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Dieu n'a pas que ça à faire
Nicolas Véron (traduit par)
Date de parution : 28/03/2019
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

Dieu n'a pas que ça à faire

Nicolas Véron (traduit par)
Date de parution : 28/03/2019
David ne s’attendait pas à une telle demande en acceptant le rendez-vous d’Alexia. La séduisante millionnaire lui propose, moyennant finances, de se rendre au chevet d’Elena, un de ses flirts de jeunesse, hospitalisée à Palma où elle souffre d’un cancer incurable.
Alexia veut offrir un sursaut de bonheur à sa cousine, accablée depuis des révélations sulfureuses sur sa vie sentimentale. Mais entre jeux de séduction et non-dits, mensonges et trahisons, le... Alexia veut offrir un sursaut de bonheur à sa cousine, accablée depuis des révélations sulfureuses sur sa vie sentimentale. Mais entre jeux de séduction et non-dits, mensonges et trahisons, le huis clos se referme autour du trio, d’où chacun devra démêler le vrai du faux.

Aussi drôle que corrosif, Dieu n’a...
Alexia veut offrir un sursaut de bonheur à sa cousine, accablée depuis des révélations sulfureuses sur sa vie sentimentale. Mais entre jeux de séduction et non-dits, mensonges et trahisons, le huis clos se referme autour du trio, d’où chacun devra démêler le vrai du faux.

Aussi drôle que corrosif, Dieu n’a pas que ça à faire passe au crible les paradoxes des rapports hommes-femmes. Lucía Etxebarria plante ses banderilles avec délectation et s’amuse à explorer les aventures de ces coeurs brisés par la duplicité du sentiment amoureux.
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EAN : 9782350875163
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 272
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782350875163
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 272
Format : 140 x 205 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • hesbert3 10/03/2024
    Dieu n'a pas que ça à faire est un roman genre "comédie de Boulevard" pas mal réalisé. Le scénario est assez basique. Alexia souhaite apporter un peu de bonheur à sa cousine Elena dont les jours semblent comptés. Elle décide de contacter David le premier grand amour d'Elena un amour contrariée, voire empêché à l'époque par Alexia elle même qui aura manœuvré pour que cette histoire prenne fin. A l'heure des confidences, des échanges entre les différents protagonistes, les secrets, les bassesses, les trahisons se font jour. Un bon petit roman de gare pour se vider la tête et qui tient en haleine tout du long.
  • CharlyyPhoenix 02/06/2022
    Gracias Lucía por este buen momento de lectura. Une auteure Espagnole et son œuvre, contre toute attente, fantastique. Un livre « Merveilleux » (la référence s’acquiert très vite en lisant ^__^). D’ailleurs, allez vite le dévorer et revenez après ! ;-P (lol!) David en est le personnage principal, ancien acteur, et homme aux nombreuses conquêtes, il a l’occasion d’accomplir une bonne action pour une fois… Lucia Etxebarria, est l’auteure Espagnole prolifique qui a créée cette œuvre. Le style « oral » dès le début s’avère payant (pour moi en tout cas!) / des personnages embarrassés = classe/original. Je remarque que malgré l’aspect drame, ce bouquin est quand même très drôle! Le fameux David se montre un peu efféminé, si bien qu’au début j’ai cru qu’il s’agissait d’une histoire de lesbiennes XD! Des petites lenteurs, mais vraiment insignifiantes face au plaisir de cette lecture… Elena a une leucémie… Je connais bien les problèmes de défense immunitaires:/… Les « Laissez-moi réfléchir » sont une vraie figure de style, en l’occurrence! Quant aux réflexions sur l’impermanence, elle sont souvent utilisés par les buveurs de bières ou quel que soit le flacon x)… Pas dix fois sur dix mais beaucoup quand même… Eh oui, un roman plein de joyeux/ses fetar/des. Alexia et Elena se disputent violement. La cousine va aller trop loin avec la mourante, mais cherchera à se racheter… Alexia