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2001 : L'Odyssée de l'espace - nouvelle traduction
Gilles Goullet (traduit par)
Collection : Ailleurs et Demain
Date de parution : 07/10/2021
Éditeurs :
Robert Laffont

2001 : L'Odyssée de l'espace - nouvelle traduction

Gilles Goullet (traduit par)
Collection : Ailleurs et Demain
Date de parution : 07/10/2021

La nouvelle traduction d’un des romans majeurs des littératures de l’imaginaire.

Nous sommes en 2001.
L’humanité ne sera plus jamais la même.
La science-fiction non plus, après la publication en 1968 de ce chef-d’oeuvre du genre, et la sortie la même année de l’opus mythique de Stanley Kubrick.

EAN : 9782221241622
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 270
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221241622
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 270
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Travis67 09/05/2023
    Retour de lecture sur "2001 l'odyssée de l'espace" un livre de Arthur C Clarke écrit en parallèle à l'élaboration du film de Stanley Kubrick en 1968. Le film est probablement un des plus grands chefs-d'œuvre du cinéma. Pour ce film, très contemplatif, la question de la concurrence du livre ne se pose pas, nous sommes sur une œuvre hors catégorie. Si Kubrick est un des plus grands cinéastes, Clarke n'est pas non plus un amateur, il fait partie avec Asimov et Heinlein, des "Big three", les trois grands auteurs de science-fiction de langue anglaise. En fait, aucune des œuvres, du film ou du livre, n'a inspiré l'autre, elles ont tout simplement été élaborées toutes les deux par Kubrick et Clarke ensemble et en même temps. Le livre doit être considéré comme un parfait complément au film. Avec une trame qui est globalement la même, le livre, plus complet, nous donne de nombreuses clés pour mieux comprendre l'histoire tout en ayant une fin qui diffère. On se rend compte que beaucoup de choses, pour des raisons techniques, pouvaient difficilement être adaptées au cinéma, ce qui est un des avantages du livre. Il apporte une explication à pratiquement tous les mystères du... Retour de lecture sur "2001 l'odyssée de l'espace" un livre de Arthur C Clarke écrit en parallèle à l'élaboration du film de Stanley Kubrick en 1968. Le film est probablement un des plus grands chefs-d'œuvre du cinéma. Pour ce film, très contemplatif, la question de la concurrence du livre ne se pose pas, nous sommes sur une œuvre hors catégorie. Si Kubrick est un des plus grands cinéastes, Clarke n'est pas non plus un amateur, il fait partie avec Asimov et Heinlein, des "Big three", les trois grands auteurs de science-fiction de langue anglaise. En fait, aucune des œuvres, du film ou du livre, n'a inspiré l'autre, elles ont tout simplement été élaborées toutes les deux par Kubrick et Clarke ensemble et en même temps. Le livre doit être considéré comme un parfait complément au film. Avec une trame qui est globalement la même, le livre, plus complet, nous donne de nombreuses clés pour mieux comprendre l'histoire tout en ayant une fin qui diffère. On se rend compte que beaucoup de choses, pour des raisons techniques, pouvaient difficilement être adaptées au cinéma, ce qui est un des avantages du livre. Il apporte une explication à pratiquement tous les mystères du film. Cette histoire démarre il y a 3 millions d'années, à l'époque des hommes-singes, autour de la presence d'un monolithique noir qui apparait subitement et suscite la curiosité puisqu'on ne connait pas vraiment sa fonction. On est ensuite entraîné dans une expédition spatiale vers Saturne dans laquelle l'homme exploite toute sa puissance technologique, jusqu'à ce que celle-ci se retourne contre lui. On bascule ensuite dans quelque chose de totalement abstrait, de métaphysique, pour terminer sur une fin qui éclaire tout, une fin qui fait froid dans le dos, plus Kubrickienne dans le livre que dans le film, c'est un comble. Un livre qui 55 ans après son écriture est encore d'une modernité bluffante et reste plus que jamais d'actualité, avec l'importance exponentielle prise par l'intelligence artificielle dans notre quotidien, qui peut être mise en parallèle avec les risques toujours plus importants d'un conflit nucléaire majeur. C'est une œuvre de science-fiction magistrale, une réflexion vertigineuse sur notre rapport à la technologie, sur l'histoire de l'humanité et de son destin, mais aussi, au-delà de tout ça, sur dieu, son existence et sa représentation.
