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Dictionnaire amoureux de la Chine
Alain Bouldouyre (dessins de)
Date de parution : 05/12/2013
Éditeurs :
Plon

Dictionnaire amoureux de la Chine

Alain Bouldouyre (dessins de)
Date de parution : 05/12/2013

Pays le plus peuplé du monde, la Chine est aux avant-postes de ce qui nous attend. A ce titre, elle est plus que jamais « le second pôle de l’expérience humaine » (André Malraux).

Complexe, incongrue, millénaire, « baroque » à bien des égards, la Chine déroute autant qu’elle fascine. Depuis des millénaires, son peuple a réussi à s’organiser pour éviter le chaos qui...

Complexe, incongrue, millénaire, « baroque » à bien des égards, la Chine déroute autant qu’elle fascine. Depuis des millénaires, son peuple a réussi à s’organiser pour éviter le chaos qui guette les sociétés surpeuplées. Aujourd’hui, la Chine est double : chinoise et capitaliste, douce et rude, généreuse et vorace, yin...

Complexe, incongrue, millénaire, « baroque » à bien des égards, la Chine déroute autant qu’elle fascine. Depuis des millénaires, son peuple a réussi à s’organiser pour éviter le chaos qui guette les sociétés surpeuplées. Aujourd’hui, la Chine est double : chinoise et capitaliste, douce et rude, généreuse et vorace, yin et yang, comme il se doit… C’est ce continent en cours de transformation, écartelé entre le poids de son immense passé et les promesses d’un futur guidé par sa puissance économique et l’émergence de sa classe moyenne, que José Frèches entend faire aimer à son lecteur en lui racontant « sa » Chine. Nourri de références historiques, mais également d’anecdotes vécues, son ouvrage se veut avant tout drôle et sincère, guidé par une curiosité mêlée de sympathie avec laquelle il a toujours abordé la Chine.

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EAN : 9782259209823
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 900
Format : 132 x 201 mm
EAN : 9782259209823
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 900
Format : 132 x 201 mm

Ils en parlent

Les Grosses Têtes reçoivent José Frèches.

RTL
José Frèches dans L'Invité de BFM Business
BFM TV

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • zenzibar 10/06/2018
    Une encyclopédie !! . Avec ce « Dictionnaire amoureux de la Chine », de abalone, ce coquillage adoré des Chinois à Zhuangzi, alias Tchouang Tseu, le sage taoïste star, José Freches offre au lecteur un panorama vertigineux de cette grande civilisation humaine, sans doute la plus grande, de mon point de vue il n’y a guère que l’Egypte antique qui puisse rivaliser. Une oeuvre digne de nos encyclopédistes des lumières qui ne se contente pas de dérouler le tapis rouge (rouge bien sur la couleur fétiche, du faste et du bonheur..) aux innombrables richesses de ce patrimoine. Le lecteur (re) découvrira que s’immerger dans cette civilisation, dans ce livre, est une merveilleuse ouverture pour penser autrement. Les amoureux des livres en papier, il en reste, j’en suis, apprendront que c’est en Chine que le papier a été inventé ainsi que l’imprimerie sous la glorieuse dynastie Song (960/1 279) bien avant Gutenberg. La boussole, la poudre à canon, les pâtes, la soie bien sur….etc etc une longue liste des découvertes de l’Empire du Milieu. C’est d’ailleurs en grande partie cette richesse phénoménale conjuguée à l’absence de tendance impérialiste qui expliquent que la Chine n’a pas conquis sinon le monde tout au moins ne s’est pas bâti un empire colonial au-delà de ses frontières. Zheng He l’amiral à la tête d’une immense flotte dirigea bien sept expéditions au long cours entre 1 400 et 1 433 de notre ère, sous la dynastie Ming (1 368/1 644) qui le conduisit notamment sur les côtes d’Afrique. Ce n’étaient pas les trois coquilles de noix de Christophe Colomb, mais le paradoxe est que ce sont les pauvres et/ou minuscules pays européens qui conquirent le monde et non la Chine impériale qui en avait les moyens mais dont la culture confucéenne privilégiait la tradition ; il était inconcevable que le reste du monde puisse s’intégrer dans cette tradition millénaire. Richesse matérielle donc mais aussi spirituelle et pas seulement dans le patrimoine confucéen, taoïste…. En Chine comme dans le vase du Tao T King l’apparence formelle est souvent accessoire, voire illusion ; les paroles et les actes chargés de sens masqués. Ainsi José Freches nous explique que même l’innocent panda est un agent de géopolitique. A l’image de ces tableaux de paysage où le minéral, la brume, le ciel s ‘entremêlent, passé et présent semblent confondus depuis des siècles voire davantage d’années. Ainsi les pages de « La montagne de l’âme » de Gao Xinghan, prix nobel de littérature en 2000, ont des accents étonnants qui évoquent la poésie chinoise de la dynastie Tang ou l’esprit du Tao Mais tout n’est pas que « luxe calme et volupté » au pays de Confucius hier comme aujourd’hui. José Freches aborde avec gravité et réalisme également les difficultés de la société contemporaine, les drames et les souffrances du passé. La Chine est malade des blessures terribles infligées à la nature à commencer par la pollution de Pékin. La Chine est ainsi le monde de tous les paradoxes, le pays de l’idéal taoïste de vie retirée dans la nature est aussi celui de la foule innombrable, omniprésente, séculaire….la Chine de la dynastie Song comptait déjà cent millions d’habitants au temps d’Hugues Capet dans ce qui était le royaume de France. Mao encore omni présent alors que le pays est devenu l’atelier du monde, que les produits de luxe sont fiévreusement convoités. Un pays hors norme, complexe que ce dictionnaire d’une qualité rare permet de découvrir en parallèle avec d’autres ouvrages comme ceux de Cyrille JD Javary, d’Alexis Lavis, Jean Levi… . A lire absolument Une encyclopédie !! . Avec ce « Dictionnaire amoureux de la Chine », de abalone, ce coquillage adoré des Chinois à Zhuangzi, alias Tchouang Tseu, le sage taoïste star, José Freches offre au lecteur un panorama vertigineux de cette grande civilisation humaine, sans doute la plus grande, de mon point de vue il n’y a guère que l’Egypte antique qui puisse rivaliser. Une oeuvre digne de nos encyclopédistes des lumières qui ne se contente pas de dérouler le tapis rouge (rouge bien sur la couleur fétiche, du faste et du bonheur..) aux innombrables richesses de ce patrimoine. Le lecteur (re) découvrira que s’immerger dans cette civilisation, dans ce livre, est une merveilleuse ouverture pour penser autrement. Les amoureux des livres en papier, il en reste, j’en suis, apprendront que c’est en Chine que le papier a été inventé ainsi que l’imprimerie sous la glorieuse dynastie Song (960/1 279) bien avant Gutenberg. La boussole, la poudre à canon, les pâtes, la soie bien sur….etc etc une longue liste des découvertes de l’Empire du Milieu. C’est d’ailleurs en grande partie cette richesse phénoménale conjuguée à l’absence de tendance impérialiste qui expliquent que la Chine n’a pas conquis sinon le monde tout au moins ne s’est pas bâti...
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