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Calvin et Hobbes T17
Collection : Calvin & Hobbes
Date de parution : 13/01/1999
Éditeurs :
Hors collection

Calvin et Hobbes T17

Collection : Calvin & Hobbes
Date de parution : 13/01/1999

La bande dessinée la plus craquante du moment. Un chef d'œuvre à ne pas rater !

L'enfance est pleine de désillusions et pleine d'inventions aussi. Heureusement Calvin, petit garçon de 6 ans, un peu turbulent, déborde d'imagination. Aidé de son fidèle tigre en peluche et compagnon... L'enfance est pleine de désillusions et pleine d'inventions aussi. Heureusement Calvin, petit garçon de 6 ans, un peu turbulent, déborde d'imagination. Aidé de son fidèle tigre en peluche et compagnon Hobbes, il sait rendre la vie piquante et drôle. Tout le monde y passe : les parents, les filles, la... L'enfance est pleine de désillusions et pleine d'inventions aussi. Heureusement Calvin, petit garçon de 6 ans, un peu turbulent, déborde d'imagination. Aidé de son fidèle tigre en peluche et compagnon Hobbes, il sait rendre la vie piquante et drôle. Tout le monde y passe : les parents, les filles, la maîtresse d'école. Mais la principale activité de ce tendre Calvin est d'animer le club le D.E.F.I. (Dehors énormes filles informes), dont Calvin et Hobbes sont seuls membres actifs, et ils se déchaînent sur la pauvre Susie Derkins.

On pourrait piocher à loisir les petites phrases assassines sur la société, qui montrent à quel point la vérité sort bien mieux de la bouche des enfants ! Tout le monde en prend pour son grade et c'est pour ça que c'est drôle.

– Calvin : La plupart des gens pataugent toute leur vie ! Ils sont passifs, ils n'ont ni motivation ni ambition ! Ce n'est pas mon cas, j'aurai une existence épique ! Je vais affronter les problèmes de mon temps et changer le cours de l'histoire !
– Hobbes : Comment vas-tu t'y prendre ?
– Calvin : Je vais rester assis là, comme ça le destin saura où me trouver quand le temps sera venu de changer le monde.
– Hobbes : J'aurais dû prendre un bouquin.
– Calvin : C'est une question de minutes maintenant.