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  • Zoeprendlaplume 22/04/2023
    J’avais déjà vu le film une première fois il y a très longtemps, mais j’avais arrêté en plein milieu car je m’ennuyais ferme. Cette fois, j’ai donc voulu faire l’inverse : revenir à la série par les livres. J’avais en plus lu que le roman expliquait plus de choses que le film, dont la fin manquait de clefs pour comprendre tout ce qui était en jeu. J’étais donc préparée à une expérience particulière, persuadée que la lecture allait être passablement complexe et soporifique. Mais finalement, pas tant que ça. Et très étrangement, c’est la première partie de 2001, La nuit ancestrale, qui m’a le plus séduite. J’y ai trouvé une sorte de récit de l’humanité, narrée dans une poésie universelle, simple et grande à la fois. Comme le début d’une épopée fantastique. J’ai adoré la confrontation choc entre la vie primitive des premières tribus d’Hommes-Singes qui ont tout à découvrir et la survenue de ce monolithe noir. Choc de couleurs, de formes, de culture, de technologie… Cette première partie m’a vraiment semblé assez incroyable comme ouverture. Le film en a fait des moments d’anthologie. La suite de 2001 m’a en revanche plongée dans une sorte de torpeur ; c’est assez lent, suivant... J’avais déjà vu le film une première fois il y a très longtemps, mais j’avais arrêté en plein milieu car je m’ennuyais ferme. Cette fois, j’ai donc voulu faire l’inverse : revenir à la série par les livres. J’avais en plus lu que le roman expliquait plus de choses que le film, dont la fin manquait de clefs pour comprendre tout ce qui était en jeu. J’étais donc préparée à une expérience particulière, persuadée que la lecture allait être passablement complexe et soporifique. Mais finalement, pas tant que ça. Et très étrangement, c’est la première partie de 2001, La nuit ancestrale, qui m’a le plus séduite. J’y ai trouvé une sorte de récit de l’humanité, narrée dans une poésie universelle, simple et grande à la fois. Comme le début d’une épopée fantastique. J’ai adoré la confrontation choc entre la vie primitive des premières tribus d’Hommes-Singes qui ont tout à découvrir et la survenue de ce monolithe noir. Choc de couleurs, de formes, de culture, de technologie… Cette première partie m’a vraiment semblé assez incroyable comme ouverture. Le film en a fait des moments d’anthologie. La suite de 2001 m’a en revanche plongée dans une sorte de torpeur ; c’est assez lent, suivant le rythme de Discovery. Comme les personnages, on fait l’expérience d’une temporalité différente, qui s’étire. Là encore, ce sont des ressentis que j’ai retrouvés dans le film : peu de dialogues, des décors épurés à l’extrême, et une musique à la fois entraînante et tranquille (le Beau Danube Bleu). J’ai particulièrement aimé les mouvements de caméra dans et en dehors de Discovery, ainsi que l’alternance de la musique et du silence hors vaisseau. En revanche, la fin est un bouquet final de couleurs, de sons, de mouvements. Difficile pour moi de l’appréhender complètement et d’en parler avec discernement. Car après une douce torpeur pendant les 2/3 du livre, cette avalanche de tout m’a décoiffée, prise par surprise et complètement perdue. Ce n’est pas incompréhensible, mais ce qui se produit à la fin du roman est d’une telle ampleur et tellement contraire à tout ce que l’on connait… que l’on est comme les personnages : émerveillé, terrifié, essoufflé, sans savoir précisément pourquoi. Comme si tout cela dépassait l’entendement. Et évidemment, 2001 se termine sur quelque chose de grandiose, mais qui laisse aussi beaucoup de questions sans réponses. J'ai également adoré l'écriture de Arthur C. Clarke dans cet opus. On est dans le registre de la hard SF, mais très abordable. L’auteur explique tout, sans prendre de ton professoral. En effet, le propos est précis sans être jargonneux. Réaliste, également. L’auteur aborde par exemple les notions relatives au temps, la vie quotidienne à bord, les télécommunications, la manière de se diriger dans l’espace et aborder une planète, la géologie/climatologie de Jupiter ses satellites, la gravité et ses effets… J’ai trouvé cela vraiment passionnant, facile d’accès et très compréhensible. Ce n’est jamais lourd, ni assommant, mais sachez-le : 2001 comporte des passages assez longuets qui peuvent vous endormir si vous n’êtes pas friands des longs récits sur le voyage spatial en tant que tel. Même si j’ai trouvé le tout un peu lent, je n’ai jamais peiné à la lecture : le roman est court et offre une poésie et un pragmatisme qui m’ont plu. L’alternance