« Dans cette œuvre-fleuve à la confluence du roman d’apprentissage et de la fresque urbaine, le nouveau prodige américain ressuscite un New York révolu. D’une folle ambition, et follement réussi, City on fire entrecroise, sur près de mille pages, les destinées d'un groupe de personnages qui ont en commun de vivre à New York. […] City on fire est [un] roman d’apprentissage. C'est d’ailleurs de cette façon qu’on avale ce roman très contemporain : d’une traite et sans aucune sensation d'effort ou de lassitude. […] Un pied chez Charles Dickens, quelque chose aussi du tonitruant Tom Wolfe du Bûcher des vanités – la presse américaine a comparé aussi volontiers le roman au Chardonneret, de Donna Tartt, à Outremonde, la fresque de Don DeLillo –, l’un des mérites remarquables de Garth Risk Hallberg est de savoir tenir l’équilibre entre ces diverses et multiples références et, au milieu d’elles, de parvenir à une tonalité, un regard, une voix qui lui sont propres. Sans jamais sacrifier à l’ampleur de son projet le souci du détail et l’empathie qui sont les marques d'un vrai romancier. »
Nathalie Crom / Télérama
« New York a trouvé un roman à sa démesure – fluide et irrésistible. »
Transfuge
« Avec sa fresque sur le New York anarchique des années 1970, Garth Risk Hallberg fait une entrée remarquée en littérature. Le Dickens des temps modernes est-il né ? […] Un de ces phénomènes dont l’édition mondiale raffole. Un premier roman d’une folle ambition, City on Fire, ample et captivante fresque urbaine. »
Nathalie Crom / Télérama
« Retenez son nom. Avec City on Fire, Garth Risk Hallberg livre un premier roman hallucinant sur le New York Seventies. […] Une ville brutale, anarchique, mais aussi excitante, pulsant au rythme speedé du punk qu’elle a engendré. City on Fire, d’une ampleur dickensienne, reconstitue ce terrain de jeu rêvé pour les enfants perdus. Plus que de roman choral, on peut parler de roman-symphonie. »
Thomas Mahler / Le Point
« Le nouveau petit génie des lettres américaines fait une entrée fracassante dans le monde de l’édition avec City on fire. [C’]est un événement. Parce que le manuscrit a été acheté 2 millions de dollars par l’éditeur Knopf ; parce que l’auteur est un inconnu âgé de 37 ans ; parce que l’histoire s’étend sur près de mille pages ; parce que c’est une réussite. Les références viennent immédiatement à l’esprit pour évoque une œuvre de sang-froid et de sang-chaud captant, comme nulle autre pareille, le flux des destinées humaines. On pense au Bûcher des vanités de Tom Wolfe, à Outre-Monde de Don DeLillo, au Chardonneret de Donna Tartt.
[…] Le tour de force du romancier est de se faufiler entre les milieux, les identités, les sexes, les récits, les quartiers, les âges pour montrer une seule et même condition humaine. »
Marie-Laure Delorme / Le Journal du Dimanche
« Pas à pas, page après page, l’intrigue se resserre, le style se cisèle, l’écriture s’aiguise et New York s’enfonce. Une immense et flamboyante fresque sociale. »
Le Figaro Magazine
« Portrait flamboyant du New York punk de 1977. […] Grâce à des intrigues bluffantes, à un découpage magistral, l’auteur affûte un style feuilletonesque, rattrapant toujours le lecteur par la manche. Ce premier romancier de 37 ans tire une cartographie haletante de la Grosse Pomme broyée par ses démons. »
Sandrine Mariette / ELLE
« Un bon livre dont on dévore quasiment d’une traite les trois cents premières pages, soufflé par l’ambition de l’auteur qui est de reconstituer les années 1970 à New York. […] C’est riche, c’est touffu, c’est passionnant. C’est là que réside la grande force de ce roman-fleuve : il nous transporte dans une ville-monde, nous en montre les décors, les recoins, les façades, les habitants, les bruits, les lumières. Ce n’est pas toujours reluisant, mais c’est fascinant. »
Bruno Corty / Le Figaro littéraire
« Fan de pyrotechnie depuis l’enfance, Hallberg a appris qu’un artificier ménage ses effets, jusqu’à l’apothéose. Garder son lecteur est une question d’intensité. Fire, work with me. »
Thomas Stélandre / Libération
« Dans son grand shaker de fiction, Garth Risk Hallberg prépare un cocktail explosif [et] mène son affaire d’une main ferme. […] Voyage dans l’espace, voyage dans le temps, City on Fire est un roman qui réclame l’immersion totale. […] Classique dans son style, virtuose dans sa forme, cette littérature remplit son rôle de divertissement, tourbillonne et caracole. »
Clémentine Goldszal / Les Inrockuptibles
« C’est l’événement éditorial de l’hiver : un pavé hors norme signé Garth Risk Hallberg qui nous plonge au mitan des années 1970. […] Lorgnant vers Tom Wolfe et Don DeLillo, le jeune Garth Risk Hallberg offre une stupéfiante symphonie narrative. […] Parfaitement documenté, lyrique à souhait, City on Fire capture ainsi à merveille le magnétisme de l’époque, la fébrilité impatiente d’une jeunesse en manque de rêves. »
Julien Bisson / Lire
« L’élégance stylistique de Hallberg fait toute la force de ce premier roman. »
