1795

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Jecritiqueettufaistapal 14/03/2023
  23//2023 Le dernier tome d'une trilogie incroyable 😍😍 Épopée extraordinaire, cette histoire bâtie dans la Suède post révolution française mérite vraiment le détour. L'ambiance est incroyable, les personnages travaillés de façon précise et réaliste, et la lecture est immersive comme rarement dans un décor et une société que l'on perçoit complètement. Ce tome 3 est la suite directe du 2, a lire donc dans l'ordre de façon obligatoire pour apprécier totalement la destinée de nos 4 personnages principaux a travers ces 4 années de galère, de noirceur, et aussi d'un toit petit peu de lumière :) Une trilogie choc, une conclusion magnifique, une plume vraiment touchante, cette trilogie est une réussite totale. Coup de cœur 🥰🥰
• Carolivra 03/03/2023
  1795 clôt la trilogie noire et poisseuse de Niklas Natt Och Dag. A Stockholm, dans la crasse et la misère, Jean Michael Cardell retrouve Emil Winge afin de mener à bien sa dernière mission: retrouver Anna Stina, punir Tycho Ceton et faire enfin la paix avec lui-même. J’ai adoré la manière dont cet ultime tome est mené. L’intrigue est racontée à travers des points de vue différents: Jean Michael, Tycho, Emil. Le rythme en est peut-être plus lent mais il permet de savourer chaque détail. Rien n’est jamais simple, rien n’est jamais lisse. La violence saute aux yeux, la cupidité, la luxure, l’envie. Stockholm apparaît bel et bien comme une antichambre des enfers dans laquelle les ultras-riches exaucent tous leurs désirs les plus vils. Jean-Michael et toute la ville semblent courir après cette satanée lettre qui permettrait de résoudre bien des problèmes. Une fois de plus, l’auteur m’a complètement embarquée. J’étais comme en apnée tout au long de ma lecture, n’osant pas respirer l’air putride qui se dégage de cette ville viciée. On ressent toute la misère des habitants: la faim, le froid puis la chaleur éreintante. Il faut avoir le cœur bien accroché tout de même. Certaines scènes sont morbides et marquantes. La... 1795 clôt la trilogie noire et poisseuse de Niklas Natt Och Dag. A Stockholm, dans la crasse et la misère, Jean Michael Cardell retrouve Emil Winge afin de mener à bien sa dernière mission: retrouver Anna Stina, punir Tycho Ceton et faire enfin la paix avec lui-même. J’ai adoré la manière dont cet ultime tome est mené. L’intrigue est racontée à travers des points de vue différents: Jean Michael, Tycho, Emil. Le rythme en est peut-être plus lent mais il permet de savourer chaque détail. Rien n’est jamais simple, rien n’est jamais lisse. La violence saute aux yeux, la cupidité, la luxure, l’envie. Stockholm apparaît bel et bien comme une antichambre des enfers dans laquelle les ultras-riches exaucent tous leurs désirs les plus vils. Jean-Michael et toute la ville semblent courir après cette satanée lettre qui permettrait de résoudre bien des problèmes. Une fois de plus, l’auteur m’a complètement embarquée. J’étais comme en apnée tout au long de ma lecture, n’osant pas respirer l’air putride qui se dégage de cette ville viciée. On ressent toute la misère des habitants: la faim, le froid puis la chaleur éreintante. Il faut avoir le cœur bien accroché tout de même. Certaines scènes sont morbides et marquantes. La fin du roman est judicieuse et extrêmement bien trouvée et permet de clore cette trilogie de manière magistrale. 1795 est un coup de cœur absolu, un sans faute total.

