Lisez! icon: Search engine
Grim, fils du marais - Roman dès 12 ans
Collection : Roman Grand format
Date de parution : 09/09/2021
Éditeurs :
Nathan

Grim, fils du marais - Roman dès 12 ans

,

Collection : Roman Grand format
Date de parution : 09/09/2021
Un roman d’aventures au style inimitable
Grim est un garçon muet qui ignore son âge et cache son passé. Fuyant un mystérieux danger, il découvre un monde singulier. Un monde de castes, peuplé de différentes espèces... Grim est un garçon muet qui ignore son âge et cache son passé. Fuyant un mystérieux danger, il découvre un monde singulier. Un monde de castes, peuplé de différentes espèces humaines, dispersées en ilots dans un marais doré, au cœur de forêts mauves. Détenteur d’un terrible secret, Grim entame un... Grim est un garçon muet qui ignore son âge et cache son passé. Fuyant un mystérieux danger, il découvre un monde singulier. Un monde de castes, peuplé de différentes espèces humaines, dispersées en ilots dans un marais doré, au cœur de forêts mauves. Détenteur d’un terrible secret, Grim entame un périple avec de nouveaux compagnons vers le palais de la reine pour la prévenir d’un complot qui se trame contre elle…

Un roman pour les adolescents dès 12 ans. 
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782092492079
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 324
Format : 155 x 227 mm
EAN : 9782092492079
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 324
Format : 155 x 227 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Clara12a 30/11/2023
    Tout d’abord, un héros atteint d’une situation de handicap : il est muet. Et c’est une force ! Grim sait écouter, observer, se défendre, aimer ! Il voit à travers les apparences et sait donner sa place à chacun. Au fil de l’histoire, il va comprendre d’où il vient et apprendre à se faire mieux entendre. Un garçon plein de ressource qu’on a plaisir à suivre et qui est très touchant ! Niveau univers, vous voyez une fourmilière ? Avec ses ouvrières, ses nourrices, ses soldats, sa reine, ses princesses ! « Grim » vous propose un système similaire ou chacun né avec une mission pour la vie. Un système complexe, aussi agité qu’une ruche qu’on aurait dérangée quand on y atterrit. Et ça, dans un style avec une particularité : l’absence de négation. Si cela peut perturber au début, on s’y fait à force. Le vocabulaire est facile, les phrases avec le bon dosage et des tournures plus belles les unes que les autres. J’aimerais insister sur l’ombre et la lumière de ce livre. C’est chaleureux, c’est sain et les moments de personnages sont incroyables. Mais l’univers à ses travers. Des travers humains terribles, des travers de la vraie vie. Je ne peux pas dire que le lecteur n’est pas préservé, mais personnellement, je n’arrive pas à le considérer comme un livre jeunesse malgré tout. En tant qu’adulte, moi, j’ai adoré cette histoire, elle offre une perceptive réfléchit et qui fait réfléchir. Alors oui, je conseille ce livre à des adultes, parce qu’il a un petit quelque chose de si spécial que vous en ressortirez forcément avec quelque chose. J’espère avoir gagné votre attention. Ce livre est une merveille qui m’a fait ressentir beaucoup de choses. Original, instructif, doux et sombre, mais qui vous enseigne plus qu’il ne vous effraie. Alors, qui prend place à bord ? Chronique complète : Tout d’abord, un héros atteint d’une situation de handicap : il est muet. Et c’est une force ! Grim sait écouter, observer, se défendre, aimer ! Il voit à travers les apparences et sait donner sa place à chacun. Au fil de l’histoire, il va comprendre d’où il vient et apprendre à se faire mieux entendre. Un garçon plein de ressource qu’on a plaisir à suivre et qui est très touchant ! Niveau univers, vous voyez une fourmilière ? Avec ses ouvrières, ses nourrices, ses soldats, sa reine, ses princesses ! « Grim » vous propose un système similaire ou chacun né avec une mission pour la vie. Un système complexe, aussi agité qu’une ruche qu’on aurait dérangée quand on y atterrit. Et ça, dans un style avec une particularité : l’absence de négation. Si cela peut perturber au début, on s’y fait à force. Le vocabulaire est facile, les phrases avec le bon dosage et des tournures plus belles les unes que les autres. J’aimerais insister sur l’ombre et la lumière de ce livre. C’est chaleureux, c’est sain et les moments de personnages sont incroyables. Mais l’univers à ses travers. Des travers humains terribles, des travers de la vraie vie....
