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Je les ai tous vus débuter
Collection : Arts et spectacles
Date de parution : 11/02/2021
Éditeurs :
L'Archipel

Je les ai tous vus débuter

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Collection : Arts et spectacles
Date de parution : 11/02/2021
Dalida, Hallyday, Brel, Aznavour… Roger Morizot, entré grâce à Bruno Coquatrix à l’Olympia dont il fut le régisseur principal pendant trente ans, livre des anecdotes sur les artistes qu’il a côtoyés.
Bruno Coquatrix, le directeur, me disait : « Prends des notes. Il faudra bien qu’un jour on sache ce qui s’est vraiment passé ici, les nuits blanches que nous avons... Bruno Coquatrix, le directeur, me disait : « Prends des notes. Il faudra bien qu’un jour on sache ce qui s’est vraiment passé ici, les nuits blanches que nous avons vécues, la sueur et les plumes que nous avons laissées pour que les étoiles continuent de briller sur les néons... Bruno Coquatrix, le directeur, me disait : « Prends des notes. Il faudra bien qu’un jour on sache ce qui s’est vraiment passé ici, les nuits blanches que nous avons vécues, la sueur et les plumes que nous avons laissées pour que les étoiles continuent de briller sur les néons de la grande façade... Écris tout ça. »

Régisseur de l’Olympia depuis sa réouverture en 1954, Roger Morizot raconte la célèbre salle de spectacle parisienne depuis les coulisses. Il y a vu les stars internationales s’y produire : Liza Minnelli, Marlene Dietrich, Joséphine Baker, Miles Davis, Frank Sinatra... Et presque toutes les vedettes hexagonales y faire leurs débuts : Aznavour, Brel, Brassens, Dalida, Claude François, Hallyday, Polnareff...

Autant de noms qui ont brillé au fronton du 28 boulevard des Capucines... mais pas toujours par leur comportement. De fait, « Doudou » distribue lauriers et coups de griffes. S’il fut le confident et l’ami de beaucoup, tels Édith Piaf, Dalida ou Jacques Brel, il n’envoie pas dire ce qu’il pense de quelques autres.

