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Une autre histoire de la littérature T2
Collection : Agora
Date de parution : 24/06/2021
Éditeurs :
Pocket

Une autre histoire de la littérature T2

Collection : Agora
Date de parution : 24/06/2021
« Loin de signifier un second choix, ce second volume révèle des trésors encore cachés. La méthode suivie dans ce deuxième volume est la même que dans le premier : présenter... « Loin de signifier un second choix, ce second volume révèle des trésors encore cachés. La méthode suivie dans ce deuxième volume est la même que dans le premier : présenter en quelques mots l’écrivain et son œuvre ; tâcher de leur rendre, sous la rouille, leur jeunesse et leur nouveauté.... « Loin de signifier un second choix, ce second volume révèle des trésors encore cachés. La méthode suivie dans ce deuxième volume est la même que dans le premier : présenter en quelques mots l’écrivain et son œuvre ; tâcher de leur rendre, sous la rouille, leur jeunesse et leur nouveauté. Cette histoire menée au pas de charge et pleine d'impertinence constitue une magnifique introduction à l’un des chefs-d'œuvre les plus accomplis de l’esprit des hommes depuis son éclosion : la littérature française. »
J. d’O.
 
Du même auteur dans la collection « Agora » : Une autre histoire de la littérature, tome I.
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EAN : 9782266315883
Code sériel : 470
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266315883
Code sériel : 470
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gerardmuller 28/07/2023
    Une autre histoire de la littérature française /Tome II /Jean d’Ormesson « Il y a quelque chose de presque indéfinissable, quelque chose d’obscur et de lumineux, qui règne sur la littérature : ce quelque chose est le style. » Et le plaisir en plus. L’auteur ainsi pose ses conditions pour faire entrer dans son anthologie (tome II) les écrivains au beau style qui lui ont donné du plaisir. Pour chacun, une brève biographie agrémentée d’anecdotes ; puis quelques extraits des vers les plus célèbres. François VILLON (1431-1463) , le mauvais garçon, le truand, l’assassin au talent fou inaugure ainsi ce recueil avec la Ballade des dames du temps jadis et la Ballade des pendus. Il chante la vie, le mal, le corps des femmes, et la mort. Puis disparaitra dès l’âge de trente et un ans sans que plus jamais il ne réapparaisse. Joachim DU BELLAY (1522-1560) viendra pour défendre et illustrer la langue française au sein d’une Brigade qui deviendra la Pléiade. Ses Regrets (Heureux qui comme Ulysse…) sont encore dans toutes les mémoires. Pierre RONSARD (1524-1585) est d’un naturel gai et, épicurien, a un goût prononcé pour la bonne chère et le vin. Mais pas seulement : l’amour avec un grand A occupe une grande place dans ses vers avec « Mignonne allons voir si la rose… » en hommage à Cassandre, ou encore pour Hélène avec « Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. » Jean de LA FONTAINE (1621-1695) constitua vers 1660 avec ses amis Molière, Boileau et Racine, le Parnasse, une petite société de lettres qui ne dédaignait pas de se réunir autour d’une bonne bouteille à la Montagne Sainte-Geneviève. Il se fit connaître d’abord par ses Contes et nouvelles en vers, pièces d’une grande gaieté et du genre licencieux. Qualifié de poète libertin, La Fontaine préférait le plaisir aux honneurs de la cour. Ce sont les Fables qui vont plus tard assurer la pérennité de son œuvre, des poésies pleines de charme, de grâce, de drôlerie et de beautés. Divertissement pour lettrés et manuel de savoir-vivre à l’usage des princes, elles sont toujours d’actualité. Esprit libre et nonchalant, La Fontaine a su dépeindre un monde multiple et étrangement rude. Sa devise : « Aimez, aimez, tout le reste n’est rien. » Madame de SÉVIGNÉ (1626-1696). Orpheline à l’âge de sept ans, Marie de Rabutin-Chantal est fille unique et est confiée à ses grands-parents maternels. Elle épouse à dix-huit ans le baron Henri de Sévigné qui huit ans plus tard perd la vie en duel. Elle se consacre alors à l’éducation de sa fille Françoise et son fils Charles. Ce sont les lettres qu’elle écrivit à sa fille qui assurèrent sa célébrité après sa mort. Libres, ardentes, impétueuses, pleines de bon sens, ses lettres sont la vie même. Madame de LAFAYETTE (1634-1693). Née Marie Magdeleine Pioche de La Vergne, Mme de Lafayette épouse à vingt et un an M.de Lafayette. On peut dire qu’elle a inventé le roman moderne : La Princesse de Clèves qui parait en 1678 connait un immense succès. L’art de la litote en littérature vient de naître. SAINT-SIMON (1675-1755). Ce sont ses Mémoires qui ont assuré la pérennité de cet écrivain que l’on a souvent qualifié de féodal. Les portraits de personnalités qui y sont dressés en ont fait des documents historiques, remarquables aujourd’hui de par leur style unique. MARIVAUX (1688-1763) . Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux a mis en scène l’art de la conversation et cela de façon incomparable. En une vingtaine de comédies, il allait s’assurer la renommée et la gloire. Charme, émotion et poésie sont au rendez-vous pour passer un bon moment. ROUSSEAU Jean-Jacques (1712-1778). Rousseau a souvent été qualifié de sauvage et de révolutionnaire. En vérité, il fut un sentimental et un passionné, aimant la nature par-dessus tout. Son principe est le suivant : « La nature a fait l’homme heureux et bon, la société le déprave et le rend misérable. » Ses écrits : Julie ou la nouvelle Héloïse, L’Émile, Du Contrat social puis plus tard, Les Confessions et Rêveries d’un promeneur solitaire, mettent toujours en avant son individualisme et son caractère rebelle, puis annoncent les écologistes et même le communisme. Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS (1732-1799) fut avant tout un aventurier et même un agent secret de la famille royale ! Brasseur d’affaires, libertin adoré de sa famille et de ses trois femmes successives, il était un être complexe, spirituel, impertinent. Deux pièces l’ont rendu célèbre à tout jamais : Le barbier de Séville et Le mariage de Figaro. DESBORDES-VALMORE Marceline (1786-1859) , poétesse un peu oubliée de nos jours était admirée de Hugo, Baudelaire, Mallarmé et Rimbaud. D’inspiration romantique, elle nous a laissé de très beaux poèmes souvent mélancoliques et sombres. MICHELET (1798-1874). C’est son « Histoire de France » qui l’a rendu célèbre, une œuvre qui l’absorbera durant quarante ans et qui constitue un monument de la littérature française. Plus tard il se consacrera à l’Histoire naturelle (L’oiseau, l’insecte, la mer, la montagne …). Il reste le plus grand de nos historiens grâce à sa rigueur et son impartialité. HUGO VICTOR (1802-1885). Né à Besançon, vieille ville espagnole. Ce siècle avait deux ans !! Le génie à l’état pur, le poète lyrique, satirique, épique, romancier, historien, critique, homme de théâtre, dessinateur, journaliste… Et puis l’abondance et la virtuosité ! Hugo sait manier l’oxymoron et l’antithèse dans un style somptueux. Jean d’Ormesson consacre près de 20 pages à Victor Hugo avec des extraits judicieusement choisis. DUMAS Alexandre (1802-1870) ; Une existence agitée pour écrire plus de 300 volumes ! les trois Mousquetaires, le Comte de Monte Cristo…Dumas est aussi un précurseur dans le théâtre romantique et un maître du roman-feuilleton. Seigneur magnifique, insouciant, aventureux, à l’imagination débordante et au cœur généreux, ainsi vécut Alexandre Dumas. NERVAL (1808-1855). De son vrai nom Gérard