« Servi par un style télégraphique, des dialogues acérés, des flash-backs instructifs, le texte de Michael Herr voit se croiser gangsters, humoristes et écrivains, starlettes, attachés de presse et larbins. Voici un Walter Winchell, piètre danseur de rumba et de fox-trot, conduisant une Ford noire, portant sur lui un Colt P38, dormant cinq heures par nuit, se lamentant que l'un des plus grands scoops soit écrasé par l'annonce des Allemands envahissant la Pologne... Vous avez dit « culte fiction » ? »
LIVRES HEBDO
« Michael Herr trousse cette histoire unique dans un style unique, à mi-chemin entre le scénario et le roman. Les dialogues sont savoureux, percutants. »
METRO
« Drôle de bouquin sur la vie d'un vaudevilliste médiocre, chroniqueur mondain colportant les pires rumeurs pour briser une carrière dans l'Amérique des années 30. »
ZURBAN
« À travers le portrait au scalpel d'un homme vulgaire, démagogue, arrivé au faîte de la puissance journalistique un peu par hasard, que trace Herr entre fascination et dégoût, c'est un pays et une époque qui sont également racontés. Superbe. »
SUD OUEST
« La gloire tonitruante de Walter Winchell, qui fut un chroniqueur à scandale et à succès dans les années vingt et trente, se retourne contre lui dans des scènes que Michael Herr habille d'un point de vue en forme de caméra. Et l'on voit Ernest Hemingway et Damon Runyon en compagnie du personnage haut en couleur, comme si on y était. Culte fictions a bien commencé, on demande à voir la suite ! »
LE SOIR