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Journal de la peste
Date de parution : 06/01/2022
Éditeurs :
Bouquins

Journal de la peste

Date de parution : 06/01/2022
Le grand livre qu'on attendait sur l'année Covid racontée par un grand écrivain.
En mars 2020, déboussolé par les images venant d’Italie, je me suis senti, comme beaucoup, bombardé par un bombardier inexistant. Les actualités et la pandémie captaient toute mon attention.
Au cours...
En mars 2020, déboussolé par les images venant d’Italie, je me suis senti, comme beaucoup, bombardé par un bombardier inexistant. Les actualités et la pandémie captaient toute mon attention.
Au cours de ces semaines, mon attention latérale a été mise en suspens et une tension a surgi pour ne plus s’éloigner....
En mars 2020, déboussolé par les images venant d’Italie, je me suis senti, comme beaucoup, bombardé par un bombardier inexistant. Les actualités et la pandémie captaient toute mon attention.
Au cours de ces semaines, mon attention latérale a été mise en suspens et une tension a surgi pour ne plus s’éloigner. Face à cette tragédie et à cette intensité, l’écriture devait être présente. Faire un pas en avant tandis que progressait ce violent événement.
Je me suis mis à écrire tous les jours, suivant ce qui se passait avec la sensation d’assister à quelque chose d’unique et de terrible.
J’ai écrit chaque texte comme si c’était le dernier, non pas parce que je pensais que j’allais mourir ou que la fin du monde approchait, bien sûr, mais dans le sens où je mettais toute l’énergie de la journée dans le texte — ne pas garder des munitions pour le jour suivant : c’est maintenant ou jamais. Et le lendemain je me réveillais et j’adoptais la même attitude : c’est maintenant ou jamais.
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EAN : 9782382921029
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 416
Format : 140 x 200 mm
EAN : 9782382921029
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 416
Format : 140 x 200 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gonewiththegreen 16/12/2022
    La crise du covid a poussé Tavares à rédiger chaque jour un petit texte et ce sur trois mois. De mars à juin 2020. A une période hallucinatoire où tous les ordres établis ont volé en éclat et où le plus grand bonheur était de "niquer" le système et de sortir 'sans motif'. Même pas faire pisser son chien à 100 mètres autour du lieu d'habitation tenait de l'exploit. Ce livre retranscrit très bien ce que l'on a pu ressentir , enfin moi. Sur chaque journée , il y a un peu d'actualités , quelques réflexions personnelles et quelques références culturelles . Les relations de l'auteur avec des Mexicains , où parait il le Jérôme Salomon local égayait la journée des Mexicaines , des Brésiliens ou des Grecs apportent un éclairage sur la façon dont chaque pays a vécu la crise. Jérome Salomon , rien que le nom me donne la chair de poule. Compteur de morts , quel sale job. C'est très bien fait , on se remémore de tristes moments où l'effondrement de l'économie mondiale côtoyait la fin des relations humaines et l'apologie de la distance . sur les faits , l'auteur par des phrases courtes posent un jugement non péremptoire mais intelligent et souvent poussant à la réflexion. Btravo La crise du covid a poussé Tavares à rédiger chaque jour un petit texte et ce sur trois mois. De mars à juin 2020. A une période hallucinatoire où tous les ordres établis ont volé en éclat et où le plus grand bonheur était de "niquer" le système et de sortir 'sans motif'. Même pas faire pisser son chien à 100 mètres autour du lieu d'habitation tenait de l'exploit. Ce livre retranscrit très bien ce que l'on a pu ressentir , enfin moi. Sur chaque journée , il y a un peu d'actualités , quelques réflexions personnelles et quelques références culturelles . Les relations de l'auteur avec des Mexicains , où parait il le Jérôme Salomon local égayait la journée des Mexicaines , des Brésiliens ou des Grecs apportent un éclairage sur la façon dont chaque pays a vécu la crise. Jérome Salomon , rien que le nom me donne la chair de poule. Compteur de morts , quel sale job. C'est très bien fait , on se remémore de tristes moments où l'effondrement de l'économie mondiale côtoyait la fin des relations humaines et l'apologie de la distance . sur les faits , l'auteur par des phrases courtes posent un jugement non péremptoire...
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