Labrunie, il fut un des chantres du surréalisme. Bohème antibourgeois il fut le précurseur des temps nouveaux avec son ami Théophile Gautier. Poète du rêve, de la folie et de l’ombre, il a laissé des chefs d’œuvre tels que Les Filles du feu, Sylvie, Aurélia. MUSSET Alfred de (1810-1857) On retiendra les poèmes des « Nuits » largement inspirés par sa relation avec George Sand, puis son théâtre qui connut un certain succès, incarnant l’audace, l’élégance, la révolte et tous les délires de la jeunesse et de l’amour. ZOLA Émile (1840-1902) . Ayant échoué au baccalauréat, il se lance dans le journalisme. Plus tard, influencé par les théories de Darwin, puis par Taine, Claude Bernard et Littré, il se lance dans l’écriture de romans qualifiés de naturalistes. Il édifiera ainsi l’immense œuvre des Rougon-Macquart. L’assommoir, Germinal, Nana, …etc, autant de titres qui ont offert la gloire à Zola. Puis il y eut l’affaire Dreyfus et le cri de Zola : « J’accuse » prenant la défense de Dreyfus en 1898. MALLARMÉ Stéphane (1842-1898). Poète chantre de l’hermétisme, il aime jouer avec les mots pour des formules absconses. VERLAINE Paul (1844-1896). Ivrogne, voyou, assassin de ses amours, converti et relaps, mais génie du verbe poétique : il nous a laissé parmi les plus beaux vers de la langue française. LAUTRÉAMONT (1846-1870). Mort à vingt-quatre ans, Isidore Ducasse de son vrai nom, a laissé à la postérité Les Chants de Maldoror, une épopée de la violence, de la dérision et de la haine, annonçant la fin du romantisme et la révolution surréaliste. MAUPASSANT Guy de (1850-1893). On peut dire que Maupassant doit tout à Flaubert qui fut en quelque sorte son mentor, son maître et son conseiller. Zola également à beaucoup contribué à la réussite de Maupassant. Il débute dans le journalisme, puis se consacre au roman avec un premier grand succès avec Boule de suif. Puis suivent Bel-ami, Une Vie, Mont-Oriol, …etc, que des succès. Ensuite Seize volumes de nouvelles dont La Maison Tellier, universellement célèbre, des chroniques de voyages et des contes. Poète du réalisme et du naturalisme au style lumineux, il reste le maître incontesté de la nouvelle. RIMBAUD Arthur (1854-1891). Né à Charleville, il est une légende, un mythe de notre temps, un désert de feu de notre littérature. La révolte, et la soif de l’absolu l’habitent tout au long de sa courte vie ainsi que sa poésie. RENARD Jules (1864-1910) Célèbre pour « L’écornifleur » et « Poil de carotte », et pour son « Journal » où alternent drôlerie, chagrin, cruauté et modestie. LEBLANC Maurice (1864-1941.Spécialiste de la nouvelle policière et du roman éponyme avec un héros inoubliable en la personne d’Arsène Lupin, sympathique anarchiste et voleur. TOULET Paul-Jean (1867-1920). Drogué, habitué des terrasses de café, promeneur des Boulevards, il nous a laissé quelques romans : « Mon amie Nane », « La jeune fille verte ». En poésie, les Contrerimes ont fait sa gloire. PÉGUY Charles (1873-1914). Très grand prosateur et critique remarquable, Péguy apparaît d’abord comme un polémiste politique. Dans son œuvre, le christianisme est omniprésent, quoiqu’il soit un socialiste foncièrement anticlérical. COLETTE Gabrielle (1873-1954).Son œuvre romanesque se déroule entre les chats, les fleurs, les parfums, les couleurs et les sons, toute empreinte de gourmandise, de sensualité et de sexe. Dans la vie, Colette fait ce qu’elle a envie de faire, et ne se plie à rien et ses personnages lui ressemblent. APOLLINAIRE Guillaume de Kostrowitzky (1880-1918). Qualifié par l’auteur de pornographe, il est né bâtard et immigré et il fut un cancre à l’école. Employé de banque, puis journaliste et critique littéraire et d’art, il n’eut jamais son bac. Ses passions : les femmes, la peinture, et les livres. Il est le symbole de la modernité poétique. LARBAUD Valéry (1881-1957). Connu pour « Femina Marquez » et « Enfantines », Larbaud nous emmène alors dans les verts paradis d’un passé évanoui. Traducteur de Joyce, il est aussi le poète cosmopolite des palaces, des jeunes filles et des grands express intercontinentaux. ROMAIN Jules (1885-1972).De son vrai nom, Louis Farigoule, il aime le canular et la Rigolade, comme dans « Les Copains » chef d’œuvre populaire rigolard. Il connut aussi le succès avec « Knock ou le triomphe de la médecine ». Puis ce sera l’immense fresque des « Hommes de bonne volonté » juste précédé de la trilogie « Psyché » (Lucienne, le Dieu des Corps, Quand le navire.) En poésie il sera le théoricien de l’unanimisme. Homme de théâtre, auteur comique, romancier, Jules Romain fut aussi journaliste et fin observateur politique. Pacifiste de gauche, il théorisa par la suite le radicalisme bourgeois. MAURIAC François (1885-1970). Poète, dramaturge, romancier, critique et polémiste, journaliste et mémorialiste, Mauriac est avant tout un écrivain catholique. Ses romans font sa gloire : Le Baiser au lépreux, le Désert de l’amour, Génitrix, Thérèse Desqueyroux, Le Nœud de vipère. Pour lui, la mal est le terrain privilégié de la grâce divine. SAINT-JOHN PERSE (1887-1975).Éloges , un recueil de poèmes pleins d’exubérance Tropicale le fit connaître alors qu’il prépare le concours des Affaires Étrangères. Puis ce sera Anabase. Personnage hautain, secret et mystérieux, Saint-John Perse recrée un univers très particulier dans la solennité hermétique du discours oraculaire et des cortèges hiératiques. GIONO Jean (1895-1970). Le Chant du monde, Le Grand Troupeau, Que ma joie demeure, autant de titres magnifiques. Puis Colline, Regain, Un de Baumugnes, titres évoquant le Provence rude et austère, pas celle des touristes. Le souffle de la nature et les nuits étoilées : une littérature écologiste avant l’heure. Des œuvres engagées chez ce pacifiste de toujours, des romans du grand air. Plus tard, il abandonnera ce merveilleux lyrisme pour une prose plus rapide, découvrant la litote et la brièveté dans notamment « Deux cavaliers de l’orage ». Puis « Le Hussard sur le toit » et « les Âmes fortes. » Objecteur de conscience, il publie « Ennemonde » et « L’Iris de Suse », défenseur des déserteurs. Giono : un écrivain à deux visages. MONTHERLANT Henri de (1896-1972) Il a le culte des sportifs et de la corrida (Les Bestiaires). Il n’aime pas beaucoup les femmes ( Les Célibataires, les Jeunes Filles, Pitié pour les femmes.) Au théâtre, il connaît le succès avec « La reine morte ».Montherlant a le culte du héros et le sens de la grandeur. Il méprise tout ce qui fait courir les hommes : l’argent, et les honneurs. YOURCENAR Marguerite (1903-1987). Première femme à entrer à l’Académie Française, Elle nous a laissé deux chefs d’œuvre absolus : « Les Mémoires d’Hadrien » et « L’œuvre au noir ». SARTRE Jean-Paul (1905-1980). Philosophe et romancier, il écrit aussi des pièces de Théâtre. Biographe et journaliste, il est aussi critique littéraire et critique d’art. il s’occupe de politique et écrit des mémoires. Il est un polygraphe de génie. Reçu premier à l’agrégation de philosophie pendant que Simone de Beauvoir est deuxième, il a l’ambition de ressembler à Spinoza et Stendhal. « La Nausée » en 1938 , conte philosophique, lui apporte la renommée. Puis ce sera « L’Être et le Néant », un énorme pavé de philosophie dans la lignée de Hegel, Husserl et Heidegger. Citons également la trilogie des Chemins de la liberté, et les pièces de théâtre : « Huis-clos», « Les Mains sales ». C’est un théâtre à thèses. Sartre est un grand témoin de son époque, et il a fait de la littérature un instrument de combat. Il refuse le prix Nobel : il a le génie de la communication ! Avec « L’existentialisme est un humanisme », une popularité inouïe s’abat sur lui, surtout chez les jeunes. Sartre a marqué son époque et son œuvre est immense qui lui a valu la gloire, même si la glose et le palimpseste l’emporte sur le plaisir du texte. GENET Jean (1910-1986). Né de père inconnu, abandonné par sa mère, confié à l’assistance publique, envoyé en maison de redressement, déserteur, il est le poète du crime, du vol, de la prostitution et de l’homosexualité. Quatre romans, cinq pièces de théâtre qui déchainent le scandale, un théâtre de la révolte et du paroxysme comme sa poésie. Ennemi de la société et de la patrie, il est le traitre professionnel. Il est toujours du côté de l’envers sulfureux du monde, du côté des prisons, des bordels et des échafauds . CIORAN (1911-1995).Mystique inversé, apôtre du néant, maître du dégout, professeur de suicide, il est le chantre du désespoir. CAILLOIS (1913-1978). Il a fait connaître Jorge Luis Borges en France. Son pessimisme Ironique le mena aux pierres où il trouva la paix. PEREC Georges (1936-1982). Orphelin à sept ans. En 1965 il publie « les Choses », un roman qui connait un succès considérable en dénonçant avec ironie notre société de consommation. « La disparition », roman sans un seul E : c’est le roman de l’absence ! et son chef s’œuvre : « La Vie mode d’emploi. » Un écrivain drôle et original. Une autre histoire de la littérature française /Tome II /Jean d’Ormesson « Il y a quelque chose de presque indéfinissable, quelque chose d’obscur et de lumineux, qui règne sur la littérature : ce quelque chose est le style. » Et le plaisir en plus. L’auteur ainsi pose ses conditions pour faire entrer dans son anthologie (tome II) les écrivains au beau style qui lui ont donné du plaisir. Pour chacun, une brève biographie agrémentée d’anecdotes ; puis quelques extraits des vers les plus célèbres. François VILLON (1431-1463) , le mauvais garçon, le truand, l’assassin au talent fou inaugure ainsi ce recueil avec la Ballade des dames du temps jadis et la Ballade des pendus. Il chante la vie, le mal, le corps des femmes, et la mort. Puis disparaitra dès l’âge de trente et un ans sans que plus jamais il ne réapparaisse. Joachim DU BELLAY (1522-1560) viendra pour défendre et illustrer la langue française au sein d’une Brigade qui deviendra la Pléiade. Ses Regrets (Heureux qui comme Ulysse…) sont encore dans toutes les mémoires. Pierre RONSARD (1524-1585) est d’un naturel gai...
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  • YvesP 01/01/2020
    Suite évidemment aussi bonne que le tome 1. L'auteur nous offre une sorte de flânerie, une série d'excursions, au style élégant, bienveillant et non dénué d'humour, dans les univers de ses auteurs favoris ou, du moins, de ceux avec lesquels il se sent des affinités. Un exercice de dilettante, agréable, subjectif mais un peu scolaire. Ce voyage en littérature est un plaisir pour le style D'Ormesson. Un régal pour les amateurs.
  • Wyoming 01/05/2018
    Avec ce deuxième tome, Jean d'O continue de nous faire voyager parmi les grands auteurs, avec toujours la même aisance et donne à chacun la possibilité d'enrichir avec plaisir sa culture littéraire.
  • Aurel82 15/02/2017
    Une véritable encyclopédie des plus grands auteurs français.
  • 06MireLLa06 01/10/2016
    Quand je l'ai lu, je suis resté emballée. D'Ormesson est enfin quelqu'un qui aime la littérature (ça, il n'est pas le seul) et qui sait la faire aimer (ça, c'est beaucoup moins courant). Un régal pour tous ceux qui veulent de réconcilier avec la littérature, se débarrasser de l'image poussiéreuse qu'ils en ont gardé de leur lycée ...
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