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La femme en feu
Sophie Guyon (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 23/03/2023
Éditeurs :
L'Archipel

La femme en feu

Sophie Guyon (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 23/03/2023
Jeune journaliste, Jude Roth se voit confier la mission de retrouver un tableau volé par les nazis il y a 75 ans de cela. Mais La Femme en feu suscite toutes les convoitises… Un suspense qui a figuré sur la liste des best-sellers du New York Times, et dont les droits cinématographiques ont été achetés par Sharon Stone.
Jeune journaliste ambitieuse, June se voit confier une mission délicate par Dan Mansfield, célèbre reporter d’investigation de Chicago.
Ce dernier a promis à l’un de ses vieux amis de retrouver un...
Jeune journaliste ambitieuse, June se voit confier une mission délicate par Dan Mansfield, célèbre reporter d’investigation de Chicago.
Ce dernier a promis à l’un de ses vieux amis de retrouver un tableau volé par les nazis : La Femme en feu, dernière toile du peintre expressionniste allemand Ernst Engel.
En France, Margaux...
Jeune journaliste ambitieuse, June se voit confier une mission délicate par Dan Mansfield, célèbre reporter d’investigation de Chicago.
Ce dernier a promis à l’un de ses vieux amis de retrouver un tableau volé par les nazis : La Femme en feu, dernière toile du peintre expressionniste allemand Ernst Engel.
En France, Margaux de Laurent, richissime héritière et galeriste de premier plan, a elle aussi ses raisons pour mettre la main sur l’oeuvre, quel qu’en soit le prix.
De la Seconde Guerre mondiale à nos jours, de Chicago à Amsterdam et Berlin, aucun tableau n’aura suscité autant de convoitises, ni fait couler plus de sang…

« Histoire, scandale, sexe, mensonges : un roman qui ne vous laisse pas reprendre votre souffle. » Publishers Weekly
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EAN : 9782809846171
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782809846171
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LesReveriesdIsis 13/01/2024
    Je ne connaissais pas du tout Lisa Barr avant d’ouvrir ce roman et je dois avouer que je ne savais pas à quoi m’attendre. Le titre, le lien entre Arts et Histoire m’a fait envie, alors je me suis lancée. Ce roman évoque une journaliste, Jude Roth, qui à peine entrée dans le métier, se lance à la poursuite d’une œuvre d’art volée par les nazis, afin de tenter de la rendre à son véritable propriétaire. Mais ce tableau attise toutes les convoitises et plusieurs personnes – plus ou moins bien intentionnées- se sont données pour but de le récupérer. Ce livre m’a plu par son montage romanesque. Nous sentons l’urgence sous la plume de Lisa Barr, la tension est palpable du début à la fin du roman. Les rebondissements sont légion, cela devient parfois un peu rocambolesque, mais cela n’empêche pas de passer un agréable moment de lecture. Nous avons les ingrédients nécessaires à une lecture agréable : une marchande d’art sans scrupule au passé trouble, aux fréquentations douteuses mais au charme ravageur qui endort la confiance ; la jeune journaliste déterminée, combattive, pugnace au-delà du raisonnable ; le mentor expérimenté, déterminé mais faillible. Ces trois-là nous livrent un ballet des plus savoureux. Une danse avec le diable, un tango avec la mort qui nous tient en haleine jusqu’au bout. La figure de Margaux Saint Laurent est délicieusement glaçante, et Jude, à côté, fait parfois bien pâle figure. Ce n’est pas très étonnant puisque l’une est débutante dans le monde du journalisme et de l’investigation tandis que l’autre a acquis et affermi sa position depuis longtemps. Bien entendu, nos héros sont aidés d’autres personnages et cela fonctionne bien. Il y a vraiment une alchimie singulière qui se crée entre les êtres dans ce roman, de page en page, nous donnant l’illusion de la vraie vie. Cette impression de véracité des êtres tient entre autre au personnage d’Ellis Baum qui est terriblement émouvant par ses failles, par son humanité et par le passé que Lisa Barr lui façonne. C’est un enfant qui, s’il a échappé aux nazis, a perdu beaucoup. Son seul lien avec son passé reste ce tableau qui représente sa mère. Alors qu’il vieillit, il aspire plus que tout à revoir cette œuvre, comme pour faire la paix avec ce passé déchirant et pour retrouver des racines qu’il a cachées tout au long de sa vie. Le parcours de ce personnage m’a beaucoup émue. Son petit fils est également touchant. Nous avons ici deux figures masculines dotées d’une force inouïe mais aussi de fêlures qui se muent en failles béantes. Le roman évoque de fait une période trouble : la spoliation des œuvres d’arts par les nazis, les chantages, trafics en tous genres, l’autrice rappelle aussi que certains pays sont plus ou moins prompts à accepter la restitution des œuvres à leurs propriétaires initiaux. C’est une page de l’Histoire, qui, de