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Comptine en plomb
Collection : Suspense
Date de parution : 14/10/2009
Éditeurs :
Archipoche

Comptine en plomb

Collection : Suspense
Date de parution : 14/10/2009
PRIX COGNAC DU POLAR
1965. Une série de meurtres frappe la région de Calais. D’abord un éleveur de coqs, puis d’autres « petites gens ». Huit victimes au total. Et aucun mobile apparent...

Pourtant le...
1965. Une série de meurtres frappe la région de Calais. D’abord un éleveur de coqs, puis d’autres « petites gens ». Huit victimes au total. Et aucun mobile apparent...

Pourtant le commissaire Gallois, pied-noir débarqué d’Alger, est persuadé que l’assassin – il signe ses crimes en laissant près de chaque victime...
1965. Une série de meurtres frappe la région de Calais. D’abord un éleveur de coqs, puis d’autres « petites gens ». Huit victimes au total. Et aucun mobile apparent...

Pourtant le commissaire Gallois, pied-noir débarqué d’Alger, est persuadé que l’assassin – il signe ses crimes en laissant près de chaque victime une figurine de plomb – appartient à la bourgeoisie locale.

La direction que prend alors son enquête affole les notables. Mais Gallois s’en moque. À quelques mois de la retraite, il a décidé de se venger de ceux qui ne l’ont jamais accepté. Quitte à laisser filer le coupable...

Comptine en plomb s’inscrit dans la lignée des grands romans noirs : une écriture au cordeau, le portrait au vitriol d’une société qui a marqué l’enfance de l’auteur, hypocrite, sûre d’elle-même et de ses privilèges, et une révélation inattendue, amorale...
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EAN : 9782352871347
Façonnage normé : BROCHE
EAN : 9782352871347
Façonnage normé : BROCHE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Rennath 24/02/2013
    Comme d'habitude quand ça se passe dans le Nord, le roman est plutôt noir et l'on se laisse peu à peu prendre dans l'ambiance. Le roman se passe en Calais. Quand ça se passe en Bourgogne ses romans sont beaucoup plus humoristiques.
  • mpierre76 24/11/2012
    Un peu plus actuel que les croix de pailles ce polar à le mérite d'être très bien écrit et de nous peindre une société avec tous les vices qu'elle peut nous cacher.C'est ce que j'apprécie d'un bon policier, l'enquête est le point de départ pour analyse la société dans laquelle évolue les personnages.
  • Charlye 11/09/2011
    Un polar noir, dans lequel on entre doucement. L'auteur nous laisse le temps de nous y installer, de prendre nos marques. Il nous entraîne en 1965, dans une petite ville de province. On y découvre toute une série de personnages aux caractères bien marqués avec leurs défauts, leurs faiblesses, qui forment la mosaïque de la société de l'époque. Il y a le commissaire Gallois, pied-noir qui n'a pas accepté le rapatriement après l'indépendance de l'Algérie et qui ne rêve que de se venger de cette société qui l'a " arraché à sa terre natale ». Des notables, près à tous les compromis pour arriver à leurs buts économiques et carriéristes. Une journaliste qui veut informer, dire la vérité sans compromis. Des " petites gens», qui aspirent à vivre tranquilles et à oublier leur passé trouble et tourmenté. Des rancœurs, des rancunes, des secrets de famille. Une atmosphère pesante dans laquelle va se dérouler une série de meurtres. Sont-ils liés, comment, pourquoi ? L'auteur nous dispense des indices et des rebondissements qui remettent en permanence en question la solution que l'on pensait avoir trouvé. Jusqu'à la révélation finale, inattendue. Ce roman ne m'a pas captivé d'emblée, mais au fil de sa lecture, je me suis retrouvée prise au piège, avec l'envie de savoir. Un bon polar, bien ficelé. Un polar noir, dans lequel on entre doucement. L'auteur nous laisse le temps de nous y installer, de prendre nos marques. Il nous entraîne en 1965, dans une petite ville de province. On y découvre toute une série de personnages aux caractères bien marqués avec leurs défauts, leurs faiblesses, qui forment la mosaïque de la société de l'époque. Il y a le commissaire Gallois, pied-noir qui n'a pas accepté le rapatriement après l'indépendance de l'Algérie et qui ne rêve que de se venger de cette société qui l'a " arraché à sa terre natale ». Des notables, près à tous les compromis pour arriver à leurs buts économiques et carriéristes. Une journaliste qui veut informer, dire la vérité sans compromis. Des " petites gens», qui aspirent à vivre tranquilles et à oublier leur passé trouble et tourmenté. Des rancœurs, des rancunes, des secrets de famille. Une atmosphère pesante dans laquelle va se dérouler une série de meurtres. Sont-ils liés, comment, pourquoi ? L'auteur nous dispense des indices et des rebondissements qui remettent en permanence en question la solution que l'on pensait avoir trouvé. Jusqu'à la révélation finale, inattendue. Ce roman ne m'a pas captivé d'emblée, mais au fil de sa lecture, je me suis...
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  • Alexmotamots 02/01/2011
    Mon avis : Acheté l'an passé au festival "Sang d'encre" et dédicacé par l'auteur, je me lance enfin dans sa lecture. Un peu rude au départ, j'ai mis du temps à me couler dans l'histoire, mais je n'ai plus pu la lâcher ensuite. L'auteur sait créer une atmosphère et brouiller les pistes. Seuls bémols : l'action se déroule en pays ch'ti, donc les anciens s'expriment en ch'timi, et pour qui ne connait pas le patois (et "Bienvenue chez les ch'tis" est loin derrière moi), il faut un certain temps d'adaptation. Et bizarrement, la narration utilise pas mal de vocabulaire plus trop usité. Il m'a fallu aller chercher loin dans ma mémoire la signification de "logomachie", "misonéisme" ou encore "palinodie"... Ceci dit, le prix du polar Cognac 2008 est bien mérité, je trouve car le final, avec pourtant ses explications limpides, est percutant. Une gentille dédicace de la part de "l'enfant de l'histoire", qui a préféré prendre la plume plutôt que le canon de ses soldats de plomb. Ceci dit, le recours à la franc-maçonnerie pour cacher les révélations d'un des suspect est un procédé très moderne et qui devait encore être tu dans les années 1950. Cette société ne serait-elle plus se faire discrète..... L'image que je retiendrai : La description de la société des années 50 et ses évenements d'Algérie toujours présents Mon avis : Acheté l'an passé au festival "Sang d'encre" et dédicacé par l'auteur, je me lance enfin dans sa lecture. Un peu rude au départ, j'ai mis du temps à me couler dans l'histoire, mais je n'ai plus pu la lâcher ensuite. L'auteur sait créer une atmosphère et brouiller les pistes. Seuls bémols : l'action se déroule en pays ch'ti, donc les anciens s'expriment en ch'timi, et pour qui ne connait pas le patois (et "Bienvenue chez les ch'tis" est loin derrière moi), il faut un certain temps d'adaptation. Et bizarrement, la narration utilise pas mal de vocabulaire plus trop usité. Il m'a fallu aller chercher loin dans ma mémoire la signification de "logomachie", "misonéisme" ou encore "palinodie"... Ceci dit, le prix du polar Cognac 2008 est bien mérité, je trouve car le final, avec pourtant ses explications limpides, est percutant. Une gentille dédicace de la part de "l'enfant de l'histoire", qui a préféré prendre la plume plutôt que le canon de ses soldats de plomb. Ceci dit, le recours à la franc-maçonnerie pour cacher les révélations d'un des suspect est un procédé très moderne et qui devait encore être tu dans les années 1950. Cette société ne serait-elle...
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