    Lire la suite
    En lire moins
  • LudivineBon 26/03/2022
    Inconditionnelle des romans de Gaël Aymon, je ne pouvais que tendre les bras à ce magnifique "Grim, fils du marais" ! Effectivement, l'illustration de Violaine Leroy est tout bonnement magnifique, mais au-delà de ce visuel accrocheur, on se laisse emporter dans cette aventure dès les premières pages, portés par une belle énergie. Habituellement, l’auteur ancre ses romans dans une réalité sociale très proche de notre quotidien, abordant souvent des réflexions profondes en lien avec l’adolescence. Cette fois, il nous plonge dans une intrigue fantastique, pour nous faire découvrir un univers différent... Et c'est une belle prouesse ! Même si vous n’êtes pas enclins à lire les littératures de l’imaginaire, n’hésitez pas à un seul instant à ouvrir ce roman et à vous enfoncer dans cette forêt emplie de mystères, vous verrez, la magie opère dès les premières lignes ! Je suis conquise par ce roman plein de féerie et d’aventures. Le protagoniste est réellement attachant. L'ensemble est poétique, onirique et très réussi.
  • LesDemoisellesdeChatillon 03/01/2022
    En demi-teinte J'avais beaucoup apprécié les précédents titres de Gaël Aymon, en particulier Et ta vie m'appartiendra, sorte de réécriture moderne de La peau de chagrin. Avec Grim, fils du marais, l'auteur se frotte à nouveau à de grands classiques de la littérature mais de manière beaucoup plus subtile. Il nous envoie cette fois dans un monde fantastique, à la croisée de l'Odyssée et du Magicien d'Oz, très riche mais qui ne m'a pourtant pas entièrement convaincue. Grim est en fuite. Sur le marais, le danger rôde. Et ce n'est pas à la Ruche que le petit garçon trouvera la paix car même la Reine est menacée. Accompagné des quelques amis qu'il se fera en chemin, Grim est en route pour le Palais... Le monde créé par l'auteur est vraiment intéressant. Il est riche et complexe - trop peut-être parfois pour de jeunes lecteurs... J'ai aimé le système de castes, ce qui n'est pas d'une très grande originalité dans le genre mais les différents "types" d'humains le sont par contre. On pénètre dans un monde étrange. On ne sait ni où ni quand nous sommes, on se sent aussi perdu que Grim et en ça c'est une réussite. Je n'ai par contre pas du tout adhéré au style d'écriture. C'est très personnel mais je n'aime pas le style parlé. Grim, enfant muet, est le narrateur de l'histoire. Il parle donc avec un peu de naïveté mais là n'a pas été mon plus gros problème. Je peux parfaitement passer au-dessus de la suppression de la négation - bien que je préfère que ce soit uniquement dans les dialogues et non tout du long - les erreurs grammaticales me posent nettement plus de soucis. Les "malgré que" m'ont fait mal, vraiment. D'accord c'est un enfant qui s'exprime mais imprimer dans un livre des erreurs de ce type me fait me demander comment un jeune lecteur le reçoit. Verra-t-il la faute ou trouvera-t-il parfaitement normal ensuite d'écrire "malgré que" puisqu'il l'a lu dans un livre ? Il y a quelques longueurs mais l'aventure de Grim reste très plaisante à suivre. J'ai particulièrement aimé les valeurs véhiculées : le refus de se soumettre à sa prédestinée, l'ouverture à la différence, l'amitié, les dangers de la science à outrance et de l'eugénisme... J'ai pensé tout le long de ma lecture au Magicien d'Oz et la citation de Lyman Frank Baum à la fin de l'ouvrage m'a fait sourire. En somme, c'est une lecture en