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À en perdre haleine
Maud Desurvire (traduit par)
Date de parution : 03/09/2020
Éditeurs :
Pocket jeunesse

À en perdre haleine

Maud Desurvire (traduit par)
Date de parution : 03/09/2020
Sur un coup de tête, Annabelle décide de traverser les États-Unis en courant, soit plus de 4 300 km...
Annabelle est une survivante, même si elle déteste ce terme. Un jour, sans crier gare, elle se met à courir. Dès les premières foulées, son projet prend forme : relier Seattle à Washington, l’équivalent d’un semi- marathon quotidien pendant cinq mois. Parviendra-t-elle à sensibiliser la nation tout entière à son combat ?
EAN : 9782266292962
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782266292962
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • harukochan 23/11/2021
    En résumé : Une lycéenne va tenter de surmonter un traumatisme en courant un semi-marathon par jour durant près de 5 mois pour rallier Washington. En détail : "Parfois on craque, c'est tout". Quand Annabelle entame cette course, il s'agit d'abord d'une fuite en avant, éperdue, face à une situation qu'elle ne peut plus gérer. Son corps va réagir à une énième agression en courant. Catharsis : elle se sent profondément responsable de la tragédie qui l'a touchée, avec ses proches. Même si elle est sportive et pratique la course régulièrement, ces 23 km par jour font souffrir son organisme, qui s'use et s'amaigris au fils des semaines. En attendant mieux, la douleur va apaiser sa culpabilité. Mais cette course est surtout une bulle de réflexion. Cela fait près d'un an que le drame a eu lieu, et elle a besoin de faire le point sur l'impasse dans laquelle elle se trouve. Or, ces 4,5 mois à traverser les Etats Unis vont lui laisser beaucoup de temps seule avec elle-même pour réfléchir à tout ce qui s'est passé. Et ce procédé narratif est très efficace et entraînant. Au fur et à mesure des étapes de la courses, Annabelle se remémore les événements qui ont conduits au jour fatidique. En tant que fille, sa prévenance et sa gentillesse ont été encouragées et cultivées tout au long de son existence. En parallèle, sa mère lui a rabâché qu'elle ne devait pas encourager les garçons, qui pouvaient prendre le moindre sourire, pour une déclaration, une invitation. Discours culpabilisant à souhait. Toutes ces problématiques ont fait un énorme nœud dans la vie de l'héroïne. Elle cherche à déterminer le moment où les choses ont dérapé et associe le lecteur à cette réflexion. Elle va s'attacher à dénouer ce nœud pour retrouver le fil et si possible, retisser son existence sur des bases plus saines. Le plus : les personnages secondaires sont très attachants. Du même auteur : A Flicker of Courage (en anglais) Du même genre : Par le feu, Will HillEn résumé : Une lycéenne va tenter de surmonter un traumatisme en courant un semi-marathon par jour durant près de 5 mois pour rallier Washington. En détail : "Parfois on craque, c'est tout". Quand Annabelle entame cette course, il s'agit d'abord d'une fuite en avant, éperdue, face à une situation qu'elle ne peut plus gérer. Son corps va réagir à une énième agression en courant. Catharsis : elle se sent profondément responsable de la tragédie qui l'a touchée, avec ses proches. Même si elle est sportive et pratique la course régulièrement, ces 23 km par jour font souffrir son organisme, qui s'use et s'amaigris au fils des semaines. En attendant mieux, la douleur va apaiser sa culpabilité. Mais cette course est surtout une bulle de réflexion. Cela fait près d'un an que le drame a eu lieu, et elle a besoin de faire le point sur l'impasse dans laquelle elle se trouve. Or, ces 4,5 mois à traverser les Etats Unis vont lui laisser beaucoup de temps seule avec elle-même pour réfléchir à tout ce qui s'est passé. Et ce procédé narratif est très efficace et entraînant. Au fur et à mesure des étapes de la courses, Annabelle se remémore les événements qui ont conduits...