se fait draguer pour un tableau… Pour Elena, pardon. Un coup c’est des efforts, l’autre c’est maso!xd Quant à la leucémique, elle atteint son premier orgasme à 30 ans! Il était temps! Je me suis perdu une demi seconde. Il y a du X dans les pages 120-140. Pourquoi pas? Guillem, le fameux amant… Dieu, les catholiques, la confession… P.186 ; ça rame un peu, mais… P. 194 : vous voulez du Q? En voilà! ;-P J’aime surtout le couple David x Elena, cette dernière est très gâtée. « Des baisers douloureusement mortels »… Une lecture sympathique après deux « échecs » précédemment. Con mucho gusto leería otros libros del mismo autor. ¡Vuela como el Fénix! Belle journée les Phoenix ! : -) Enjoy your readings ! :- ) CS PhoenixGracias Lucía por este buen momento de lectura. Une auteure Espagnole et son œuvre, contre toute attente, fantastique. Un livre « Merveilleux » (la référence s’acquiert très vite en lisant ^__^). D’ailleurs, allez vite le dévorer et revenez après ! ;-P (lol!) David en est le personnage principal, ancien acteur, et homme aux nombreuses conquêtes, il a l’occasion d’accomplir une bonne action pour une fois… Lucia Etxebarria, est l’auteure Espagnole prolifique qui a créée cette œuvre. Le style « oral » dès le début s’avère payant (pour moi en tout cas!) / des personnages embarrassés = classe/original. Je remarque que malgré l’aspect drame, ce bouquin est quand même très drôle! Le fameux David se montre un peu efféminé, si bien qu’au début j’ai cru qu’il s’agissait d’une histoire de lesbiennes XD! Des petites lenteurs, mais vraiment insignifiantes face au plaisir de cette lecture… Elena a une leucémie… Je connais bien les problèmes de défense immunitaires:/… Les « Laissez-moi réfléchir » sont une vraie figure de style, en l’occurrence! Quant aux réflexions sur l’impermanence, elle sont souvent utilisés par les buveurs de bières ou quel que soit le flacon x)… Pas dix fois sur dix mais beaucoup quand même… Eh oui, un roman plein de joyeux/ses fetar/des. Alexia et Elena se disputent violement. La...
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  • Botsu 13/01/2022
    En se rendant au rendez-vous fixé par Alexia, David est loin de se douter qu'il va accepter d'être payé pour passer quelques heures aux côtés d'une femme seule souffrant d'un cancer incurable. Pourquoi ? Parce que cette femme, c'est Elena - l'un de ses premiers flirts ainsi que la cousine d'Alexia. Qu'on se le dise, ce n'est pas un roman dans lequel l'action a la part belle. Au contraire, les chapitres sont plutôt une succession de conversations tantôt dans la chambre d'Elena, tantôt au téléphone, tantôt au bar. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il ne se passe rien mais il faut vraiment s'attendre à ne découvrir l'histoire qu'à travers des dialogues, car c'est en effet le moyen privilégié que les protagonistes emploient pour se replonger dans leur passé. Petit à petit, ils ouvrent leur cœur et exposent leurs secrets tels des vases communicants se renvoyant en permanence la charge de la révélation la plus lourde. Je pense pouvoir dire que j'ai apprécié découvrir ces confessions progressives, sachant que je ne m'attendais absolument pas à certaines d'entre elles. J'étais en revanche moins enthousiaste face aux paragraphes abordant certains thèmes à travers le prisme de la religion chrétienne, notamment lorsqu'il était question d'homosexualité - mais fort heureusement, les dégâts ont été très limités. Je reste en revanche sur ma faim concernant les derniers chapitres : le personnage subit littéralement le dénouement de l'histoire et n'essaie pas d'en comprendre les raisons. Cette passivité face a une ultime révélation tombée comme un cheveu sur la soupe était vraiment frustrante. Quant à la morale développée dans les dernières pages... je ne sais pas, je ne suis pas convaincu, c'est du blabla un peu trop facile à mon goût (et toujours avec cette histoire de religion en toile de fond). Bref, que retenir de tout ça ? C'était une lecture facile et plutôt agréable mais ponctuée d'une conclusion décevante, presque bâclée, malgré une idée intéressante dans le fond. C'est tout le problème d'un roman qui se base majoritairement sur des conversations : la psychologie et les motivations des personnages restent relativement absconses.En se rendant au rendez-vous fixé par Alexia, David est loin de se douter qu'il va accepter d'être payé pour passer quelques heures aux côtés d'une femme seule souffrant d'un cancer incurable. Pourquoi ? Parce que cette femme, c'est Elena - l'un de ses premiers flirts ainsi que la cousine d'Alexia. Qu'on se le dise, ce n'est pas un roman dans lequel l'action a la part belle. Au contraire, les chapitres sont plutôt une succession de conversations tantôt dans la chambre d'Elena, tantôt au téléphone, tantôt au bar. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il ne se passe rien mais il faut vraiment s'attendre à ne découvrir l'histoire qu'à travers des dialogues, car c'est en effet le moyen privilégié que les protagonistes emploient pour se replonger dans leur passé. Petit à petit, ils ouvrent leur cœur et exposent leurs secrets tels des vases communicants se renvoyant en permanence la charge de la révélation la plus lourde. Je pense pouvoir dire que j'ai apprécié découvrir ces confessions progressives, sachant que je ne m'attendais absolument pas à certaines d'entre elles. J'étais en revanche moins enthousiaste face aux paragraphes abordant certains thèmes à travers le prisme de la religion chrétienne, notamment lorsqu'il était question d'homosexualité -...
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  • MonPetitBookan 15/11/2021
    Majorque, une petite île où tout se sait et se découvre. Un endroit où des personnes "raffinées et délicates", appartenant à la haute société et à l'Opus Dei, vivent dans l'oppulence et partagent des moments "merveilleux". Le décor est planté. La foi, très présente, ainsi que les sacrifices qu'elle exige et la soumission qu'elle requiert, notamment dans le couple et la famille, sont finalement au coeur de l'histoire d'Elena, Alexia et même David, et de leur(s) rencontre(s). Lucía Etxebarria fait naitre des personnages principaux, et des personnages secondaires, qui sont liés entre eux par des secrets que l'on devine avec délice au fil de la lecture. Tout n'est pas dit cependant, et cette représentation quasi théâtrale pourtant très froisonnante garde aussi quelques mystères. Entre confessions et dialogues intérieurs, "Dieu n'a pas que ça à faire" décortique les relations homme-femme, avec toutes leurs exubérances et incohérences, mais aussi leurs renoncements et dissimulations. C'est frais, mais attention ce n'est pas un roman à l'eau de rose!
  • Bill 02/09/2021
    Elena se meurt d'une leucémie dans une chambre d'hôpital luxueuse de Palma. Sa vie sentimentale a été compliquée. Rapatriée de Madrid quand elle s'est entichée d'un acteur sans avenir, mariée illico au beau gosse local qui s'est avéré préférer les garçons, elle s'est consolée dans les bras d'un amant qui l'a remplacée par une jeunette deux fois moins vieille qu'elle. Pour lui donner une chance de bonheur sa cousine Alexia retrouve David, resté acteur sans trop d'engagements, et l'engage  pour illuminer les derniers jours d'Alexa. S'ensuit un récit croisé de leurs vies qui se croisent, se décroisent, s'entremêlent et se mélange dans un méli-mélo de mensonges et de vérités dévoilés tour à tour . Par ci par là, quelques réflexions sur l'amour, l'argent (vaut-il mieux en avoir ou pas ?), l'ennui, la vie ... Un roman pas si léger qu'il semble l'être, un roman très espagnol, très Almodovrien, que je verrais bien adapté en série ...  Des personnages attachants et tour à tour agaçants, un récit profond et léger à la fois, un roman que j'ai trouvé dépaysant !     Je remercie vivement la Fondation Orange et les Editions 10/18 de m'avoir adressé ce livre. 
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