demi-teinte. J'ai aimé l'univers créé par l'auteur mais je l'ai trouvé un peu trop complexe pour de jeunes lecteurs et je n'ai pas adhéré au parti-pris du style narratif. Grim, fils du marais est un OLNI qui fera le bonheur des grands ados amateurs de fantastique (qui sauront sûrement mieux que moi passer au-dessus de la grammaire).En demi-teinte J'avais beaucoup apprécié les précédents titres de Gaël Aymon, en particulier Et ta vie m'appartiendra, sorte de réécriture moderne de La peau de chagrin. Avec Grim, fils du marais, l'auteur se frotte à nouveau à de grands classiques de la littérature mais de manière beaucoup plus subtile. Il nous envoie cette fois dans un monde fantastique, à la croisée de l'Odyssée et du Magicien d'Oz, très riche mais qui ne m'a pourtant pas entièrement convaincue. Grim est en fuite. Sur le marais, le danger rôde. Et ce n'est pas à la Ruche que le petit garçon trouvera la paix car même la Reine est menacée. Accompagné des quelques amis qu'il se fera en chemin, Grim est en route pour le Palais... Le monde créé par l'auteur est vraiment intéressant. Il est riche et complexe - trop peut-être parfois pour de jeunes lecteurs... J'ai aimé le système de castes, ce qui n'est pas d'une très grande originalité dans le genre mais les différents "types" d'humains le sont par contre. On pénètre dans un monde étrange. On ne sait ni où ni quand nous sommes, on se sent aussi perdu que Grim et en ça c'est une réussite. Je n'ai par contre pas du tout...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Analire 06/12/2021
    Gaël Aymon est un auteur français de romans jeunesse que je connais bien, puisque j’ai déjà pu apprécier dans le passé plusieurs de ses histoires. Ces dernières étaient plutôt réalistes et rationnelles, elles traitaient de thématiques actuelles, je pense notamment à Silent boy, qui parlait d’harcèlement scolaire, ou à Et ta vie m’appartiendra, sorte de réécriture du célèbre roman d’Honoré de Balzac, Peau de chagrin. Avec Grim fils du marais, Gaël Aymon nous embarque dans un univers fantastique et merveilleux sorti tout droit de son imagination. Grim, un jeune enfant muet vivant dans une forêt mystérieuse, fui un ennemi inconnu. Il se réfugie dans une Ruche, lieu intriguant, où des Nourrices élèvent des enfants et leur apprennent à vivre dans un monde complexe. Jarvin, l’une des Nourrice, prend Grim sous son aile. La Nourrice essaie tant bien que mal de cerner ce garçon et de comprendre ce qui l’amène dans la Ruche : fuit-il un ennemi ? est-il un fugueur ? Lorsqu’il est l’heure pour les enfants de rejoindre leurs Maisons respectives – Auxiliants, Combattants, Servants ou Reproduisants… -, la couvée censée les remplacer se trouve vide. Jarvin décide de percer à jour ce mystère et emmène Grim avec lui jusqu’au Haras où se trouve les Dames et Sieurs qui fournissent les Damoiselles au Palais de la Reine pour qu’elle puisse faire naître de nouveaux enfants. Là-bas, c’est avec horreur que Jarvin et Grim se retrouvent au coeur d’un complot qui les dépasse : les Haras se révoltent et veulent renverser le Palais et tuer la Reine. Une décision qui mettrait en péril toute l’humanité. J’ai été comblée par l’inventivité de l’auteur. Je ne suis pas une grande adepte du fantastique et encore moins de la fantasy ; pourtant, ici, le doux mélange des genres crée un univers onirique accessible à tous, qui nous plonge immédiatement dans un monde féerique, où l’on se retrouve comme des enfants émerveillés. C’est