Après trente-quatre années de présence assidue, Doudou a quitté les lieux. « The show must go on ! Le spectacle n’a pas d’autre loi. J’ai suffisamment bien vécu et, si mon banquier ne s’en souvient pas, j’ai de la mémoire pour deux et des paillettes plein les poches. »
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EAN : 9782809840490
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 260
Format : 14 x 22,5 mm
EAN : 9782809840490
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 260
Format : 14 x 22,5 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • sherryyanne 27/12/2023
    Ce livre écrit par Roger Morizot dit Doudou Morizot en 2021, donc par un monsieur assez âgé (91 ans) raconte trente ans dans les coulisses de l'Olympia, la mythique salle de spectacle dirigée par Bruno Coquatrix, puis par sa veuve. Doudou Morizot fait partie de ceux qui sont derrière, à la régie et comme l'indique le titre de son ouvrage, il les a tous vu débuter, les Piaf, Dalida, Aznavour, Bécaud, Brel, Brassens, Polnareff, Hady, Vartan, Halliday et tant d'autres. Il révèle quelques anecdotes parfois sympathiques, parfois beaucoup moins et certains peuvent paraître carrément antipathiques par leur attitude motivée par des égos surdimensionnés. Ce n'est pas de la grande littérature, mais quand on n'a pas envie de se prendre la tête, avec juste l'envie de lire un "truc" facile et divertissant, ce livre tombe à point nommé.
  • TomParis75 01/05/2023
    Lorsqu’un livre est terminé, je me pose toujours cette question : cette lecture mérite-t-elle de rester dans ma bibliothèque ou est-elle de passage, vite lue, vite oubliée ? Un livre doit me faire réfléchir, rire, pleurer, etc. Sympa ! Nous sommes dans les coulisses de l’Olympia grâce à toutes les anecdotes.
  • Bazart 02/04/2021
    Ne#769; en 1930, Roger Morizot, vrai titi parisien, travaille au Cirque d’hiver lorsqu’il est « pre#770;te#769; » par Joseph Bouglione a#768; Bruno Coquatrix pour aider a#768; la re#769;ouverture de l’Olympia. Ensemble, ils remettront a#768; flot cette salle mythique et lui forgeront le destin qu’on lui connai#770;t. « Doudou » Morizot en sera le re#769;gisseur jusqu’en 1988. Roger Morizot, que tout le monde dans le métier appelle Doudou nous fait ce livre de mémoires que Coquatrix n'aura jamais réalisé et livre ainsi de . nombreuses anecdotes sur un bon panel de vedettes passées par la scène de l’Olympia, Piaf, Dalida,Brel, Aznavour, Bécaud, Johnny et Sylvie sont des stars appréciées par Doudou Morizot, Mais Doudou Morizot a aussi la dent dure avec certains tels que Claude François, Michel Polnareff ou Thierry Le Luron plus brillants sur les planches que derrière les coulisses. On se plonge avec pas mal de ravissement dans le langage fleuri de Doudou Moritoz vrai gosse de Paris, un Titi parisien comme on dit, porté sur l’argot et élevé à la dure dans le ventre de la capitale. et dans ses anecdotes souvent savoureuses
  • Pancrace 26/02/2021
    « Tu es le seul régisseur de France à avoir travaillé avec autant de vedettes de ce bas monde dans ton isoloir de l’Olympia, l’un des rares à nous connaître mieux que nos mères. Fais-en quelque chose, parle, écris, souviens-toi… » Il l’a fait et je viens de lire… Un chemin de vie avec un boulevard d’étoiles jonchés d’anecdotes. C’est passionnant et croustillant mais c’est peut-être un peu trop tard. Doudou est né le 08 janvier 1930, comme mon père ! Il y a des clins d’œil dans la vie où lorsque la paupière se relève se cache une goutte de nostalgie surtout que je l’imagine bien le Doudou avec la même clope au bec débitant les mêmes mots que mon paternel avec la même gouaille de parigot-tête-de-veau. Trop tard, disais-je. Mais est-ce important pour faire une tournée « Only you » avec les Platters, pour retrouver Johnny pré-Sylvie, pour éternuer dans les plumes de Joséphine Baker qui n’avait pas pu les piquer à Piaf vu sa taille de moineau. Bien sûr il y a des « gens » que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître. Non, pas Aznavour, ni Brel, ni Bécaud, ni même Polnareff. Quoique, on oublie si vite ! Je pense à Eddie Constantine, Félix Marten, Paul Anka ou Pia Colombo dont Doudou nous gratifie de quelques-unes de leurs mésaventures cocasses. En fait ce bouquin m’a expédié à l’âge d’or de mes parents, et c’est bon de me remémorer en culotte courte à la dernière de Piaf ou au concert de Pierre Perret qui nous faisait bien marrer. Pour mon époque à moi, il faut aller à la fin du bouquin où Doudou a consigné toutes les programmations de l’Olympia de 1954 à 1979 et là mes amis, j’en ai encore les poils debout de ce concert du 17 décembre 1973 où Rory Gallagher avait chanté de sa voix rocailleuse ses blues-rock électriques aux solos de guitare endiablés durant plus de trois heures lors de sa tournée « Tattoo’d lady ». Bearded baby, they’re my family… Oui, c’était ma famille comme Tom Waits, Lloyd Cole, Steely Dan ou Kid Créole, bien après que Dalida me parle d’amour et me redise des choses tendres que j’étais tout juste prêt à entendre… Avec le temps va, tout s’en va, comme chantait Ferré que je n’ai jamais aimé. Ma foi, ce bouquin c’est un concentré de frissons, chacun y retrouvera sa madeleine avec du beurre dedans où Doudou y relate un nombre considérable de révélations spontanées et franches de son époque avec tellement de charme et d’élégance que du coup, j’ai ressenti pleinement les émotions authentiques que ce personnage charismatique a vécu pendant 34 ans dans cette salle mille fois mythique. Et puis, comme chante Barbara, si un jour ou peut-être une nuit on peut retourner au pestacle, lisez-le dans la queue, il pourrait vous ambiancer de velours rouge et de paillettes dorées. Merci à la masse critique de Babelio de m’offrir la possibilité de découvrir cet ouvrage que je n’aurais peut-être pas rencontré et aux éditions de l’Archipel de me l’avoir adressé. « Tu es le seul régisseur de France à avoir travaillé avec autant de vedettes de ce bas monde dans ton isoloir de l’Olympia, l’un des rares à nous connaître mieux que nos mères. Fais-en quelque chose, parle, écris, souviens-toi… » Il l’a fait et je viens de lire… Un chemin de vie avec un boulevard d’étoiles jonchés d’anecdotes. C’est passionnant et croustillant mais c’est peut-être un peu trop tard. Doudou est né le 08 janvier 1930, comme mon père ! Il y a des clins d’œil dans la vie où lorsque la paupière se relève se cache une goutte de nostalgie surtout que je l’imagine bien le Doudou avec la même clope au bec débitant les mêmes mots que mon paternel avec la même gouaille de parigot-tête-de-veau. Trop tard, disais-je. Mais est-ce important pour faire une tournée « Only you » avec les Platters, pour retrouver Johnny pré-Sylvie, pour éternuer dans les plumes de Joséphine Baker qui n’avait pas pu les piquer à Piaf vu sa taille de moineau. Bien sûr il y a des « gens » que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître. Non, pas Aznavour, ni Brel, ni Bécaud, ni même Polnareff. Quoique, on oublie si...
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