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Vorrh - Tome 1 : Vorrh
Vorrh, Tome 1
Nathalie Mège (traduit par)
Date de parution : 22/09/2022
Éditeurs :
Pocket

Vorrh - Tome 1 : Vorrh

Vorrh, Tome 1

Nathalie Mège (traduit par)
Date de parution : 22/09/2022
« Lisez ce livre et émerveillez-vous ! » Alan Moore
La Vorrh est une forêt merveilleuse et effrayante, tous ceux qui y pénètrent y trouvent soit la mort, soit l’oubli. Elle exerce pourtant une fascination quasi magnétique et un attrait... La Vorrh est une forêt merveilleuse et effrayante, tous ceux qui y pénètrent y trouvent soit la mort, soit l’oubli. Elle exerce pourtant une fascination quasi magnétique et un attrait irrésistible. Il se dit même que le jardin d’Éden y serait dissimulé...
La Vorrh est un lieu infini qui abrite toutes...
La Vorrh est une forêt merveilleuse et effrayante, tous ceux qui y pénètrent y trouvent soit la mort, soit l’oubli. Elle exerce pourtant une fascination quasi magnétique et un attrait irrésistible. Il se dit même que le jardin d’Éden y serait dissimulé...
La Vorrh est un lieu infini qui abrite toutes sortes d’étranges créatures : démons, fantômes, cyclopes… Personne ne l’a jamais exploré en entier, il serait sans fin, et il effraye les habitants de la région.
Pourtant, un homme a entrepris le périple. William, un ancien soldat qui a tout abandonné pour suivre une sorcière, sa bien-aimée Este. À sa mort, il a, suivant d'antiques rituels, emprisonné son esprit dans un arc et, écoutant ses murmures, s’est lancé sur la route…
 
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EAN : 9782266307406
Code sériel : 07293
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 656
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266307406
Code sériel : 07293
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 656
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Épique, surréaliste et poétique, Vorrh est l'une des œuvres de fantasy les plus originales et les plus marquantes de ces dernières années. »


 
Meriem Djebli / Lire

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • kinokoremi 12/06/2023
    J'ai eut énormément de mal à terminer le livre. (si je me souviens bien, je crois que je ne suis même pas allé au bout. 😅 ) Le récit et l'écriture sont tortueux (volontairement je suppose), ce qui a nuit à mon immersion. Surtout grosse déception car j'étais très intéressé par l'aventure de l'amant d'Este. C'est surtout son récit que je voulais lire. En réalité il est assez peu présent dans le livre... Malgré tout, l'univers est intrigant... peut-être que je me tenterai à lire la suite un jour. 👀
  • TedUDL 23/05/2023
    Brian Catling était un artiste complet. Ayant vécu pour et par ses œuvres, il aura sû incarner, à sa manière, l’engagement que peut représenter la création. Il fut sculpteur, peintre, performer, mais aussi réalisateur, poète et romancier. Un Anglais touche-à-tout, talentueux, construisant un univers aussi singulier que jusqu’au boutitste, allant même jusqu’à co-créer en 2001 le « the international performance collective WitW » . Alors que nous apprenions, il y a quelques jours la mort de Brian Catling, sortait de manière plutôt confidentielle, en poche, le premier volume de sa Trilogie Vorrh en version poche chez Pocket. Comme nous le disions en préambule, Brian Catling était poète, et même nous aurions pu dire : avant tout poète, et performer, si nous avions dû hiérarchisé l’importance, dans sa vie, de ses créations. De cette poésie, il faut comprendre ici, que même dans ses romans, même dans Vorrh, elle imprègne le style de l’auteur à chaque instant. C’est une composante centrale, qui colle au texte comme une sangsue au milieu de la jungle. Ce qui, au vu de certains articles lu à droite et à gauche, peut rebuter visiblement, tant l’auteur porte une signature, un style fort empruntant tour à tour à l’écriture... Brian Catling était un artiste complet. Ayant vécu pour et par ses œuvres, il aura sû incarner, à sa manière, l’engagement que peut représenter la création. Il fut sculpteur, peintre, performer, mais aussi réalisateur, poète et romancier. Un Anglais touche-à-tout, talentueux, construisant un univers aussi singulier que jusqu’au boutitste, allant même jusqu’à co-créer en 2001 le « the international performance collective WitW » . Alors que nous apprenions, il y a quelques jours la mort de Brian Catling, sortait de manière plutôt confidentielle, en poche, le premier volume de sa Trilogie Vorrh en version poche chez Pocket. Comme nous le disions en préambule, Brian Catling était poète, et même nous aurions pu dire : avant tout poète, et performer, si nous avions dû hiérarchisé l’importance, dans sa vie, de ses créations. De cette poésie, il faut comprendre ici, que même dans ses romans, même dans Vorrh, elle imprègne le style de l’auteur à chaque instant. C’est une composante centrale, qui colle au texte comme une sangsue au milieu de la jungle. Ce qui, au vu de certains articles lu à droite et à gauche, peut rebuter visiblement, tant l’auteur porte une signature, un style fort empruntant tour à tour à l’écriture pleine de souffre d’un Joseph Conrad, ou d’un Malcolm Lowry, qu’une écriture plus immédiate sans jamais perdre de sa superbe et qui n’est pas sans rappeler le travail d’un certain Claro. Vorrh est un lieu,une forêt, c’est une légende, un égarement, ce sont les possibles par-delà le sacrifice. Nous savons qu’elle existe, nous pouvons la placer, en Afrique, sur une carte, délimiter ses contours, exploiter ses abords. Mais Vorrh, en son sein, reste vernaculaire, obscure et échappe à la compréhension des hommes. De ce lieu et de cette mystique, toute une sociologie s’est créé, des peuples, des cultures, allant même jusqu’à construire Essenwald. Une ville européenne, transportée, et reconstruite à l’identique le long de Vorrh. William un ancien soldat, à la mort de sa compagne, construit un arc à partir du corps de cette dernière à sa demande, et s’élance dans la Vorrh. A Essenwald, dans une cave, grandi Ismaël un être humanoïde, n’ayant qu’un oeil, un cyclope aux proportions humaine qui finira par croiser la route de Gerthrude, fille d’un richissime exploitant. Nous suivons aussi, ailleurs, en Amérique, Eadweard Muybridge ( l’ inventeur du zoopraxographe), un photographe britannique. Suivi par une galerie de personnage comme le Français ( représentation de l’écrivain Raymond Roussel), le docteur Gull ( un des tueurs présumés de Whitechapel), ou encore la veuve de Winchester et sa maison pour accueillir les fantômes de celles et ceux tués par un fusil de la marque winchester. Des parcours venant à se croiser, même parfois de loin, et interagir, ayant pour centre magnétique cette mystérieuse forêt. Ce lieu, cette Terra Incognita, ou l’on pourrait aisément écrire « Hic sunt dracones “, comme sur les anciennes cartographies, tant elle catalyse fantasmes et possibles. Il est important de dire que ce n’est pas un livre de Fantasy, ou de Science Fiction, du moins pas dans le sens classique du terme. Vorrh est une matérialisation textuelle d’une certaine idée de ce que la magie peut-être dans le réel, mais bien loin de ce que vous croyez. Ainsi exit troll, farfadet, chupacabra, extra-terrestre, ou autres bestiaire que nous pourrions nous attendre à découvrir, et bienvenue dans une terre peuplée avant tout des névroses humaines. Des névroses engendrées par des fantasmes bien humains et bien ancrés dans son époque, construisant ainsi une forme de “proto-fantaisie”, où la magie et le fantastique sont présents mais d’une manière discrète et sans jamais dire leurs noms. Au-delà de cet aparté, Vorrh est une construction minutieuse d’un monde en pleine évolution, comme la prise instantané d’un temps en mouvement, ayant autant à dire sur un passéisme colonial, qu’une quête de reconnaissance et d’identité, le tout pris dans une frénésie capitaliste, poussant avant tout à l’usure immédiate