une histoire dynamique, dans laquelle on ne s’ennuie pas. Les aventures s’enchaînent avec aisance et volupté. De nombreuses références sont faites aux contes et légendes anciennes, dans lesquels des héros tels que Ulysse, Lancelot et j’en passe, réussissent des exploits hors du commun. Nos héros s’identifient aisément à ces héros : ils sont engagés, même au péril de leur vie, terriblement courageux et ils accomplissent des exploits au profit d’une communauté, celle de la Reine, dont dépend la survie de leur Maison, de leur vie et de l’humanité toute entière. J’ai adoré découvrir les différentes particularités des personnages qui parsèment l’histoire. J’ai particulièrement apprécié la joyeuse bande de héros que nous suivons du début à la fin : Grim, Jarvin, Felée, Halona, Cheveyo. Malgré les différences de culture, d’éducation, de façons de penser, ils arrivent à cohabiter et à avancer ensemble vers un objectif commun. Une belle et solide amitié naît entre ces cinq personnages, qui fait chaud au coeur et plaisir à voir. J’adresse une maison spéciale à la maison d’éditions, qui s’est surpassée sur le design du livre, en produisant une magnifique couverture, lumineuse, vive, qui promet des aventures merveilleuses. L’histoire est également entrecoupée de dessins en noir et blanc réalisés par Violaine Leroy, que j’aurais grandement apprécié voir plutôt en couleurs. Mais sans doute est-ce une question de coût (fournir des dessins en papier glacé et en couleurs aurait augmenté considérablement le prix du livre). Tout de même, elles permettent de se représenter encore plus concrètement cet univers fantastique qui nous enchante. Le seul point négatif que je vois à souligner, c’est le style d’écriture. Le narrateur, qui est également notre héros, Grim, s’exprime d’une manière un peu niaise, en coupant volontairement certaine phrase, en mâchant certains mots, en obstruant totalement la forme négative ; ce qui donne un style décousu, un peu simple, peu français finalement, qui pourrait donner un mauvais exemple aux jeunes lecteurs qui le lit. Un roman fantastique féerique, qui nous plonge dans un univers onirique merveilleux, tout en nous faisant vivre milles aventures extraordinaire. C'est une réussite : bravo !Gaël Aymon est un auteur français de romans jeunesse que je connais bien, puisque j’ai déjà pu apprécier dans le passé plusieurs de ses histoires. Ces dernières étaient plutôt réalistes et rationnelles, elles traitaient de thématiques actuelles, je pense notamment à Silent boy, qui parlait d’harcèlement scolaire, ou à Et ta vie m’appartiendra, sorte de réécriture du célèbre roman d’Honoré de Balzac, Peau de chagrin. Avec Grim fils du marais, Gaël Aymon nous embarque dans un univers fantastique et merveilleux sorti tout droit de son imagination. Grim, un jeune enfant muet vivant dans une forêt mystérieuse, fui un ennemi inconnu. Il se réfugie dans une Ruche, lieu intriguant, où des Nourrices élèvent des enfants et leur apprennent à vivre dans un monde complexe. Jarvin, l’une des Nourrice, prend Grim sous son aile. La Nourrice essaie tant bien que mal de cerner ce garçon et de comprendre ce qui l’amène dans la Ruche : fuit-il un ennemi ? est-il un fugueur ? Lorsqu’il est l’heure pour les enfants de rejoindre leurs Maisons respectives – Auxiliants, Combattants, Servants ou Reproduisants… -, la couvée censée les remplacer se trouve vide. Jarvin décide de percer à jour ce mystère et emmène Grim avec lui jusqu’au...