entre explications très réalistes et poésie contemplative peut être déroutant, mais j’ai adoré ça et j’ai trouvé l’équilibre assez remarquable. Et enfin, je dois parler de ce sense of wonder incroyable, qui m'a fait ressentir un émerveillement devant les possibilités infinies de cet Univers tout aussi infini, mais aussi un sacré vertige. Le roman interroge la nature de l'Humanité, ses origines, sa place dans l'Univers et le sens de la vie. Le roman est à la fois humain et divin, proposant un discours très métaphysique. Il remet pas mal de choses en perspective, relativisant la place de l'Humain dans le système planétaire, et proposant un visage de l'Altérité particulièrement décoiffant. Bref, un premier volume que j'ai adoré mais qui m'a laissé une petite pointe de déception à la fin, tant je n'ai pas réussi à saisir l'immensité de ce qui était en jeu et décrit. J'ai donc foncé aussitôt vers 2010, Odyssée deux, pour avoir mes réponses tant attendues... ! :)
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  • AmaelleBL 23/03/2023
    Un classique de la SF que je n'avais jamais lu et qui m'a particulièrement plu car il m'a tout simplement éclairée sur un film qui restait une énigme pour moi. L'histoire est passionnante et bien que le style soit peut-être un peu trop sobre et expéditif (on sent qu'il s'agit d'une novélisation) Arthur C. Clarke a su restituer simplement une idée complexe et profonde. Bref c'est un excellent complément au film de Kubrick pour celles et ceux qui, comme moi, ont pu être un peu rebutés par son côté abstrait.
  • finitysend 14/03/2023
    2001 L'odyssée de l'espace est un film grandiose … Et le bouquin ? Et bien à part le fait qu'il est légèrement bâclé comme la plupart des romans de l'auteur( oui et pi sé tout ! ) et à part le fait également que certains passages sont abscons en plus ,avouons qu' il est pas mal malgré tout . Le texte pourrait bien vous inciter à continuer d'être ou à devenir enfin polis et très aimable avec votre PC , ceci pour rendre fructueuse votre relation mutuelle , mais aussi pour votre propre sécurité ,car sans devenir agressif votre PC , pourrait n'en faire qu'a sa tète toujours dans votre intérêt mutuel évidement , mais aussi pour lui-même , en tant qu'être d'acier et de silicium. Les monolithes permettent peut-être de cultiver l'intelligence dans la galaxie et même dans notre système solaire du côté des mondes extérieurs certes oui , et par chez nous ? c'est une bonne question figurez-vous. Le texte fait rêver parce qu'il est comme le film très immersif et spectaculaire , mais il est aussi riche que frustrant et légèrement abscons , donc difficile de conseiller de se précipiter pour entamer sa lecture , et plus ,je vous dit... 2001 L'odyssée de l'espace est un film grandiose … Et le bouquin ? Et bien à part le fait qu'il est légèrement bâclé comme la plupart des romans de l'auteur( oui et pi sé tout ! ) et à part le fait également que certains passages sont abscons en plus ,avouons qu' il est pas mal malgré tout . Le texte pourrait bien vous inciter à continuer d'être ou à devenir enfin polis et très aimable avec votre PC , ceci pour rendre fructueuse votre relation mutuelle , mais aussi pour votre propre sécurité ,car sans devenir agressif votre PC , pourrait n'en faire qu'a sa tète toujours dans votre intérêt mutuel évidement , mais aussi pour lui-même , en tant qu'être d'acier et de silicium. Les monolithes permettent peut-être de cultiver l'intelligence dans la galaxie et même dans notre système solaire du côté des mondes extérieurs certes oui , et par chez nous ? c'est une bonne question figurez-vous. Le texte fait rêver parce qu'il est comme le film très immersif et spectaculaire , mais il est aussi riche que frustrant et légèrement abscons , donc difficile de conseiller de se précipiter pour entamer sa lecture , et plus ,je vous dit ! , : Si vous avez vu le film vous aurez plus de plaisir à cette lecture . Cela dit , perso je conseille de lire le texte avant de voir le film car cela permet de profiter de l'univers splendide que nous offre ce film aux images grandioses au charme intemporel de manière plus profonde et immersive . Le roman est solide du point de vue du déploiement d'un discours à la fois, scientifique et romanesque et c'est un voyage qui est aussi le prélude à une série d'aventures cinématographiques et littéraires , car , après l'auteur ,S Baxter s'est mêlé de prolonger ces aventures de multiples fois ( CF les titres titans …..) . Un classique plaisant et assez incontournable car il fut inspirant pour de grands créateurs en SF .
