« Depuis Le Chant du coyote (1996), Les Saisons de la nuit (1998) et un précédent recueil de nouvelles, La Rivière de lexil (1999), on sait que lécrivain irlandais est un auteur majeur. À 36 ans, il a acquis une maîtrise remarquable. Sens extraordinaire du récit, évocation incroyablement subtile de lécriture servie par une sensibilité qui sont le propre des grands artistes. »
Christian Sauvage - Le Journal du dimanche
« La simplicité des phrases, la capacité à suggérer des abîmes de complexité en quelques mots, la mélodie mélancolique dun style cadencé [
] sont étourdissantes. McCann est de ces rares écrivains capables de faire parler le blanc entre les lignes. Et ce quil dit est à la fois poignant et universel. »
Pierre Sorgue - Télérama
« Jeune mousquetaire des lettres irlandaises, lauteur a fait ses premières gammes sur les genoux de Beckett et de McGahern, mais il a su inventer sa propre musique : prose décapée, lyrisme zonard, écriture impeccablement rythmée. »
André Clavel - LExpress
« Colum McCann convoque une foule de témoins, réels ou imaginaires, dans une narration époustouflante [et] déploie tout son talent de romancier. Créant des personnages inoubliables, il les met en scène dans une construction polyphonique raffinée et joue de tous les registres d'écriture. Brillant et virtuose, Danseur est aussi un livre bouleversant. »
Christine Gomariz - Paris Match
« Un roman surprenant, [...] moderne qui brouille les limites entre fiction et réalité pour atteindre le vrai. McCann imagine juste. Danseur est un roman dont Noureïev est le héros, un roman russe sur "ce beau pays de merde" qu'est l'URSS de l'après-guerre, un roman âpre et suave sur l'underground new-yorkais, un roman acharné sur un homme qui ne voulait pas connaître de limites, un roman triste sur une vie passée à fuir, sauf qu'on n'échappe pas à soi-même. Complètement schizophrène. En metteur en scène, McCann ose tous les grands écarts, les gros plans et les ralentis, réinvente la vie de Noureïev en images. »
Olivia de Lamberterie - Elle
« [Danseur] a une ampleur, un souffle, une folie si rares qu'on a envie d'embrasser les parents de Colum McCann. [...] Parmi les plus belles pages que j'ai lues cette année sur le snobisme de génies et la solitude des artistes. »
Frédéric Beigbeider - Voici