pour un profit éphémère. Nous retrouvons aussi cette idée d’usure sur les corps, ils sont exploités, abîmés, utilisés, mutilés, transformés, transcandés. Il y a ce rapport au corps, à sa chair, à ses douleurs et plaisirs, qui s’inscrit dans l’incipit même du roman, donnant une ambiance et une tonalité, faisant écho aux auteurs cités plus haut, mais également à un certains Ténèbres de Paul Kawczak. Un tropisme de la chair ayant pour espoir l’illumination et l’élévation. De cet ensemble, se dégage une tension quasi-permanente, nous plongeant presque par instant dans une forme de transe où les mots nourrissent un imaginaire que nous n’aurions jamais évoqué en dehors de ce texte et de cet univers en particulier. L’écriture de Brian Catling jouant son rôle à la perfection. D’une beauté et d’une puissance rare, l’auteur construit avec un style fort, un univers dense et vénéneux où la lumière et les ténèbres font avant tout et surtout souffrir. Brian Catling, avec Vorrh a su se détourner des grandes voies littéraires, pour construire un chemin empruntant autant à ses propres références littéraires, qu’à une certaine vision du réel, et ainsi proposant un Vorrh obsédant et fascinant par sa densité ainsi que par ce qu’il a à dire de son monde et du notre. Une œuvre certes, aux premiers instants, déroutantes, mais une oeuvre monde, porteuse en son sein d’une indéfinissable magie obsédante que l’on pourrait apparenter à la folie créatrice. Ce qui n’est pas sans rappeler le talent de deux autres compatriotes anglais, à savoir Alan Moore et Iain Sinclair.
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  • Humungus 07/05/2023
    Ce livre m'a vraiment laissé perplexe ! L'écriture est très belle, mais assez abrupte, aussi bien par le vocabulaire employé que par la longueur des phrases. Si bien que la moindre baisse de concentration pendant la lecture m'obligeait à reprendre la phrase voire le paragraphe depuis le début ! A ne pas lire, donc lorsque l'on a des préoccupations ou des sujets de distraction parasites ! Le "fil rouge" du roman est la forêt Vorrh, non pas en tant qu'élément principal de l'histoire, mais plutôt comme la toile de fond d'une série de tableaux ... Par contre, par sa construction, le roman a été incompréhensible pour moi. Il décrit, par chapitres des histoires indépendantes les unes des autres, avec nombreux personnages dans chaque. Ces histoires semblent passionnantes, envoutantes, intrigantes, mais comme l'auteur commence ses chapitres sans titre ni indice qui indique au lecteur de quelle "histoire" il va traiter, j'ai eu un mal fou à les aborder ! Je pense que, comme ce sont des histoires indépendantes les unes des autres, l'auteur aurait dû les traiter les unes après les autres, entièrement, sous forme d'un roman de nouvelles, avec en trame de fond la forêt vénéneuse et mystérieuse de Vorrh pour ne pas compliquer... Ce livre m'a vraiment laissé perplexe ! L'écriture est très belle, mais assez abrupte, aussi bien par le vocabulaire employé que par la longueur des phrases. Si bien que la moindre baisse de concentration pendant la lecture m'obligeait à reprendre la phrase voire le paragraphe depuis le début ! A ne pas lire, donc lorsque l'on a des préoccupations ou des sujets de distraction parasites ! Le "fil rouge" du roman est la forêt Vorrh, non pas en tant qu'élément principal de l'histoire, mais plutôt comme la toile de fond d'une série de tableaux ... Par contre, par sa construction, le roman a été incompréhensible pour moi. Il décrit, par chapitres des histoires indépendantes les unes des autres, avec nombreux personnages dans chaque. Ces histoires semblent passionnantes, envoutantes, intrigantes, mais comme l'auteur commence ses chapitres sans titre ni indice qui indique au lecteur de quelle "histoire" il va traiter, j'ai eu un mal fou à les aborder ! Je pense que, comme ce sont des histoires indépendantes les unes des autres, l'auteur aurait dû les traiter les unes après les autres, entièrement, sous forme d'un roman de nouvelles, avec en trame de fond la forêt vénéneuse et mystérieuse de Vorrh pour ne pas compliquer la tâche du lecteur inutilement ! La lecture doit rester un plaisir ... Mention spéciale pour la couverture !
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  • lehibook 27/02/2023
    Premier chapitre : le narrateur dépiaute le cadavre de sa compagne sorcière pour fabriquer de son corps un arc magique. Après un début pareil on peut s’attendre à tout. Et tout arrive : cyclope , fantômes , êtres de bakélites , anges , tueurs et guérisseurs .L’auteur développe cinq arcs narratifs à travers le monde entier où chacun des personnages a eu une connexion avec la Vorrh une étrange jungle africaine aux peuples étranges et aux propriétés surnaturelles (ne cacherait-elle pas en son sein le jardin d’Eden ?) . L’histoire est très complexe mêlant magie , sensualité, érotisme mais aussi une critique sous -jacente de la colonisation ( destruction des milieux et des peuples , pillage des ressources et des cultures , esclavage ) . Un livre absolument original et fascinant qui m’a rappelé « La forêt des mythimages » de Holdstock et dont je vais lire la suite (c’est une trilogie) avec gourmandise.
  • Nena83b 07/12/2022
    J'avais hâte de découvrir Vorrh, et Babelio a exaucé mon souhait en m'envoyant ce roman grâce à Masse Critique, merci !! L'histoire est originale, très visuelle et entêtante, c'est prenant on ne peut pas le nier. Mais c'est très long. Si certains ont lu assez rapidement ce roman, il m'aurait fallu un mois pour en venir à bout tant je repoussais la lecture. Je ne sais pas si j'ai aimé ou pas, on referme le livre en ayant le popotin entre deux transats, clairement. Il n'en reste pas moins un roman bien écrit, intriguant et cruel. Une découverte sympa et en temps frustrante. Difficile à commenter, du coup.
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