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En scène ! - tome 08
Satoko Fujimoto (traduit par)
Collection : En scène !
Série : En scène !
Date de parution : 14/06/2018
Éditeurs :
Kurokawa

En scène ! - tome 08

Satoko Fujimoto (traduit par)
Collection : En scène !
Série : En scène !
Date de parution : 14/06/2018
Manga de danse au graphisme sublime, En scène ! décrit avec passion et drame humain les premiers pas d’une jeune ballerine dans la compétition classique.
Les éliminatoires de la prestigieuse compétition du YAGP débutent au Japon. Cinq jours de tension, de joie mais aussi de doute, attendent les aspirants danseurs de tout l'archipel. Leur objectif... Les éliminatoires de la prestigieuse compétition du YAGP débutent au Japon. Cinq jours de tension, de joie mais aussi de doute, attendent les aspirants danseurs de tout l'archipel. Leur objectif : se démarquer de leurs concurrents. Hélas pour certains et certaines, se faire remarquer n'est pas toujours synonyme de réussite.... Les éliminatoires de la prestigieuse compétition du YAGP débutent au Japon. Cinq jours de tension, de joie mais aussi de doute, attendent les aspirants danseurs de tout l'archipel. Leur objectif : se démarquer de leurs concurrents. Hélas pour certains et certaines, se faire remarquer n'est pas toujours synonyme de réussite. Une leçon que Kanade va apprendre à ses dépens, au moment même où l'une de ses rivales se révèle, de façon inattendue, une excellente interprète...
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EAN : 9782368525999
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 128 x 182 mm
EAN : 9782368525999
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 128 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lafilleauxchaussures 17/04/2021
    Un bon tome mais qui reste assez léger en ce qui concerne les dialogues. Ce que j'ai aimé dans ce tome c'est la détermination de Kanade qui veut réussir à tout prix. On sent bien la rivalité même si c'est un peu léger aussi. C'est un peu comme le tome précédent assez neutre.
  • DocBird 12/09/2020
    Résumé : Kanade est en pleine compétition du YAGP afin de montrer son talent, et tenter de décrocher une bourse et un stage dans une école à l’étranger. Y parviendra-t-elle ? Mon avis : C’est toujours une joie de retrouver Kanade qui prend tant de plaisir à la danse, et qui ne ménage pas ses efforts ! Elle se retrouve en compétition pour tenter d’obtenir une bourse et un stage dans une école prestigieuse, car elle vise le Royal Ballet de Londres. Elle découvre alors que la technique et le plaisir de danser ne suffisent pas, et qu’elle doit aussi entrer dans la psychologie du personnage interprété, ce qu’elle a tendance à oublier ! Une série toujours aussi appréciable qui fait entrer dans les arcanes et les secrets de la danse, avec une héroïne toujours aussi positive et agréable à suivre, qui tient compte de ses erreurs pour progresser.
  • deidamie 20/10/2018
    « Bonjour les Babélionautes ! Aujourd’hui, je suis toute frétillante de bonheur, car le tome 8 de En scène est disponible ! Et je l’ai lu ! Et je vais vous en parler ! -Oh non, encore ? T’en as déjà parlé plein de fois ! -Hé oui ! Que veux-tu, ce manga me ravit. -Mais qu’est-ce qui peut avoir changé depuis ta dernière critique ? C’est toujours la même histoire ! Kanade, passionnée de danse, bla bla bla, surmonte les difficultés, bla bla bla, apprend de ses erreurs, patati, réfléchit seule comme une grande, patata… -Euuuh… oui, mais… -Super occase de parfaire sa culture gé grâce aux citations des œuvres, que tu vas voir sur Toituyau… -Mmmmh… J’ai dit que c’était un shônen ? -Brouillage des genres en décrétant que c’est un shônen… quoi ? Non, tu ne l’as jamais dit, ça ! -Ben voilà, je le dis. Alors, pour faire simple, le manga, comme la littérature, se segmente en genres et en cibles. Les deux plus célèbres s’appellent shôjo et shônen. Le premier regroupe les œuvres à destination des jeunes filles, le second, les œuvres pour jeunes garçons. -C’est vachement sexiste, comme conception ! -Hem… oui et non. Cette dichotomie va définir le style et la cible de l’œuvre : après, rien n’empêche un garçon de vibrer grâce au pouvoir du prisme lunaire*, ni une fille de se figurer en héroïne sauveuse et/ou tabasseuse de monde grâce au pouvoir de l’amitié et des efforts payants sur le terrain de foot**. -Et en quoi En scène ! est un shônen, je te prie ? Ce ne sont que rose, tutus et paillettes ! -Certes. En scène ! est un shônen parce que ce manga célèbre les merveilleux pouvoirs de l’amitié et des efforts pour atteindre l’excellence. - Arrête, Déidamie, c’est juste un cliché du manga sportif, ça. Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi, des fois ? -Si, complètement. Cependant, j’ai quelque chose de nouveau ! -Ah ? -Le dessin ! Le dessin s’est considérablement amélioré. Plus de problèmes de perspective, plus de jambes trop courtes : l’illusion de la profondeur fonctionne beaucoup mieux. Je n’éprouve plus cette sensation de dysharmonie au moindre pied en altitude, et la prestation finale de Kanade se révèle de toute beauté. J’ai beaucoup aimé aussi l’apparition d’Abigail Nicols, qui se révèle semblable au personnage de Diane : splendide et inquiétante. Ce qu’elle propose à Kanade est quelque peu discutable… Et pour finir, le manga continue d’alterner plusieurs points de vue en offrant celui de Luda, l’enseignante. Elle se pose des questions légitimes sur la pratique de la danse classique, questions qui ne trouvent pas de réponses, d’ailleurs. La série avance et je reste conquise pour deux raisons : le dessin s’améliore, les relations et les réflexions des personnages restent intéressantes, et, pour finir, l’histoire ne se limite pas seulement aux péripéties vécues par l’héroïne ; elle explore également différents aspects de la discipline, aussi bien physiques que psychologiques, dans ce qu’elle possède de beau et de cruel. -Et en plus d’être de mauvaise foi, elle ne sait pas compter… » *Discrète allusion à Sailor Moon, célèbre série à destination des jeunes filles. **Discrète allusion à Olive et Tom, célèbre série à destination des jeunes garçons. « Bonjour les Babélionautes ! Aujourd’hui, je suis toute frétillante de bonheur, car le tome 8 de En scène est disponible ! Et je l’ai lu ! Et je vais vous en parler ! -Oh non, encore ? T’en as déjà parlé plein de fois ! -Hé oui ! Que veux-tu, ce manga me ravit. -Mais qu’est-ce qui peut avoir changé depuis ta dernière critique ? C’est toujours la même histoire ! Kanade, passionnée de danse, bla bla bla, surmonte les difficultés, bla bla bla, apprend de ses erreurs, patati, réfléchit seule comme une grande, patata… -Euuuh… oui, mais… -Super occase de parfaire sa culture gé grâce aux citations des œuvres, que tu vas voir sur Toituyau… -Mmmmh… J’ai dit que c’était un shônen ? -Brouillage des genres en décrétant que c’est un shônen… quoi ? Non, tu ne l’as jamais dit, ça ! -Ben voilà, je le dis. Alors, pour faire simple, le manga, comme la littérature, se segmente en genres et en cibles. Les deux plus célèbres s’appellent shôjo et shônen. Le premier regroupe les œuvres à destination des jeunes filles, le second, les œuvres pour jeunes garçons. -C’est vachement sexiste, comme conception ! -Hem… oui et non. Cette dichotomie va définir le style et...
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