Madame Figaro
« Ce livre qui met le feu à l'édition. »
Bruno Corty / Le Figaro
« Cet immense roman est un puzzle, une partition complexe, un polar avec meurtre dans un parc, un suicide, une fresque familiale, un roman psychologique, une épopée sociale, un témoin musical… Il y a de tout cela, avec du souffle et une écriture fouillée. Tout fait sens quand on joue le final de la symphonie. »
Hervé Bertho / Ouest France
« Peinture d’un monde en basculement et comédie humaine post-balzacienne. Une imparable science du récit. Et une efficacité incandescente ! »
L'Express Styles
« De très bonnes nouvelles du front américain – New York au temps des punks. »
Renaud Baronian / Le Parisien
« Si vous aimez Donna Tartt, vous allez adorer. »
ELLE
« City on Fire est un premier roman d’une grande ambition, où le New York des années 70 sert de décor et de personnage à part entière. Une œuvre de qualité, riche, foisonnante, à la maîtrise impressionnante. »
Bruno Corty / Onlalu
« Un grand roman éblouissant [...] à l’ambition étonnante et à la force stupéfiante. »
The New York Times
« Un roman électrisant qui fait revivre le Manhattan brut des années 70. Comme une version punk de La Maison d’âpre-vents de Dickens. »
Vogue
« Un roman brillant qui enveloppe une ville entière d’amants et d’ambitieux, de saints et d’assassins. »
The Washington Post
« Une épopée épique sur la condition humaine à la fois ambitieuse et sublime. »
Vanity Fair
« Garth Risk Hallberg a écrit le genre de premier roman qui n’arrive qu’une fois tous les vingt ans, un livre qui ne déçoit aucun de ses lecteurs. Une épopée palpitante, aussi rigoureuse dans son écriture qu’ambitieuse. »
Elle
« Un premier roman explosif. Au fil de l’épopée magistrale d’Hallberg, les distinctions de classe, de race, de géographie et de génération laissent place à une représentation de la condition humaine à la fois ambitieuse et sublime. »
Vanity Fair
« Il est difficile de croire que ce pavé de 944 pages sur le New York des années 1970 est un premier roman. Le meilleur comme le pire de l’époque punk de la ville sont majestueusement détaillés, à travers une myriade d’histoires liées les unes aux autres. »
Entertainment Weekly
« Une histoire convaincante, aux atouts nombreux. Pléthore de musiciens, d’écrivains, d’influences qui s’entrechoquent de façon surprenante… Le roman semble parfois être un hommage métafictionnel aux meilleurs travailleurs de la langue américaine, dans le New York des années 1970 à nos jours : Price, pour ses policiers de la rue ; Wolfe, pour sa haute société ; Franzen, pour ses familles à l’agonie ; Wallace, pour le pouvoir de la drogue et de la pop culture ; DeLillo, pour les forces invisibles derrière chaque chose… Alors que l’ensemble des intrigues se rejoignent au cours du mois de juillet 1977 – mois du fameux black-out –, ce roman devient la démonstration ambitieuse de ce que peut contenir un roman tout en restant entier. »
Kirkus Reviews (starred)
« Captivant. Lorsque la nuit tombe sur la ville, on pourrait se croire dans Le songe d’une nuit d’été, version Manhattan. Comme dans l’œuvre de Saul Bellow, les héros de Hallberg théorisent leur propre univers. Chaque moment-clé est l’histoire de toute une vie, chaque intrigue secondaire, une fenêtre qui s’ouvre sur un recoin de New York. L’histoire en elle-même est théâtrale, et mêle une intrigue policière avec une intrigue sur le terrorisme, sur l’addiction, sur l’art, sur l’adultère… Il en résulte un récit flamboyant. Le roman de Hallberg fait magistralement tournoyer ses héros dans cette dialectique d’ombre et de lumière. Un voyage épique et nostalgique. »
Bookforum
« Totalement captivant. Dans le New York crasseux des années 1970, ce superbe premier roman est plein à craquer d’intrigue, de personnalité, et d’émotion. Une écriture élégante, un récit passionnant centré sur le désir de communication, un thème qui arrive à son apogée au cours du fameux blackout de 1977. Cette histoire épique est à la fois une intrigue exceptionnelle et un tour de force littéraire. »
Joanne Wilkinson / Booklist (starred)
« Une épopée bien écrite et très distrayante. À travers le roman, les mots experts de Hallberg nous transportent d’une situation à une autre grâce à un don certain pour la description des lieux et époques, et à la création de personnages mémorables. »
James Coan / Library Journal (starred)
« Si vous aimez Donna Tartt, vous allez adorer. »
Elle.fr
« Un roman choral. Rock’n’roll, trahison, enquête policière … un pavé habité sur le New York des 70’s. Grâce à une construction vertigineuse qui tisse des liens invisibles entre les protagonistes, ce portrait grandiose d’une ville-monde nous touche au cœur. Une merveille. »
S.L / Biba
« Vous aimez New York, les 70’s et les « romans choral » ce livre est pour vous ! »
Le Petit blasois
« City on Fire est un défi – un plaisir, aussi. »
Lire
« Un pavé haletant »
Lire
« Un impressionnant roman choral […] à dévorer sans modération ! »
L'amour des livres