fait, est extrêmement douloureuse. Cependant, j’ai un véritable bémol avec ce livre. Certains passages tournent cruellement vers la romance avec des formulations excessives, que je trouve personnellement ridicules car clichés, et cela ne tient sans doute qu’à ma sensibilité personnelle. Les passages évoquant l’attraction entre le petit-fils d’Ellis et Jude m’ont royalement agacée et fait lever les yeux au ciel. De la même façon, l’attraction qu’exerce Margaux Saint Laurent sur les hommes est mise en mots d’une façon que j’ai trouvée lourde. Ainsi, je suis un peu mitigée sur ce roman. J’ai beaucoup aimé le destin forgé pour Ellis, sa quête de vérité, j’ai apprécié la ténacité de Jude, sa capacité à aider les autres, j’ai aimé l’appui sur une période historique difficile et douloureuse, pour autant, certains aspects de la plume de l’autrice m’ont rebutée. Une lecture intéressante et agréable au demeurant, une fois les bémols posés.Je ne connaissais pas du tout Lisa Barr avant d’ouvrir ce roman et je dois avouer que je ne savais pas à quoi m’attendre. Le titre, le lien entre Arts et Histoire m’a fait envie, alors je me suis lancée. Ce roman évoque une journaliste, Jude Roth, qui à peine entrée dans le métier, se lance à la poursuite d’une œuvre d’art volée par les nazis, afin de tenter de la rendre à son véritable propriétaire. Mais ce tableau attise toutes les convoitises et plusieurs personnes – plus ou moins bien intentionnées- se sont données pour but de le récupérer. Ce livre m’a plu par son montage romanesque. Nous sentons l’urgence sous la plume de Lisa Barr, la tension est palpable du début à la fin du roman. Les rebondissements sont légion, cela devient parfois un peu rocambolesque, mais cela n’empêche pas de passer un agréable moment de lecture. Nous avons les ingrédients nécessaires à une lecture agréable : une marchande d’art sans scrupule au passé trouble, aux fréquentations douteuses mais au charme ravageur qui endort la confiance ; la jeune journaliste déterminée, combattive, pugnace au-delà du raisonnable ; le mentor expérimenté, déterminé mais faillible. Ces trois-là nous livrent un ballet des...
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  • Ogrimoire 02/01/2024
    Je le disais précédemment, ce qui compte, pour faire un bon livre, ce n’est pas forcément l’idée de départ, c’est la façon dont l’auteur(e) la traite. Et nous en avons un brillant exemple ici, puisque, je le disais au début de cette chronique, le sujet n’est pas inédit, et le sujet de la spoliation par les nazis d’œuvres d’art a déjà été traité ici-même (Blue Velasquez). L’auteure parvient d’abord à nous faire entrer dans cette histoire dès les premières pages. Nous ne savons pas encore quel est l’enjeu, mais nous savons qu’il est de taille. Et les personnages apparaissent déjà dans toute leur violence. Mais ce qui est très fort, dans ce livre, c’est que les gentils ne sont pas que gentils et les méchants, même s’ils sont véritablement méchants, ne sont pas caricaturaux. Alors, évidemment, en disant cela ainsi, cela pourrait ouvrir la porte à la critique, mais non, l’idée n’est pas dire que « tout se vaut », il y a clairement le « camp du bien » d’un côté, le « camp du mal » de l’autre. Mais il y a de la nuance, de l’humanité, de la vraie vie, autrement dit. Et ce qui ne gâche rien, il y a des sentiments intenses, bruts même, dans ce livre. J’ai en tête une scène où un personnage aveugle découvre la toile… eh bien c’est très fort ! L’histoire fonctionne bien, les personnages sont intéressants et nuancés – ou presque -, franchement, c’est une belle lecture ! Alors, envie d’embarquer dans cette quête de La femme en feu ? Si vous voulez en être, préparez-vous un petit sac d’affaires, abandonnez tous vos objets connectés, téléphone, montre… et soyez prêts pour un sacré périple !Je le disais précédemment, ce qui compte, pour faire un bon livre, ce n’est pas forcément l’idée de départ, c’est la façon dont l’auteur(e) la traite. Et nous en avons un brillant exemple ici, puisque, je le disais au début de cette chronique, le sujet n’est pas inédit, et le sujet de la spoliation par les nazis d’œuvres d’art a déjà été traité ici-même (Blue Velasquez). L’auteure parvient d’abord à nous faire entrer dans cette histoire dès les premières pages. Nous ne savons pas encore quel est l’enjeu, mais nous savons qu’il est de taille. Et les personnages apparaissent déjà dans toute leur violence. Mais ce qui est très fort, dans ce livre, c’est que les gentils ne sont pas que gentils et les méchants, même s’ils sont véritablement méchants, ne sont pas caricaturaux. Alors, évidemment, en disant cela ainsi, cela pourrait ouvrir la porte à la critique, mais non, l’idée n’est pas dire que « tout se vaut », il y a clairement le « camp du bien » d’un côté, le « camp du mal » de l’autre. Mais il y a de la nuance, de l’humanité, de la vraie vie, autrement dit. Et ce qui ne gâche rien, il y...