Le dix-septième tome des aventures de Calvin et Hobbes. Humour garanti !
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EAN : 9782258047785
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 128
Format : 220 x 285 mm
EAN : 9782258047785
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 128
Format : 220 x 285 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Vexiana 06/08/2023
    Je mets 5 étoiles parce que, comme toujours j’ai beaucoup ri mais ce tome est certainement le plus dispensable de la série. Il s’agit de gags déjà présents dans d’autres tomes et colorisés. Cette mise en couleurs est plutôt superflue à mon sens, il se résume à des a plats sans nuances qui n’apportent rien à la profondeur des réflexions et des dialogues ni au drolatique des situations.
  • Yvan_T 12/03/2017
    Ceux qui connaissent Calvin, savent qu’il a souvent la flemme le dimanche soir, pour la simple et bonne raison que le lendemain il doit aller à l’école. « Comment vraiment apprécier les dimanches, quand on sait qu’il faut aller à l’école le lendemain ? » Pourtant, ce dix-septième volume, beaucoup plus volumineux que les précédents, ne démarre pas à l’école, mais en compagnie de Spiff le Spationaute, mon personnage préféré de Bill Watterson. Je suis en effet grand fan des passages où l’imagination débordante du petit Calvin lui permet de se transformer en plein de choses. Le lecteur a même droit à plusieurs transformations en Spiff le Spationaute, que ce soit lorsque la prof l’interroge, à l’heure du bain, à table ou afin d’agresser son père qui dort. Hyperman est également de la partie lorsqu’il est temps d’aller dormir ou de faire ses devoirs de math. Calvin s’imagine également en fourmi quand il doit ranger sa chambre, en mouche lors d’un pique-nique, en tyrannosaure lors du repas familial et même en Dieu Suprême… « Dans son cachot pourri puant, Spiff le spationaute prépare un piège sournois pour le roi Naggon qui approche ! Bientôt notre héros sans peur sera à nouveau libre ! » Si la baby-sitter Rosaline est la grande absente de cet album, Calvin peut néanmoins compter sur la présence de Susie Derkins, sa petite voisine et souffre-douleur attitrée. Entre les ballons d’eau en été et les boules de neige en hiver, voire même en plein mois de juin car notre ami en a conservé une belle au freezer (excellent), la pauvre continue d’en voir de toutes les couleurs. « Si tu veux MON avis, un jeu sans pompes, ni coups, ni brûlures, ni pinçons, c’est pour les filles. » Au menu de ce dix-septième volet, il y a bien évidemment aussi les gags récurrents concernant les monstres sous le lit, les histoires qui font peur, le bond de Hobbes en rentrant de l’école, les descentes vertigineuses à la recherche d’une poussée d’adrénaline et les jeux (croquet, base-ball, Monopoly) qui terminent inévitablement en disputes. C’est vraiment marrant de voir comme l’auteur parvient à se renouveler tout en continuant d’aborder les mêmes sujets ! « Attendre quelque chose est plus amusant que de l’avoir… » À l’instar des tomes précédents, celui-ci reprend des histoires de différentes longueurs. Chacune offre un plongeon mélancolique dans le monde de l’enfance et invite à découvrir les fantasmes, les rêves et le regard critique de ce petit bonhomme sur le monde des adultes et sur la société en général. Si la puissance comique de ces strips atteint des sommets, l’humour est également souvent d’une telle sophistication que plusieurs niveaux de lecture sont possibles. Au-delà de la simplicité apparente de ces gags burlesques se cache en effet un autre niveau de lecture, plus adulte, qui mêle critiques acerbes, réflexions intelligentes et cynisme ravageur. Les noms des personnages faisant respectivement référence à Jean Calvin et à Thomas Hobbes, le lecteur ne s’étonnera d’ailleurs pas de croiser quelques considérations philosophiques. Notre ami se livre ainsi à quelques réflexions sur l’environnement, pointant notamment du doigt cette vilaine tendance qu’ont les humains à jeter leurs déchets n’importe où et à ainsi détruire la planète. « Sapristi, quand les gens n’enterrent pas leurs déchets toxiques ou n’essayent pas leurs armes nucléaires, ils jettent leurs ordures n’importe où ! » Parlons finalement de l’empathie inévitable envers ce duo éminemment sympathique. Ce gamin doté d’un sens de la répartie incroyable est particulièrement attachant et l’idée de donner vie à une peluche dans son imaginaire est tout bonnement brillante. Cela résulte non seulement en une complicité incroyable entre les deux, mais permet surtout de donner vie à l’imaginaire de l’enfant. Ensemble, ils vivent des aventures mêlant absurdité, tendresse, drôlerie, nostalgie et justesse. Le lecteur a également droit à quelques récits centrés sur la famille, qui donnent parfois lieu à des scènes attendrissantes comme lorsque sa maman lui prépare du chocolat chaud et des tartines. Calvin ne manquera pas non plus de juger le travail de son père dans son rôle de « Papa », notamment à travers cette histoire qu’il a écrite sur un méchant papa qui obligea son fils à manger des petits pois. « Sans petit bisou les rêves sont flous ! » « Les plus beaux cadeaux ne sont pas dans les boîtes ! » Visuellement, le dessin de Bill Watterson est d’une grande simplicité, mais ces visuels aux décors quasi inexistants permettent de mettre l’accent sur les personnages et sur des textes d’une finesse rare. Il faut un talent énorme pour parvenir à partager des tranches de vie en seulement trois cases et pour pondre des gags purement visuels sur base de postures ou d’expressions. La grosse surprise de ce tome vient également du fait que le lecteur a droit à une version colorisée. L’auteur se permet également quelques « folies » artistiques, notamment lors de ce récit où les lois de la perspective ont été abolies où lorsque Calvin a été transféré sur un négatif couleur le temps d’une photo. Une double dose de gags déjà parus et d’histoires inédites, le tout dans une version en couleurs !Ceux qui connaissent Calvin, savent qu’il a souvent la flemme le dimanche soir, pour la simple et bonne raison que le lendemain il doit aller à l’école. « Comment vraiment apprécier les dimanches, quand on sait qu’il faut aller à l’école le lendemain ? » Pourtant, ce dix-septième volume, beaucoup plus volumineux que les précédents, ne démarre pas à l’école, mais en compagnie de Spiff le Spationaute, mon personnage préféré de Bill Watterson. Je suis en effet grand fan des passages où l’imagination débordante du petit Calvin lui permet de se transformer en plein de choses. Le lecteur a même droit à plusieurs transformations en Spiff le Spationaute, que ce soit lorsque la prof l’interroge, à l’heure du bain, à table ou afin d’agresser son père qui dort. Hyperman est également de la partie lorsqu’il est temps d’aller dormir ou de faire ses devoirs de math. Calvin s’imagine également en fourmi quand il doit ranger sa chambre, en mouche lors d’un pique-nique, en tyrannosaure lors du repas familial et même en Dieu Suprême… « Dans son cachot pourri puant, Spiff le spationaute prépare un piège sournois pour le roi Naggon qui approche ! Bientôt notre...
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  • Melisende 06/09/2015
    Si j’avais déjà pu lire quelques planches des aventures de Calvin Hobbes grâce à quelques magazines, je n’avais jamais eu l’occasion de me pencher dans une volume complet. Afin de continuer à lire en vo, j’ai emprunté ce Lazy Sunday Book. Pourquoi celui-ci et pas un des nombreux autres volumes en anglais présents dans le fonds de la bibliothèque ? Pourquoi pas ? Apparemment c’est le tome 17 mais ils peuvent tous se lire aléatoirement. J’emprunterai certainement un autre volume quand l’occasion se présentera. Contrairement à la bd précédente (Young Lovecraft), j’ai parfois eu un peu plus de mal à saisir toutes les petites blagues en anglais. Il faut dire aussi qu’il y a beaucoup plus de texte dans ce titre et que lorsque Calvin part dans ses délires extraterrestres, le vocabulaire devient assez spécifique et donc plus difficile à appréhender. Malgré tout, et souvent grâce aux illustrations, il n’y a pas vraiment besoin de comprendre chaque mot de chaque phrase pour saisir le sens général. Je ne me suis jamais complètement sentie perdue. Calvin est un petit garçon très attachant. Fils unique, il brave souvent les ordres de ses parents en s’inventant des aventures extraordinaires. Il possède une imagination hors du commun et cela commence par son meilleur ami Hobbes, un tigre bienveillant… qui est une petite peluche, à la base. Extraterrestres, dinosaures, vols dans l’espace, voilà les principaux thèmes explorés par le petit garçon. J’avoue que c’est parfois un peu répétitif… il vaut peut-être mieux lire une planche de temps en temps plutôt que parcourir tout le volume d’un coup ? La plupart des aventures ne dépassent pas la planche unique (à part un ou deux qui s’étendent sur 4 ou 5 pages). En quelques vignettes seulement, Bill Watterson nous offre une situation de base, un cheminement et une chute, généralement amusante. C’est très souvent réussi. J’ai bien aimé parcourir les pages et retrouver les deux petits héros au fil des saisons. Le dessin et la colorisation sont agréables, un peu dans la veine de Boule et Bill (en tout cas, moi ça me rappelle cette bd que je lisais gamine). Je n’ai pas ri aux éclats mais j’ai souvent souri face aux aventures de ce petit garçon et de son ami tigre. Ce n’est pas extraordinaire mais ça reste efficace et divertissant.Si j’avais déjà pu lire quelques planches des aventures de Calvin Hobbes grâce à quelques magazines, je n’avais jamais eu l’occasion de me pencher dans une volume complet. Afin de continuer à lire en vo, j’ai emprunté ce Lazy Sunday Book. Pourquoi celui-ci et pas un des nombreux autres volumes en anglais présents dans le fonds de la bibliothèque ? Pourquoi pas ? Apparemment c’est le tome 17 mais ils peuvent tous se lire aléatoirement. J’emprunterai certainement un autre volume quand l’occasion se présentera. Contrairement à la bd précédente (Young Lovecraft), j’ai parfois eu un peu plus de mal à saisir toutes les petites blagues en anglais. Il faut dire aussi qu’il y a beaucoup plus de texte dans ce titre et que lorsque Calvin part dans ses délires extraterrestres, le vocabulaire devient assez spécifique et donc plus difficile à appréhender. Malgré tout, et souvent grâce aux illustrations, il n’y a pas vraiment besoin de comprendre chaque mot de chaque phrase pour saisir le sens général. Je ne me suis jamais complètement sentie perdue. Calvin est un petit garçon très attachant. Fils unique, il brave souvent les ordres de ses parents en s’inventant des aventures extraordinaires. Il possède une imagination hors...
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  • Crazynath 21/07/2015
    La flemme du dimanche soir est le tome 17 des aventures de Calvin et Hobbes. Cet album est un " best-off" en couleurs. On y retrouve des gags déjà parus dans les numéros précédents plus quelques inédits. Voir cette petite teigne en couleur est amusant, et même si j'avais déjà lu plusieurs fois la plupart de ses péripéties, je n'ai pu empercher de sourire une énième fois à la lecture de certaines planches. C'est une bande dessinée dont je ne me lasse pas et puis c'est tout !
  • clounette2014 15/10/2014
    il est super drôle Calvin avec son monde à lui!
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