lit avec ton pollack » … à l’heure où j’écris ces mots j’envisage de relire encore cette pépite tant j’ai l’impression que mon regard bien plus sage me fait être plus visionnaireQuand j'ai vu que ce CLASSIQUE était au programme de l'UV de littérature américaine de deuxième année je m’en suis réjouis puisque je le gardais dans un coin de ma tête l’ayant vu trainer, comme des milliers d’autres livres, sur la table basse de ma grand-mère … Je l’ai adoré, les cours théoriques et les TD ont été pour moi un pur plaisir. L’année d’après en licence option Littérature et cinéma, rebelote, autant vous dire que je pense connaitre ce chef d’œuvre pas trop mal (et sur l’édition que j’avais _ Signet _ déjà la masculinité de Marlon Brando alors âgé de 27 ans et torse nu posait le ton …) Impossible d’imaginer autre visage et autre corps que celui de Brando quand on lit les répliques de Stanley, mi homme, mi-Cro-Magnon. Et puis on est séduit par les directions scéniques mais aussi effrayé par le comportement et la folie de Blanche, subjugué par la maturité de Stella et si vous êtes comme moi vous fondrez en constatant comment s'aiment les Kowalski. Williams s'est inspiré de sa propre sœur pour le personnage de Blanche est le fait que l'action se déroule à La Nouvelle Orléans donne une petite touche frenchy...
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