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• paleoliticgirl 01/03/2023
  C’est véritablement un tome de conclusion avec une année qui défile pour les personnages chacun de leurs côtés avant de se retrouver pour le final à la fin de l’année. Rien d’explosif comme on aurait pu s’y attendre, 1794 marque la fin de l’horreur de Tycho Cetton et en 1795, on attend la fin de cette traque en parallèle des histoires politiques et royalistes/révolutionnaires de la Suède. Finalement, c’est un roman assez différent des deux autres. On connait note boudin, on connait les problèmes d’Emil, on sait ce qui s’est passé et qui a valu à nos deux compères de se séparer. En fait, il n’y a plus la nouveauté des deux précédents romans. Pas de nouveaux rebondissements, juste la fin de la trilogie. Une chose ne change pas malgré tout, c’est la densité du roman, toujours très épais, très détaillé, complexe. Mais pour le coup, si j’apprécie d’ordinaire ce genre de choses, là, j’ai peiné. Certainement, aussi, à cause du peu d’actions dans le roman. Les personnages, toujours très nombreux ont également favorisé cette peine. il y a tellement de détails, de mélange, d’histoire dans l’histoire pour bien nous faire comprendre la période que, je me suis parfois perdue, ne gardant que... C’est véritablement un tome de conclusion avec une année qui défile pour les personnages chacun de leurs côtés avant de se retrouver pour le final à la fin de l’année. Rien d’explosif comme on aurait pu s’y attendre, 1794 marque la fin de l’horreur de Tycho Cetton et en 1795, on attend la fin de cette traque en parallèle des histoires politiques et royalistes/révolutionnaires de la Suède. Finalement, c’est un roman assez différent des deux autres. On connait note boudin, on connait les problèmes d’Emil, on sait ce qui s’est passé et qui a valu à nos deux compères de se séparer. En fait, il n’y a plus la nouveauté des deux précédents romans. Pas de nouveaux rebondissements, juste la fin de la trilogie. Une chose ne change pas malgré tout, c’est la densité du roman, toujours très épais, très détaillé, complexe. Mais pour le coup, si j’apprécie d’ordinaire ce genre de choses, là, j’ai peiné. Certainement, aussi, à cause du peu d’actions dans le roman. Les personnages, toujours très nombreux ont également favorisé cette peine. il y a tellement de détails, de mélange, d’histoire dans l’histoire pour bien nous faire comprendre la période que, je me suis parfois perdue, ne gardant que l’essentiel et ne m’arrêtant pas aux restes. En fait c’est un roman très exigeant et je n’ai pas eu la patience. Maintenant que je connais la fin (qui ‘a tout de même surprise et choquée peut être), je me dis que j’aurais dû aborder autrement ma lecture. Non pas comme pour les premiers en tant que thriller historique mais comme un roman noir. Si avec 1793 et 1794, on était déjà à cheval sur les genres là, il bascule finalement et est beaucoup plus proche. La question qui se pose (et je ne suis pas la première à le dire) c’est : est ce qu’une duologie avec un épilogue 1795 n’aurait pas suffit plutôt que de nous faire lire presque 500 pages de conclusion? Je me demande vraiment…. Je suis donc assez mitigée car si ce roman a des grandes qualités, il est aussi assez long et peu entrainant, c’est vraiment compliqué de trancher.

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• RochelleGabe 28/02/2023
  1795 est le dernier tome d'une trilogie. Avec ces 3 romans 1793, 1794, 1795 je suis passée par toutes les émotions. Ici, on est dans une saga sombre, glauque, sale, sans pitié. L'auteur nous raconte la Suède de cette époque, la misère, l'extrême pauvreté d'une population où chacun.e s'arrange comme il peut (avec la loi et sa conscience). C'est donc dur, implacable. Et dans cette fange, on découvre des hommes et des femmes extraordinaires par leur courage, leur obstination et l'auteur nous les faits aimer sans condition. On s'attache à eux et on en crève. On y trouve aussi des personnages hideux, des monstres, et la confrontation entre ces 2 mondes du bien et du mal dont la frontière est extrêmement mince forme une fresque incroyable, d'une qualité exceptionnelle. Alors oui, il faut aimer les ambiances scandinaves, poisseuses, glauques, les récits détaillés, les personnages peu ragoûtants. Mais si tout cela ne vous rebute pas, osez cette trilogie de qualité. Vous ne serez pas déçu.es. Sachez une dernière chose, l'auteur ne nous épargne pas et vous allez chialer à la fin de chaque tome. 1795 est d'une densité incroyable, j'en suis ressortie lessivée. Il est cependant celui que j'ai peut-être le moins aimé des 3, car on... 1795 est le dernier tome d'une trilogie. Avec ces 3 romans 1793, 1794, 1795 je suis passée par toutes les émotions. Ici, on est dans une saga sombre, glauque, sale, sans pitié. L'auteur nous raconte la Suède de cette époque, la misère, l'extrême pauvreté d'une population où chacun.e s'arrange comme il peut (avec la loi et sa conscience). C'est donc dur, implacable. Et dans cette fange, on découvre des hommes et des femmes extraordinaires par leur courage, leur obstination et l'auteur nous les faits aimer sans condition. On s'attache à eux et on en crève. On y trouve aussi des personnages hideux, des monstres, et la confrontation entre ces 2 mondes du bien et du mal dont la frontière est extrêmement mince forme une fresque incroyable, d'une qualité exceptionnelle. Alors oui, il faut aimer les ambiances scandinaves, poisseuses, glauques, les récits détaillés, les personnages peu ragoûtants. Mais si tout cela ne vous rebute pas, osez cette trilogie de qualité. Vous ne serez pas déçu.es. Sachez une dernière chose, l'auteur ne nous épargne pas et vous allez chialer à la fin de chaque tome. 1795 est d'une densité incroyable, j'en suis ressortie lessivée. Il est cependant celui que j'ai peut-être le moins aimé des 3, car on y suit longuement un personnage détestable et ce n'était pas toujours très confortable 😅 Bravo à l'auteur pour cette œuvre époustouflante. Je ne suis pas prête de l'oublier.