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  • LauraLesmotsdesautres 09/09/2023
    Pour qui s'intéresse à l'art et son histoire, la spoliation d’œuvres d'art par le IIIe Reich durant la seconde guerre mondiale est un fait connu et avéré. L'an passé, il a d'ailleurs été décidé de restituer aux héritiers une quinzaine de tableaux volés dont certains peints par Klimt et Chagall. Au total, 100 000 œuvres d'art auraient été saisies par les nazis en France. Un fait historique retranscrit dans le film "Monuments men" réalisé par Clooney . Le roman de Lisa Barr s'en inspire pour nous offrir un suspense des plus haletants mêlant journalisme d'investigation, histoire personnelle et vengeance . Margaux de Laurent est l'héritière d'un nom, celui d'une famille de galeristes renommée depuis des décennies. Les affaires vont mal et elle pense que le vol de tableaux spoliés par un nazi, revendus sur le marché noir, pourrait renflouer les caisses. Mais c'est surtout une œuvre qu'elle cherche en particulier, "La femme de feu" d'Ernst Engel. La toile est également recherchée par Ellis, le créateur des célèbres chaussures Anika Baum, en hommage à sa mère . Ces deux personnages que rien ne semble arrêter enrôlent dans leur quête ultime June, une jeune journaliste, Dan, spécialisé dans l'investigation, Adam, un artiste talentueux en proie aux addictions ... Dans un va et vient entre notre époque et les années 40-45, l'autrice nous embarque à la poursuite du tableau de tous les désirs et de tous les mystères . Stratégie, déviances sexuelles, double jeu, meurtre, égocentrisme, passion, psychologie, Histoire, art, vengeance, ressentiments ... Les thèmes sont nombreux et nous offrent une enquête menée tambour battant par une June bien décidée à lever le voile sur cette toile cousue de fils de ferPour qui s'intéresse à l'art et son histoire, la spoliation d’œuvres d'art par le IIIe Reich durant la seconde guerre mondiale est un fait connu et avéré. L'an passé, il a d'ailleurs été décidé de restituer aux héritiers une quinzaine de tableaux volés dont certains peints par Klimt et Chagall. Au total, 100 000 œuvres d'art auraient été saisies par les nazis en France. Un fait historique retranscrit dans le film "Monuments men" réalisé par Clooney . Le roman de Lisa Barr s'en inspire pour nous offrir un suspense des plus haletants mêlant journalisme d'investigation, histoire personnelle et vengeance . Margaux de Laurent est l'héritière d'un nom, celui d'une famille de galeristes renommée depuis des décennies. Les affaires vont mal et elle pense que le vol de tableaux spoliés par un nazi, revendus sur le marché noir, pourrait renflouer les caisses. Mais c'est surtout une œuvre qu'elle cherche en particulier, "La femme de feu" d'Ernst Engel. La toile est également recherchée par Ellis, le créateur des célèbres chaussures Anika Baum, en hommage à sa mère . Ces deux personnages que rien ne semble arrêter enrôlent dans leur quête ultime June, une jeune journaliste, Dan, spécialisé dans l'investigation, Adam, un artiste talentueux en proie aux addictions ......
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  • Candyshy 28/08/2023
    Un tableau tant convoité, ne journaliste avide de réponses, un enquête tambour battant. Entre des secrets dévoilés, d'autres qui doivent rester enfouis, Jude va devoir au péril de sa vie déjouer les engrenages du temps. L'héritage des vivants, sur les cendres des défunts et les horreurs des Hommes ! Une superbe lecture, plein d'intrigue, deux époques et un seul tableau. Vous n'allez pas vous ennuyez, un roman scénarisé, qui vous tiendra jusqu'au bout. Vivement de voir l'adaptation un roman qui devrait vous plaire !