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  • mariustsakyriou1_1675447503904 22/02/2023
    J’ai beaucoup entendu d’avis positifs sur le film de Stanley Kubrick « 2001 : l’Odyssée de l’espace ». On me disait que ce film était un « classique du cinéma » voire même un « chef d’œuvre ». Je me suis alors posé la question suivante : en est-il de même pour le livre qui a inspiré Kubrick ? Voilà donc ce qui m’a emmené à acheter ce livre. J’ai donc commencé ma lecture, pensant que ma lecture serait passionnante ou, en tout cas, à l’image des échos que j’avais eu du film. Cependant, j’étais loin de me douter que j’allais m’ennuyer pendant les 130 premières pages (sur 285 pages). En effet, je vous avoue que plusieurs fois j’ai voulu abandonner cette lecture car il n’y avait aucune tonalité, aucun événement intéressant qui était sensible de m’accrocher à cette lecture. Peut-être était-ce l’effet espéré d’Arthur C. Clarke, mais les personnages principaux du début n’étaient pas intéressants, je ne portais pas vraiment d’intérêts pour eux. Il en allait de même pour les lieux, qui apparaissaient la plupart du temps brièvement dans le livre, je ne pouvais donc encore moins m’accrocher à l’histoire. Mais j’ai relativisé, me disant que le livre deviendrait de plus en plus intéressant. Et... J’ai beaucoup entendu d’avis positifs sur le film de Stanley Kubrick « 2001 : l’Odyssée de l’espace ». On me disait que ce film était un « classique du cinéma » voire même un « chef d’œuvre ». Je me suis alors posé la question suivante : en est-il de même pour le livre qui a inspiré Kubrick ? Voilà donc ce qui m’a emmené à acheter ce livre. J’ai donc commencé ma lecture, pensant que ma lecture serait passionnante ou, en tout cas, à l’image des échos que j’avais eu du film. Cependant, j’étais loin de me douter que j’allais m’ennuyer pendant les 130 premières pages (sur 285 pages). En effet, je vous avoue que plusieurs fois j’ai voulu abandonner cette lecture car il n’y avait aucune tonalité, aucun événement intéressant qui était sensible de m’accrocher à cette lecture. Peut-être était-ce l’effet espéré d’Arthur C. Clarke, mais les personnages principaux du début n’étaient pas intéressants, je ne portais pas vraiment d’intérêts pour eux. Il en allait de même pour les lieux, qui apparaissaient la plupart du temps brièvement dans le livre, je ne pouvais donc encore moins m’accrocher à l’histoire. Mais j’ai relativisé, me disant que le livre deviendrait de plus en plus intéressant. Et j’ai eu raison. La deuxième partie du livre était beaucoup moins ennuyeuse que la première, et je sentais que l’histoire avançait, ce qui a provoqué chez moi de l’impatience. En effet, je voulais connaître la finalité de l’histoire et j’ai été servi. La fin (ou plutôt la conclusion) du livre est pour le moins inattendue, m’a laissé dubitatif et, même si je ne pense pas qu’il y ait une morale à l’histoire, m’a fait réfléchir sur un tas de choses. J’ai beaucoup critiqué sur la tonalité du livre, j’aimerais maintenant parlé de sa crédibilité. En tant que lecteur, j’aime que l’histoire que je lis sois crédible et surtout qu’il n’y ait pas d’incohérences. Mes attentes sont d’autant plus élevées lorsqu’il s’agit d’un livre de science-fiction ,car on s’appuie sur des faits scientifiques donc si un seul élément ne tient pas la route, l’histoire entière ne tient pas la route. Mais sur ce point là, je vous rassure, potentiels futurs lecteurs de ce livre, vous n’avez pas à vous en faire. L’histoire reste à mon goût parfaitement crédible (même si je n’ai pas les connaissances d’un ingénieur de la NASA), même si certains enchaînements d’événements dans le livre n’ont pas vraiment leur place et pourrait du coup nous irriter quant à cette crédibilité. Pour conclure, malgré cette tonalité insuffisante au début du livre et dans certains autres passages, le livre reste très bon, grâce à une crédibilité quasiment parfaite mais aussi grâce à des événements sans doute placés stratégiquement par l’auteur dans le livre.
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