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La ferme des engoulevents**
Diane
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 06/01/2022
Éditeurs :
L'Archipel

La ferme des engoulevents**

Diane

Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 06/01/2022
Après le premier volet de cette trilogie, La Ferme des Engoulevents : Lilibeth (2021), Maurice de Kervénoaël conte la suite des aventures de quatre amies, en plein cœur de la guerre.
Quatre femmes décidées à lutter pour leur liberté
 
Novembre 1942. La France est désormais entièrement occupée. Lilibeth de Guermilin, revenue à Paris soigner sa mère mourante, se trouve bloquée en métropole,...
Quatre femmes décidées à lutter pour leur liberté
 
Novembre 1942. La France est désormais entièrement occupée. Lilibeth de Guermilin, revenue à Paris soigner sa mère mourante, se trouve bloquée en métropole, coupée de son mari et de ses enfants restés à Casablanca. Avec ses amies Cécile et Maïté, elle fait face...
Quatre femmes décidées à lutter pour leur liberté
 
Novembre 1942. La France est désormais entièrement occupée. Lilibeth de Guermilin, revenue à Paris soigner sa mère mourante, se trouve bloquée en métropole, coupée de son mari et de ses enfants restés à Casablanca. Avec ses amies Cécile et Maïté, elle fait face à l’occupation allemande, aux difficultés matérielles, aux bombardements aveugles de l’aviation alliée, tout en hébergeant clandestinement Esther, son amie juive pourchassée par les nazis.
Grâce à son cousin, le séduisant Hervé, Lilibeth obtient de faux papiers pour Esther, ce qui va permettre aux deux femmes d’aller se réfugier en Bretagne, dans la ferme des Engoulevents.
Bientôt, entraînées par leur amie Diane, les quatre femmes, mues par une même soif de liberté, décident de s’impliquer dans la Résistance…
Avec maestria, Maurice de Kervénoaël fait revivre ces heures tragiques endurées par des femmes aux caractères très dissemblables que la lutte contre l’occupant va unir à jamais.
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EAN : 9782809843491
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 416
Format : 15,3 x 24 mm
EAN : 9782809843491
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 416
Format : 15,3 x 24 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marie-Nel 24/02/2022
    L’année dernière, je découvrais Maurice de Kervenoaël et surtout le premier tome de cette saga de La ferme des Engoulevents qui concernait le personnage de Lilibeth. J’avais beaucoup aimé ce roman et j’avais très hâte de retrouver les personnages. Alors quel plaisir de se plonger dans ce second tome et de retrouver tout le petit monde créé par l’auteur.   Je vais essayer de ne pas trop revenir sur l’histoire elle-même, comme c’est une suite, je ne voudrais pas spoiler le premier tome. Je vais me contenter de fair un rappel de ce qu’est ce roman. C’est l’histoire de quatre femmes, Lilibeth, Diane, Maïté et Esther, tout commence en 1940, Lilibeth est mariée et mère de quatre enfants, son mari Hubert est officier dans la marine. Maïté a deux enfants, Diane et Esther n’en ont pas. Esther est amoureuse du fils de Cécile, une amie de Lilibeth, mais celui-ci est parti à la guerre et Esther n’a pas de nouvelles. On va suivre ces quatre amies pendant ces années où la guerre fait rage, où les hommes sont partis au front, où les femmes doivent alors se débrouiller pour survivre, où les Juifs sont arrêtés par les Allemands, Esther est juive, et Lilibeth va prendre soin d’elle, et où, enfin, la Résistance va se mettre en place contre l’occupant, de nombreuses femmes vont y participer, malgré le danger que cela représente. La ferme des Engoulevents est un domaine qui appartient à la famille de Hubert, le mari de Lilibeth, située en Bretagne. Les Engoulevents sont des oiseaux nocturnes qui se nourrissent d’insecte. Lilibeth y trouvera bien souvent refuge. Au début de la guerre, c’est un endroit peu touché et calme, mais au fur et à mesure de l’avancement, cela deviendra aussi une cachette pour la Résistance. Le premier tome m’a menée jusque fin 1942, et j’ai commencé le second juste à la suite, et il se termine fin mai 1944. Les quatre jeunes femmes aux caractères différents, avec des cultures et une éducation parfois opposées, vont s’unir pour lutter contre leur ennemi commun. Elles ne peuvent imaginer au début ce que toutes ces expériences vont amener dans leur vie, les changer et surtout les unir. Elles feront front commun contre l’adversité, elles prendront des initiatives, des dangers, elles vont se transformer. Certaines plus égoïstes au début de verront beaucoup plus empathiques, certaines solitaires deviendront beaucoup plus sociables. Elles devront supporter les absences, les deuils, elles vont ressortir mûries et grandi de telles années.   Chaque tome porte le nom d’une des quatre amies, Lilibeth, puis ici Diane, mais ce n’est pas pour cela que le livre suit plus l’une par rapport à l’autre. Je vous avouerai que c’est ce que je pensais au début, avant de commencer ma lecture. Et j’étais déjà déçue de ne pas retrouver les autres et de n’en suivre qu’une. J’ai été agréablement surprise de constater qu’il n’en est rien, et que nous suivons bien toutes les protagonistes à chaque fois. J’ai donc retrouvé avec grand plaisir Lilibeth qui est celle à laquelle je m’identifie le plus ou tout du moins, je me sens la plus proche. Mais j’aime aussi beaucoup Esther, plus jeune, plus fougueuse, Maïté, plus fragile et perdue, et Diane, qui montre beaucoup de force mais cache une extrême sensibilité. Je les ai appréciées toutes les quatre, même si j’ai une préférence pour Lilibeth. On comprend mieux à un certain moment pourquoi ce second tome est dédié à Diane, je ne peux en dire plus, à part que c’est un personnage d’une force de caractère inouïe.   Outre les personnages, je me suis totalement immergée dans ces années difficiles de la guerre. L’auteur décrit parfaitement l’ambiance, les décors, les personnes, les sentiments, la peur, le courage. Et ce, que ce soit à Paris où tout prend de grosses proportions ou en Bretagne où un village calme va vite devenir plus dangereux. J’ai déjà lu beaucoup de romans avec la seconde guerre mondiale en toile de fond, et je trouve que Maurice de Kervenoaël en parle très bien. Il explique à la fin du livre qu’il a voulu être le plus précis possible, qu’il s’est appuyé dans un premier temps de ses souvenirs de jeune enfant, des récits de sa famille, puis des nombreux ouvrages qu’il a lus et des personnes qu’il a pu rencontrées. On sent en lisant tout ce travail qu’il a effectué en amont, c’est très précis, dans les lieux, les décors, les faits historiques. J’ai vraiment eu l’impression d’y être totalement. Cela donne un récit très réaliste et très visuel, j’avis l’impression de voir défiler devant moi toutes les scènes comme si j’étais au cinéma.   Et tout ceci sans  jamais apporter de lourdeurs dans le récit et dans la lecture. Tout reste très fluide, très facile à lire et surtout passionnant. Il a été très difficile pour moi de lâcher le livre, je le faisais par obligation, tellement j’aimais être avec les personnages et dans l’histoire. Le choix narratif de l’auteur est à la troisième personne du singulier, ce qui est très bien, car cela aurait été difficile de s’y retrouver entre les quatre femmes, et je trouve que cela amène une petite distance qui n’est pas négligeable. Cela ne m’a pas empêchée de ressentir les diverses émotions, d’être en colère ou triste, d’être contente, j’ai vraiment été au plus près de tous les personnages.   Dans cette histoire féminine, il ne faut pas oublier les hommes, qui ont une place particulière puisqu’ils sont bien souvent absents, éloignés de leurs compagnes. Je n’en rajouterais pas plus, mais y en a un qui m’a particulièrement agacée, ceux qui liront ce livre comprendront sûrement de qui je parle et pourquoi. À voir par la suite comment il se comportera.   La fin de ce tome nous laisse à un moment délicat, ce genre de moment où vous avez envie d’avoir le troisième tome sous la main pour continuer la lecture et savoir ce qu’il en est. Cela présage des moments encore très forts et des émotions intenses. Il va falloir malheureusement que j’attende un an avant d’assouvir cette envie. Ces romans ont des histoires tellement fortes que même avec une lecture séparée d’une année entre les tomes, je me souviens parfaitement ce qu’il s’est passé et où j’en suis. Ce n'est pas toujours le cas avec d’autres sagas, et c’est toujours ma crainte d’attaquer une histoire à plusieurs tomes alors que tous ne sont pas encore publiés.   Une chose est sûre, c’est que je retrouverai avec grand plaisir la suite des aventures de ces quatre amies. J’ai déjà très hâte. J’ai vu dans la bibliographie de Maurice de Kervenoaël qu’il avait écrit une saga bretonne et une autre sur la guerre d’Algérie. Je vais essayer de mes les procurer pour retrouver l’auteur et sa plume.   Je ne peux bien sûr que vous conseiller et vous recommander la lecture de cette saga. Si vous avez lu le premier tome, vous serez ravis de poursuivre, la suite ne faiblit pas et vaut autant que le premier. Et si vous ne la connaissez pas encore, je vous recommande vivement de commencer sa lecture, c’est une histoire passionnante avec des femmes fortes et qui savent trouver leur indépendance. Et il est toujours bon de faire des piqûres de rappel au niveau historique, pour ne pas oublier les horreurs de cette guerre afin de ne pas recommencer. L’année dernière, je découvrais Maurice de Kervenoaël et surtout le premier tome de cette saga de La ferme des Engoulevents qui concernait le personnage de Lilibeth. J’avais beaucoup aimé ce roman et j’avais très hâte de retrouver les personnages. Alors quel plaisir de se plonger dans ce second tome et de retrouver tout le petit monde créé par l’auteur.   Je vais essayer de ne pas trop revenir sur l’histoire elle-même, comme c’est une suite, je ne voudrais pas spoiler le premier tome. Je vais me contenter de fair un rappel de ce qu’est ce roman. C’est l’histoire de quatre femmes, Lilibeth, Diane, Maïté et Esther, tout commence en 1940, Lilibeth est mariée et mère de quatre enfants, son mari Hubert est officier dans la marine. Maïté a deux enfants, Diane et Esther n’en ont pas. Esther est amoureuse du fils de Cécile, une amie de Lilibeth, mais celui-ci est parti à la guerre et Esther n’a pas de nouvelles. On va suivre ces quatre amies pendant ces années où la guerre fait rage, où les hommes sont partis au front, où les femmes doivent alors se débrouiller pour survivre, où les Juifs sont arrêtés par les Allemands, Esther est juive,...
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  • Valmyvoyou_lit 11/01/2022
    Diane est le deuxième tome de la trilogie La ferme des Engoulevents. Dans le premier, nous faisions la connaissance de quatre femmes, liées par la passion de la peinture : Lilibeth, Maïté, Cécile et Esther. Elles ont des idées différentes au sujet de la politique et elles sont de confessions différentes, mais lorsque le gouvernement de Vichy a imposé ses lois, elles se sont entraidées. Lilibeth, paru le 11 mars 2021, racontait leur destin de l’été 1939 à novembre 1942. Diane, du prénom d’une héroïne qui était apparue dans l’ouvrage précédent, se déroule de novembre 1942 à mai 1944. En octobre 1942, quand elle a appris que sa mère était souffrante, Lilibeth a quitté le Maroc, où elle s’était réfugiée avec sa famille, et s’est précipitée en métropole. Hélas, les évènements l’ont empêchée de répartir : le 8 novembre 1942, les Américains ont débarqué au Maroc ; trois jours plus tard, Hitler a envahi la zone Sud de la France. Tout le pays est passé sous le régime de l’Occupation. Il est devenu impossible pour Lilibeth de rejoindre ses enfants et son époux. Elle ne sait pas si ce dernier, officier de marine, est toujours vivant. Elle n’a aucune nouvelle de ses quatre enfants et elle est très inquiète. Comment vont-ils ? Qui s’occupent d’eux ? Les communications sont rompues ; elle doit vivre avec cette angoisse. De plus, elle est en danger, puisqu’elle cache Esther, son amie juive. Grâce à des faux-papiers, Esther sort de la clandestinité. Les deux femmes s’installent alors en Bretagne, dans la ferme des Engoulevents. En relative sécurité, elles décident, pourtant, d’aider la Résistance locale. Elle sont guidées par Diane, déjà très impliquée. Cette dernière n’est pas le personnage principal de ce tome, cependant, son rôle est déterminant, elle est celle qui favorise l’engagement héroïque de Lilibeth et de ses amies. Le récit se partage entre la France métropolitaine et le Maroc. Nous suivons les destins parallèles de Lilibeth, de ses amies, mais aussi ceux de ses enfants et de Hubert, son époux. Nous sommes informés de la situation globale, alors que les personnages sont plongés dans des incertitudes. Nous entendons leur anxiété, leurs peurs et leur désarroi. Il leur est difficile d’espérer, alors qu’ils n’ont aucun contact et que le monde est en feu. Cette séparation a une incidence inattendue sur la mère de famille. J’ai adoré retrouver ces femmes qui m’avaient tant touchée dans le précédent opus. J’avais été impressionnée par leur courage et j’ai découvert qu’elles l’étaient encore plus que je ne l’imaginais. Elles ne subissent plus, elles agissent. Les épreuves ne leur sont pas seulement imposées : elles vont au-devant d’elles. Elles sont téméraires : elles connaissent les dangers et en assument les risques. Elles ont des personnalités opposées, des vies et des opinions différentes, mais elles sont réunies par le même amour de la patrie. J’ai été captivée par les éléments historiques […] La suite sur mon blog… Diane est le deuxième tome de la trilogie La ferme des Engoulevents. Dans le premier, nous faisions la connaissance de quatre femmes, liées par la passion de la peinture : Lilibeth, Maïté, Cécile et Esther. Elles ont des idées différentes au sujet de la politique et elles sont de confessions différentes, mais lorsque le gouvernement de Vichy a imposé ses lois, elles se sont entraidées. Lilibeth, paru le 11 mars 2021, racontait leur destin de l’été 1939 à novembre 1942. Diane, du prénom d’une héroïne qui était apparue dans l’ouvrage précédent, se déroule de novembre 1942 à mai 1944. En octobre 1942, quand elle a appris que sa mère était souffrante, Lilibeth a quitté le Maroc, où elle s’était réfugiée avec sa famille, et s’est précipitée en métropole. Hélas, les évènements l’ont empêchée de répartir : le 8 novembre 1942, les Américains ont débarqué au Maroc ; trois jours plus tard, Hitler a envahi la zone Sud de la France. Tout le pays est passé sous le régime de l’Occupation. Il est devenu impossible pour Lilibeth de rejoindre ses enfants et son époux. Elle ne sait pas si ce dernier, officier de marine, est toujours vivant. Elle n’a aucune nouvelle...
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