  • LesChasseusesDeLivres 26/08/2023
    Grâce à notre partenariat avec les éditions de l’Archipel, j’ai pu découvrir ce mois-ci un roman de suspense qui est sorti en fin du mois de mars : La femme en feu de Lisa Barr. Je ne connaissais pas du tout cette autrice, ce fut donc une vraie découverte. Résumé de l’éditeur À peine sortie de l’école de journalisme, Jude Roth se voit confier une mission aussi mystérieuse qu’inhabituelle par Dan Mansfield, célèbre journaliste d’investigation de Chicago. Gravement malade, Ellis Baum, créateur de chaussures de luxe et ami proche de Dan, veut retrouver un tableau volé par les nazis 75 ans auparavant. Son titre : La Femme en feu, la toile la plus connue du peintre expressionniste allemand Ernst Engel. Pendant ce temps, en Europe, Margaux de Laurent, richissime héritière, est également à la recherche de ce tableau. Galeriste de premier plan, Margaux a toujours obtenu ce qu’elle voulait. Et quand Jude fait équipe avec l’artiste Adam Chase, son ancien amant, Margaux voit rouge. De la Seconde Guerre mondiale à nos jours, de Chicago à Paris, en passant par Amsterdam et Berlin, aucun tableau n’aura jamais suscité autant de convoitises, ni fait couler plus de sang… »»» Vous commencez à me connaitre maintenant, vous vous doutez bien qu’avec les mots « Seconde Guerre Mondiale », « tableau » et « mystérieux » il ne m’en fallait pas plus pour sauter sur ce roman ! Et bien sûr… j’ai adoré. La femme en feu est un roman qui se lit très facilement, bien que le lecteur soit balloté entre Chicago, Paris et plusieurs villes en Allemagne. Justement, ces divers déplacements à droite et à gauche nous donnent une impression d’urgence, et c’est grâce à ce sentiment là qu’on ne lâche pas notre lecture. J’admire toujours les autrices et les auteurs qui arrivent à me faire oublier de manger, même ma gourmandise ne fait pas le poids ! On suit principalement le personnage de Jude qui se retrouve mêlée à la recherche d’un tableau volé par les nazis et qui entame un contre-la-montre afin de le remettre à son propriétaire légitime. Dis comme ça, ça ne vend pas forcément du rêve mais l’autrice réussi à nous embarquer dans cette course folle avec une facilité déroutante. On en apprend un peu plus sur les divers canaux de revente des œuvres volées pendant la Seconde Guerre Mondiale et les quelques retours en arrière sont très intéressants. C’est certainement un livre que je prendrai plaisir à relire dans quelques années lorsque j’aurai oublié une partie du dénouement et clairement je vous le conseille ! Si vous cherchez une lecture facile, avec un peu d’Histoire, beaucoup de suspense et un rythme effréné, La femme en feu est le roman parfait ! Bonne lecture à tous,Grâce à notre partenariat avec les éditions de l’Archipel, j’ai pu découvrir ce mois-ci un roman de suspense qui est sorti en fin du mois de mars : La femme en feu de Lisa Barr. Je ne connaissais pas du tout cette autrice, ce fut donc une vraie découverte. Résumé de l’éditeur À peine sortie de l’école de journalisme, Jude Roth se voit confier une mission aussi mystérieuse qu’inhabituelle par Dan Mansfield, célèbre journaliste d’investigation de Chicago. Gravement malade, Ellis Baum, créateur de chaussures de luxe et ami proche de Dan, veut retrouver un tableau volé par les nazis 75 ans auparavant. Son titre : La Femme en feu, la toile la plus connue du peintre expressionniste allemand Ernst Engel. Pendant ce temps, en Europe, Margaux de Laurent, richissime héritière, est également à la recherche de ce tableau. Galeriste de premier plan, Margaux a toujours obtenu ce qu’elle voulait. Et quand Jude fait équipe avec l’artiste Adam Chase, son ancien amant, Margaux voit rouge. De la Seconde Guerre mondiale à nos jours, de Chicago à Paris, en passant par Amsterdam et Berlin, aucun tableau n’aura jamais suscité autant de convoitises, ni fait couler plus de sang… »»» Vous commencez à me connaitre maintenant, vous vous doutez bien...
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