    Lire la suite
    En lire moins
  • SophieLesBasBleus 03/12/2021
    Je garde une impression assez mitigée après la lecture du livre de Gaël Aymon. En effet, si j'ai été absolument épatée par la richesse et l'inventivité de l'univers dans lequel évoluent les personnages, j'ai parfois eu du mal à me représenter le fonctionnement de cette société où règne la prédétermination. Cela tient probablement au fait que le récit soit construit autour du seul point de vue de Grim, un enfant justement prédestiné à tout ignorer et, au début, incapable de communiquer avec les autres. Si bien que tous les repères du lecteur disparaissent et qu'il lui faut accepter de ne se laisser porter que par la narration. Par exemple, le vocabulaire désignant les lieux et les fonctions se réfère, au début, à la société des abeilles (la Ruche, le grand nid, le couvain, la Reine...) et il m'a été difficile de m'imaginer les personnages comme des humains. De plus, les rôles de chaque "caste" de cette société ne prennent sens que très tardivement dans le récit : que sont les Damoiseaux et Damoiselles ? Quelle est leur origine ? Sont-ils enfants des Dames et des Sieurs des Haras, comme les chapitres 7 et 8 le laissent entendre ? Ou bien sont-ils enfants de la Reine comme le raconte Ukim (p. 308) "C'étaient des bébés minuscules, qui étaient envoyés par les quatre tunnels dans les quatre zones du Palais : une pour les enfants Auxiliants, une pour les Servants, une pour les Combattants, et une autre pour vous, mes Damoiselles et mes Damoiseaux !" ? La fin du roman apporte, certes, beaucoup de réponses et si les principes de cette société deviennent plus clairs, un certain flou a continué, pour moi, de baigner tout ce qui amène l'issue du récit. Le foisonnement de cet univers le rend complexe à appréhender dans le détail, en tout cas lors d'une première lecture. Les difficultés de compréhension viennent également, me semble-t-il, du style de la narration. Pris en charge par Grim, enfant muet, ayant grandi hors la société où il se trouve projeté, le récit est conduit dans un registre familier oralisé (absence de marques de négation, ellipses syntaxiques, pas toujours de concordance des temps). Ce qu'il voit est, pour lui, incompréhensible car il ne possède pas les codes régissant cette organisation sociale. Le lecteur est donc dans la même situation, ce qui permet l'identification, le suspense et la crainte. La cohérence de ces choix narratifs est indiscutable, mais il n'en reste pas moins que cette écriture ajoute, à mon avis, une difficulté de compréhension. Mais peut-être que des lecteurs plus jeunes y seront moins sensibles que moi ! Ce qui m'apparaît, en revanche, extrêmement stimulant et fécond ce sont les thématiques portées par ce roman étonnant. Que ce soit les résonances avec notre société actuelle, le respect des différences, les significations philosophique, politique, sociale, du "vivre ensemble", la définition de la rébellion, la cruauté d'un monde fondé sur l'apparence, ou les risques des manipulations génétiques, les sujets de réflexion ne manquent pas ! En ce sens, le roman de Gaël Aymon ouvre tout un champ d'interprétations d'une richesse considérable et permet de prolonger l'aventure de Grim par de multiples débats tant littéraires que philosophiques. Je garde une impression assez mitigée après la lecture du livre de Gaël Aymon. En effet, si j'ai été absolument épatée par la richesse et l'inventivité de l'univers dans lequel évoluent les personnages, j'ai parfois eu du mal à me représenter le fonctionnement de cette société où règne la prédétermination. Cela tient probablement au fait que le récit soit construit autour du seul point de vue de Grim, un enfant justement prédestiné à tout ignorer et, au début, incapable de communiquer avec les autres. Si bien que tous les repères du lecteur disparaissent et qu'il lui faut accepter de ne se laisser porter que par la narration. Par exemple, le vocabulaire désignant les lieux et les fonctions se réfère, au début, à la société des abeilles (la Ruche, le grand nid, le couvain, la Reine...) et il m'a été difficile de m'imaginer les personnages comme des humains. De plus, les rôles de chaque "caste" de cette société ne prennent sens que très tardivement dans le récit : que sont les Damoiseaux et Damoiselles ? Quelle est leur origine ? Sont-ils enfants des Dames et des Sieurs des Haras, comme les chapitres 7 et 8 le laissent entendre ? Ou...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés