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Grandir avec l'absence
Date de parution : 22/04/2021
Éditeurs :
Robert Laffont

Grandir avec l'absence

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Date de parution : 22/04/2021

Orphelins trop tôt, ils se racontent :
Clémentine Autain, Nicolas Batum, Sarah Biasini, Cali, Antoine Compagnon, Jean-Pierre Elkabbach, Anne Goscinny, Nicolas Hulot, Serge Klarsfeld, Jean-Georges Malcor, Élie Semoun, Joann Sfar, Hervé Temime

« Ton père est mort. »
« Maman ne reviendra plus. »
Et leur enfance chavire.


Treize personnalités racontent leur parcours d’orphelin de père ou de mère : le choc du décès, le...

« Ton père est mort. »
« Maman ne reviendra plus. »
Et leur enfance chavire.


Treize personnalités racontent leur parcours d’orphelin de père ou de mère : le choc du décès, le manque prégnant, le regard des autres qui change – et une construction personnelle inévitablement différente… Comment transformer cette vulnérabilité en...

« Ton père est mort. »
« Maman ne reviendra plus. »
Et leur enfance chavire.


Treize personnalités racontent leur parcours d’orphelin de père ou de mère : le choc du décès, le manque prégnant, le regard des autres qui change – et une construction personnelle inévitablement différente… Comment transformer cette vulnérabilité en force ? Comment continuer à faire vivre le parent disparu ? Quelle relation bâtir avec le parent restant ?
Devenues écrivain, artiste, avocat, sportif ou personnalité politique, elles ont accepté de dévoiler cette part intime et méconnue de leur vie pour lancer un message d’espoir et de solidarité à tous les orphelins, dont la situation est encore souvent ignorée, voire taboue.

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EAN : 9782221253021
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 320
Format : 1 x 215 mm
EAN : 9782221253021
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 320
Format : 1 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • elematt44 21/07/2021
    Difficile d'écrire une critique sur cet ouvrage qui recueille des témoignages de personnalités ayant été confrontées jeunes au décès de l'un de leurs parents. C'est forcément touchant, émouvant voire bouleversant parfois. Pourtant aucun pathos, aucun épanchement. Ce sont plutôt des souvenirs, des regrets, des manques, des douleurs, de vraies leçons de vie, sans aucun doute et beaucoup d'humilité dans l'ensemble. Ces témoignages sont tous différents et paradoxalement ils se ressemblent. Tous, à une exception près, refusent le mot orphelin et tous ont été bouleversés par le fait d'atteindre ou de dépasser l'âge de leur parent défunt, comme si l'impensable, le contre nature se produisait. J'ai été particulièrement sensible aux témoignages d'ex petits garçons ayant perdu leurs mamans et à celui de l'ancienne petite fille qui a perdu son papa. J'ai trouvé leurs récits plus forts mais c'est mon ressenti. Un grand merci à Babelio et aux éditions Robert Laffont pour cet envoi.
  • ssstella 17/07/2021
    Orphelin ! Pour eux ce n'est pas un conte de Dickens, c'est un mot qu'ils n'aiment pas… mais c'est leur situation alors qu'ils sont si jeunes. Treize témoignages de personnalités qui ont perdu père ou mère, dans l'enfance ou la préadolescence. Suivant la personnalité du parent décédé, le caractère de l'enfant, l'entourage ou les circonstances, les réactions sont différentes : pleurs ou impassibilité, acceptation ou déni, souvenirs vifs ou amnésie, culpabilité ou colère, peur ou honte. Mais ils sont tous en souffrance, même si certains nient la situation en retournant aussitôt à leurs jeux, la douleur ou le manque les rattrapent plus tard. Si, pour quelques uns, on leur a tu le décès dans un premier temps, ils ont tout deviné. Si, autour d'eux, plus personne ne parle de l'absent(e), ils se taisent aussi. Mais tous en font le reproche, la parole est essentiel, ils auraient voulu qu'on leur dise et qu'ils puissent parler, eux aussi. Ne pas croire que le jeune orphelin qui ne laisse rien paraître n'a pas besoin d'aide. " Le chagrin de l'enfant, c'est quelque chose qui est forcément sous-évalué, sous-estimé et surtout dont on se dit qu'on peut l'empaqueter dans une soie ou un velours d'attentions quotidiennes. Mais ça ne suffit pas. Il est nécessaire que l'enfant puisse parler, s'exprimer, pleurer, hurler." P. 155. Anne Goscinny a neuf ans au décès de son papa, René Goscinny. "Rétrospectivement, je pense qu'il faut ne rien cacher, dire les mots, ne pas avoir peur de dire les choses vraies et ne pas enjoliver le sujet car l'enfant est hyper-conscient de tout ça." p. 218. Max Malcor a sept ans quand il perd son père. Des témoignages qui peuvent être émouvants mais sans pathos, c'est ce qu'ils ont subi et ils ont réagi ainsi, cela pourra servir à d'autres. Pour cela, merci à eux. Merci aussi à Babelio et aux éditons Robert Laffont pour l'envoi de ce livre. Si je l'ai sélectionné lors du dernier masse critique, c'est en souvenir de mon papa qui avait perdu sa mère à 7 ans, et qui vécut juste après, des moments difficiles et parfois effrayants. Orphelin ! Pour eux ce n'est pas un conte de Dickens, c'est un mot qu'ils n'aiment pas… mais c'est leur situation alors qu'ils sont si jeunes. Treize témoignages de personnalités qui ont perdu père ou mère, dans l'enfance ou la préadolescence. Suivant la personnalité du parent décédé, le caractère de l'enfant, l'entourage ou les circonstances, les réactions sont différentes : pleurs ou impassibilité, acceptation ou déni, souvenirs vifs ou amnésie, culpabilité ou colère, peur ou honte. Mais ils sont tous en souffrance, même si certains nient la situation en retournant aussitôt à leurs jeux, la douleur ou le manque les rattrapent plus tard. Si, pour quelques uns, on leur a tu le décès dans un premier temps, ils ont tout deviné. Si, autour d'eux, plus personne ne parle de l'absent(e), ils se taisent aussi. Mais tous en font le reproche, la parole est essentiel, ils auraient voulu qu'on leur dise et qu'ils puissent parler, eux aussi. Ne pas croire que le jeune orphelin qui ne laisse rien paraître n'a pas besoin d'aide. " Le chagrin de l'enfant, c'est quelque chose qui est forcément sous-évalué, sous-estimé et surtout dont on se dit qu'on peut l'empaqueter dans une soie ou un velours d'attentions quotidiennes. Mais...
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  • Octopussy 30/06/2021
    Une suite de témoignages touchants et intéressants sur ce que devenir orphelin(e) de père ou de mère dans l'enfance implique tout au long de la vie. De Clémentine Autain à Sarah Biasini, en passant par Nicolas Hulot ou Joann Sfar, chaque récit, chaque chemin de vie est unique et nous rappelle la capacité de l'être humain à traverser des tempêtes sans s'effondrer totalement. Ce livre m'a forcément rappelé le très bon documentaire d'Elisabeth Bost et Karine Dusfour, Destins d'orphelins, diffusé à la télévision il y a de cela quelques années. A voir absolument si vous ne l'avez pas déjà visionné.
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