On a comparé Sunetra Gupta à une Virginia Woolf postcoloniale. Pourtant elle est bien moins dans lexpérimentation plus lisible aussi , toujours captivante et surprenante. Le livre apporte à la frileuse culture britannique une poésie luxuriante et une grande intelligence à passer de la mythologie à la mémoire. Gupta accomplit ces trajets avec dextérité, sans jamais se lasser de ces voyages. Helen Rumbelow, « The Times » « La Couleur du péché » nous promet un réel plaisir. Parce que le mystère trame la narration, mystère que lon retrouve dans tous les romans de Gupta, et qui concerne les relations entre les êtres et non leurs actes. On éprouve une vraie excitation à découvrir, comme dans une boîte de chocolat, une dernière rangée qui était jusque-là restée cachée. « La Couleur du péché » est un très grand livre, celui dun écrivain que je considère comme lun des meilleurs écrivains indiens de langue anglaise. Ashok Banker, « Rediff. Com » À propos de « Memories of Rain » Un éblouissant et lumineux premier roman, par une jeune et digne héritière de Virginia Woolf
« Kirkus Review » Sunetra Gupta écrit comme Joyce Carol Oates qui serait bengali, de longues phrases qui se déroulent en apnée et qui, avec lintuition dun somnambule, passent du présent au passé. Suzanna Ruta, « Entertainment » « Mémories of Rain » est lune des plus sibtiles évocations de Calcutta aujourdhui quon ait écrites en anglais. Shashi Tharoor, « Book World » À propos de « The Glassbowers Breath » En vérité, Sunetra Gupta doit être lenfant préféré de Virginia Woolf, quelle aurait eu avec Albert Camus et vendu à la naissance à un cirque ambulant, celui des Monty Python. Lyrique, incisif et captivant, « Memories of Rain » était un premier livre impressionnant de qualités mais il lui manquait lintelligence et lambition qui font lexcellence de ce deuxième roman. Anne-Marie Donahue, « The Boston Phoenix » À propos de « Moonlight into Marzipan » Se mêlent dans ce roman contradictions et coïncidences tout comme dans la réalité, quoique la sophistication de la vision de cette réalité rappelle dans la luxuriance dun lyrisme romantique le « Quatuor dAlexandrie » de Lawrence Durrell. Tel lalchimiste, Gupta a transformé le langage en mémoire. Alev Adil, « Times Literary Supplement »