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• Waterlyly 27/02/2023
  1795. Après l’incendie qui a ravagé l’orphelinat, Ceton demeure introuvable. C’est le cas également d’Anna Stina, qui devait tout mettre en œuvre pour récupérer une lettre de la plus haute importance, contenant les noms de plusieurs conspirateurs. La jeune femme a perdu ses enfants dans l’incendie de l’orphelinat. Cardell, très amoindri suite à ses diverses blessures, et Emil, toujours prisonnier du souvenir de son frère décédé, vont mener l’enquête pour les retrouver. Tout d’abord, j’aime autant vous prévenir. Il s’agit du dernier tome de la trilogie de l’auteur. Autant le tome « 1794 » pouvait presque se lire indépendamment, autant celui-ci il ne vaut mieux pas, sous risque de se perdre. En effet, cet opus débute avec les événements finaux du tome précédent. J’ai vraiment apprécié cette trilogie dans son ensemble. Ce tome a un rythme plutôt lent, comparé aux autres, mais pour ma part, cela a plutôt fonctionné une fois de plus. L’auteur n’a pas son pareil pour créer une atmosphère sombre et donner toute sa place à la ville. Il nous propose ainsi une immersion totale dans une époque qu’il arrive à retranscrire avec beaucoup de brio et de réalisme. Ce tome est divisé en plusieurs parties jusqu’au dénouement final qui propose... 1795. Après l’incendie qui a ravagé l’orphelinat, Ceton demeure introuvable. C’est le cas également d’Anna Stina, qui devait tout mettre en œuvre pour récupérer une lettre de la plus haute importance, contenant les noms de plusieurs conspirateurs. La jeune femme a perdu ses enfants dans l’incendie de l’orphelinat. Cardell, très amoindri suite à ses diverses blessures, et Emil, toujours prisonnier du souvenir de son frère décédé, vont mener l’enquête pour les retrouver. Tout d’abord, j’aime autant vous prévenir. Il s’agit du dernier tome de la trilogie de l’auteur. Autant le tome « 1794 » pouvait presque se lire indépendamment, autant celui-ci il ne vaut mieux pas, sous risque de se perdre. En effet, cet opus débute avec les événements finaux du tome précédent. J’ai vraiment apprécié cette trilogie dans son ensemble. Ce tome a un rythme plutôt lent, comparé aux autres, mais pour ma part, cela a plutôt fonctionné une fois de plus. L’auteur n’a pas son pareil pour créer une atmosphère sombre et donner toute sa place à la ville. Il nous propose ainsi une immersion totale dans une époque qu’il arrive à retranscrire avec beaucoup de brio et de réalisme. Ce tome est divisé en plusieurs parties jusqu’au dénouement final qui propose toutes les explications nécessaires. S’il est plus lent que les précédents, les mystères n’en demeurent pas moins très intriguants et j’ai tourné les pages avec beaucoup de curiosité. La plume de l’auteur est toujours aussi fine et descriptive. Avec beaucoup de talent, il réussit à créer un véritable roman d’ambiance. Les chapitres sont assez courts, ce qui rythme l’histoire. Un dernier tome qui clôt cette saga haletante. Même s’il met plus de temps à se mettre en place, l’histoire n’en demeure pas moins addictive. À lire après avoir découvert les deux tomes précédents.

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