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  • Jalawy 03/06/2021
    Annabelle court parce qu'Annabelle a vécu un drame. Alors elle décide un jour, sur un coup de tête, de courir un semi-marathon tous les jours entre Seattle et Washington, soit 4500km. Ces courses répétitives l'amènent au bout d'elle-même, malgré la douleur physique et les souvenirs qui affluent, elle avance, un pas après l'autre. Ce roman m'a beaucoup touché parce que je sais ce que la course à pieds peut apporter dans une vie en terme de bien être physique et mental, surtout dans les périodes difficiles. Ce roman en est l'illustration car ce qui est à la base un effort physique va finalement puiser bien au-delà, jusqu'à plus profond de nous-mêmes. A dévorer pour les amateurs #x1f60a;
  • es_i_lou 22/12/2020
    Houaa, je fait cette critique loooongtemps après avoir refermé ce livre et l'avoir soigneusement ranger dans ma bibliothèque mais je ne pouvais pas ne pas faire une critique sur ce livre qui m'a fait verser quelques larmes Tout d'abord nous suivons Anabelle qui sur un coup de tête ce met à courir, elle veut faire Seattle-Washington en courant. Au fur et à mesure que son voyage avance de plus en plus de gens s'intéresse à son projet, non sans l'aide de son petit génie de frère et de ses amis. Et, au fur et à mesure qu'elle court on découvre POURQUOI elle court. L'évènement qui à bouleversé sa vie. En le lisant je voulais savoir, malgré les flash back au court du roman on ne découvre qu'a la fin que l'on découvre ce qui c'est passé. Un livre qui fait découvrir les Etats Unis et les pensées d'un' adolescent dont l'existence a était bouleversé. Je recommande ! Bonne Lecture :)
  • CyCy-71 09/12/2020
    J'ai bien aime ce livre. L'histoire d'Annabelle est vraiment pleines de suspenses jusqu'au bout. On s'accroche à son histoire pour en savoir plus. Connaître annabelle par la particularité de la course dans tout le pays est vraiment bien. Il y a un engouement de toujours en savoir plus.
  • Nikouette 29/10/2020
    Je remercie NetGalley et l'éditeur PKJ de m'avoir permis de découvrir ce roman. Annabelle commence à courir sur un coup de tête, elle est déjà un peu entrainée et a déjà participé à 2 marathons, mais là ça n'a rien à voir puisque son périple va durer 4375 kilomètres exactement, de chez elle jusqu'à Washington, soit presque 6 mois de course tous les jours. On comprend dès le départ qu'elle a subi un traumatisme il y a un an, qu'elle a perdu deux personnes proches et qu'elle a certainement fait une bêtise qui a blessé des gens, ce pour quoi elle culpabilise énormément. A la base c'est un petit évènement qui ravive tout ça et va être le déclencheur de cette longue course un peu folle, qui ressemble plus à une fuite qu'à un véritable projet. Pas du tout préparée elle court en tenue de ville le premier jour, avant que son frère ne force la main de sa mère en lui amenant ses affaires de course et de quoi tenir les premiers temps. Finalement c'est son grand père qui va prendre le relais pour la chaperonner sur le reste de son périple. le projet va s'affiner et se préciser, avec pour équipe logistique de choc sa famille et ses amis, qui vont gérer à distance et être des soutiens indéfectibles pour elle. Il y a beaucoup de mystère au début du roman concernant ce qui est arrivée à l'héroïne, mais ça n'a pas réussi à m'accrocher, au contraire j'ai trouvé ça un peu maladroit et trop appuyé. Il y a aussi le ton très américain qui n'a pas pris cette fois-ci avec moi. J'avais pourtant était séduite par le résumé, mais j'ai trouvé l'ensemble assez pataud, c'est plein de bons sentiments mais justement les phrases m'ont souvent semblé des formules toutes faites qui sonnent creux ou qui restent trop vagues, et les nombreuses métaphores ne m'ont pas toujours parlé non plus. L'impression de familiarité et l'humour que l'autrice a voulu donner à sa narratrice n'ont pas vraiment réussi à me toucher, j'ai vu l'intention mais pour moi c'est tombé un peu à plat malheureusement. Malgré tout j'ai eu envie de savoir comment cela allait se terminer, quel était exactement le fond de l'histoire et de suivre sa course jusqu'au bout, même si on a déjà une vague idée de quoi il retourne au tiers du roman. Un livre que je regrette de n'avoir pas plus apprécié, car l'idée de base est vraiment intéressante, de belles valeurs y sont développés et l'autrice y fait passer un message important. Je remercie NetGalley et l'éditeur PKJ de m'avoir permis de découvrir ce roman. Annabelle commence à courir sur un coup de tête, elle est déjà un peu entrainée et a déjà participé à 2 marathons, mais là ça n'a rien à voir puisque son périple va durer 4375 kilomètres exactement, de chez elle jusqu'à Washington, soit presque 6 mois de course tous les jours. On comprend dès le départ qu'elle a subi un traumatisme il y a un an, qu'elle a perdu deux personnes proches et qu'elle a certainement fait une bêtise qui a blessé des gens, ce pour quoi elle culpabilise énormément. A la base c'est un petit évènement qui ravive tout ça et va être le déclencheur de cette longue course un peu folle, qui ressemble plus à une fuite qu'à un véritable projet. Pas du tout préparée elle court en tenue de ville le premier jour, avant que son frère ne force la main de sa mère en lui amenant ses affaires de course et de quoi tenir les premiers temps. Finalement c'est son grand père qui va prendre le relais pour la chaperonner sur le reste de son périple. le projet va s'affiner et se préciser, avec...
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