Revue de presse :
« Colum McCann est un grand écrivain parce qu'il est un écrivain amoureux. Amoureux fou de ses histoires et de ses personnages, du monde et de ses mystères. Son don de soi est total. Il prend littéralement la route avec Zoli et nous avec. Sa plume caracole avec la roulotte, gèle avec l'hiver, fond avec l'été, danse au son des harpes et des voix, se fige lorsque tombe le couperet de la haine et du rejet. »
Philippe Chevilley, Les Echos
« Au coeur de ce roman poignant et magistralement écrit : "l'assimilation, l'appartenance, l'ethnicité." (...) L'idée n'est pas neuve, certes, mais Colum McCann la met en roman de façon éblouissante. Un roman où l'on découvre à quel point les mots peuvent être terrifiants, à quelles extrémités peut conduire la publication d'un livre. De quelle façon, aussi, un mensonge devient vérité. »
François Busnel, Lire
«Zoli, dans son miroir brisé comme la glace d'un lac tchèque, nous renvoie l'image d'une femme libre, "insaisissable". Colum McCann a réussi une fresque somptueuse et cruelle sur ces Roms qui, de tous temps, ont préféré les routes aux hautes tours. »
André Rollin, Le Canard enchaîné
« A chaque fois, il s'approprie ces mondes, ces décors, ces cultures, avec une érudition et, mieux, une sympathie prodigieuse. Pourtant, c'est comme s'il nous parlait toujours de lui. De la solitude. Du mal de vivre, et de l'art peut-être, comme ultime éclaircie au bout de la nuit. Un pur, nécessaire et vrai romancier... »
Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur