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La mort préfère Ava
Collection : Hors collection
Date de parution : 22/08/2013
Éditeurs :
Syros

La mort préfère Ava

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Collection : Hors collection
Date de parution : 22/08/2013

Notre héroïne favorite est en train de changer... Ava a une vie amoureuse. Ava dit ce qu’elle pense aux adultes, morts ou vivants. Et on l’aime d’autant plus !

Ava se rend sur Guernesey, où elle doit participer à l'assemblée annuelle des consolateurs de fantômes. Elle espère obtenir des réponses aux questions qui la tracassent. À commencer par celle-ci...

Ava se rend sur Guernesey, où elle doit participer à l'assemblée annuelle des consolateurs de fantômes. Elle espère obtenir des réponses aux questions qui la tracassent. À commencer par celle-ci : comment peut-on avoir une vie sentimentale quand on doit cacher à ses proches qu'on a le don de voir...

Ava se rend sur Guernesey, où elle doit participer à l'assemblée annuelle des consolateurs de fantômes. Elle espère obtenir des réponses aux questions qui la tracassent. À commencer par celle-ci : comment peut-on avoir une vie sentimentale quand on doit cacher à ses proches qu'on a le don de voir les morts ? Un sujet qu’il va devenir urgent de creuser car Ava loge chez un garçon si beau qu'il est presque impossible de le regarder et de l'écouter en même temps… Sans compter que les fantômes raffolent des histoires d'amour, et n'hésitent pas à se mêler de celles d'Ava.

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EAN : 9782748513974
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 280
Format : 151 x 222 mm
EAN : 9782748513974
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 280
Format : 151 x 222 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MissG 26/04/2015
    Pour ce troisième tome des aventures d'Ava, jeune fille voyant les fantômes depuis l'âge de trois ans et futur consolateur des îles Anglo-Normandes, la Règle numéro 3 de l'art du consolateur aurait dû lui mettre la puce à l'oreille : "Vous ne pouvez pas voler. Vous ne pouvez pas traverser les murs. Vous ne pouvez pas vous télétransporter. Ce sont les fantômes qui peuvent faire tout ça. Vous n'avez aucun super pouvoir, vous n'êtes pas un super héros, vous êtes juste un humain.", car c'est sans doute la première fois de l'aventure qu'Ava va se révéler autant humaine, comparée bien entendu aux fantômes qui croisent régulièrement sa route. D'ailleurs, Ava aurait aussi dû réfléchir un peu plus à la Règle numéro 11 de l'art du consolateur : "Ne pas rendre sa vie plus compliquée qu'elle ne l'est déjà en ayant une vie amoureuse instable.", car cet été lui réserve de sacrées surprises d'un point de vue sentimental : entre la rencontre sur le ferry avec Marco, son ex, et le sublime Alistair, fils de l'ami de son oncle qui les héberge à Guernesey, Ava va batifoler et papillonner cet été, en plus d'assister à sa première assemblée de consolateurs. C'est avec un certain plaisir que j'attendais de retrouver Ava pour lire la suite de ses aventures, car comme elle le dit elle-même : "Revenir dans les îles Anglo-Normandes était chaque fois synonyme de liberté et de travail.". Ava est un personnage attachant, jeune fille d'une quinzaine d'années elle doit à la fois gérer ses premiers émois amoureux et sa découverte de son rôle de futur consolateur des îles Anglo-Normandes. En attendant, elle profite du temps passé là-bas pour en apprendre le plus possible de Cecilia, son mentor. Si j'avais hâte de retrouver la jeune fille, j'ai tout de même éprouvé un peu moins de plaisir que précédemment à la lecture de ce tome. L'unique raison à cela est simple : j'étais bien plus intéressée par les histoires de fantômes, l'étrange relation entre Ava et le terrible fantôme Harald le Viking, l'assemblée de consolateurs et d'en apprendre plus sur cette étrange fonction et les personnes l'exerçant, que par les amourettes d'Ava qui sont certes distrayantes mais auraient dû être au second plan de l'histoire. C'est de son âge et c'est bien normal que cet aspect de l'adolescence soit abordé, pour ma part en tant qu'adulte j'espérais des détails croustillants, mais plus sur les fantômes que les amours d'Ava (donc non, je ne ferai pas partie de la catégorie de personnes ayant misé sur l'un ou l'autre de ses soupirants). Or, ce n'est pas le cas, mais hormis cela la lecture de cette série est toujours aussi plaisante. Après les moins de ce roman, passons à ses points positifs : le lecteur en apprend beaucoup plus sur le personnage de Cecilia, la relation entre celle-ci et Ava se renforce et prend une nouvelle dimension, le décors change pour Guernesey, de nouveaux fantômes font leur apparition, et la fonction de consolateurs est présentée plus en détail, avec bien évidemment une intrigue qui non seulement se déroule sur toute la durée de l'histoire mais qui se continue dans le tome suivant. D'ailleurs, la fin m'a laissée frustrée et je me suis empressée d'aller chercher le quatrième tome en bibliothèque pour lire la suite sans plus attendre. La véritable découverte de ce troisième tome, c'est le personnage de Cecilia, je remercie l'auteur de lui avoir donné l’importance qu'elle méritait et surtout d'avoir su mettre en avant la vérité sur cette dame âgée somme toute discrète et qui se contentait de conseiller d'Ava jusqu'à présent. Cecilia se révèle être un consolateur d'importance, qui a marqué son époque en réformant et en modernisant la fonction de consolateur, en y apportant aussi un nouvel éclairage : "Elle disait que faire des études apprend à réfléchir, et que face à un fantôme qui ne veut pas ou n'arrive pas à partir, l'empathie ne suffit pas, c'est l'argumentation qui débloque les situations.". Il y a de très grosses révélations sur ce personnage, j'ai trouvé l'auteur astucieuse car elle a su mêler l'Histoire avec un grand H à la petite, tout en continuant à donner du souffle à son histoire, notamment en la transposant sur une nouvelle île afin de ne pas lasser le lecteur. Outre l'histoire bien bâtie et l'humour pince-sans-rire typiquement Anglais qui la ponctue, l'auteur sait se renouveler et rendre attachant tous ses personnages. Et puis pour changer, les chapitres présentent une règle de l'art du consolateur en rapport avec le contenu, idée maligne puisque ainsi le lecteur a la sensation d'être quasiment à la place d'Ava et de découvrir avec elle le manuel de l'art du consolateur. Elle a une idée bien précise de ce qu'elle veut faire de son héroïne, les descriptions des paysages sont très visuelles et parlantes, j'aime beaucoup l'ambiance qui se dégage de ce récit, bref, malgré un bémol je reste sous le charme de cette très bonne série littéraire à destination de la jeunesse (ou pas). Si comme le dit le titre "La mort préfère Ava" cela tombe mal, car en tant que lectrice je souhaite surtout que la mort ne préfère pas l'attachante Ava dont je me suis empressée de découvrir la suite des aventures dans le quatrième et avant-dernier tome de la série.Pour ce troisième tome des aventures d'Ava, jeune fille voyant les fantômes depuis l'âge de trois ans et futur consolateur des îles Anglo-Normandes, la Règle numéro 3 de l'art du consolateur aurait dû lui mettre la puce à l'oreille : "Vous ne pouvez pas voler. Vous ne pouvez pas traverser les murs. Vous ne pouvez pas vous télétransporter. Ce sont les fantômes qui peuvent faire tout ça. Vous n'avez aucun super pouvoir, vous n'êtes pas un super héros, vous êtes juste un humain.", car c'est sans doute la première fois de l'aventure qu'Ava va se révéler autant humaine, comparée bien entendu aux fantômes qui croisent régulièrement sa route. D'ailleurs, Ava aurait aussi dû réfléchir un peu plus à la Règle numéro 11 de l'art du consolateur : "Ne pas rendre sa vie plus compliquée qu'elle ne l'est déjà en ayant une vie amoureuse instable.", car cet été lui réserve de sacrées surprises d'un point de vue sentimental : entre la rencontre sur le ferry avec Marco, son ex, et le sublime Alistair, fils de l'ami de son oncle qui les héberge à Guernesey, Ava va batifoler et papillonner cet été, en plus d'assister à sa première assemblée de consolateurs. C'est avec un...
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  • faeli 18/02/2014
    Un an après avoir appris qu'elle n'était autre que le futur consolateur des îles anglo-normandes, Ava continue son recensement des fantômes en souffrance. Cette fois elle se rend à Guernesey, où accessoirement doit aussi se tenir la réunion annuelle des consolateurs. Entre lettres de chantage, secrets bien gardés, tour des paroisses pour rencontrer des fantômes (parfois peu commodes), dressage de chiens, et un nouveau petit ami, les vacances de la jeune fille ne sont, encore une fois, pas de tout repos. Bien au contraire! C'est différend, frais, et sous une apparente légèreté et bonne humeur Maité Bernard aborde un thème assez fort, à savoir la 2ème Guerre Mondiale, ses horreurs, et ses conséquences. On se prête à sourire devant Ava et ses questionnements (voyez-vous avoir des "pensées de fille", vouloir une vie "normale" alors qu'on est une future consolatrice, ce n'est pas toujours évident, ni conciliable). Elle grandit, prend en assurance, essaie de s'affirmer, et de trouver un équilibre entre les humains et les fantômes. Bref on ne boude pas son plaisir, et les pages défilent! Avant même de nous en rendre compte nous voilà à la fin...et quelle fin! Heureusement la suite est pour bientôt...(avril je crois)
  • Accalia 22/01/2014
    Ce roman est donc mon préféré des trois, je trouve vraiment que l’auteure arrive à rendre cette série de livres de plus en plus passionnante! Ici, on rencontre enfin d’autres consolateurs et on se rend compte que si administrativement, c’est compliqué du côté des fantômes, cela l’est aussi du côté des vivants! En plein apprentissage de son futur rôle de consolatrice, Ava doit donc gérer le recensement des fantômes, leurs besoins et l’arrivée d’autres consolateurs. Mais dans ce tome on se concentre également sur la vie amoureuse d’Ava, jeune fille de 15 ans! Les fantômes d’ailleurs raffolent des potins et font même des paris sur elle. C’est assez drôle à suivre, même si, encore une fois, je préférais nettement les passages sur les fantômes. Alors que cette jeune fille batifole, sa relation avec Cecilia s’amplifie, ainsi que celle avec Harald. Ils forment réellement un duo très agréable à suivre. ————————— Trois tomes, dont j’ai vraiment apprécié la lecture. Je trouve l’idée originale, les personnages plutôt poussés et plus on avance dans ce monde et plus on veut connaitre la suite! Je le conseille dès 12/13 ans!
  • Pays_des_contes 22/09/2013
    Petit à petit, Ava grandit, sort de sa coquille et ose s’affirmer, même si elle ne maîtrise pas encore tous les codes de la vie en société… En prise désormais avec (...)
  • temps-de-livres 13/09/2013
    Cet été, Ava passe les vacances avec son oncle sur Guernesey. C'est la raison officielle, puisqu'en fait, elle se rend à l'assemblée annuelle des consolateurs du Royaume-Uni, qui se tient à Saint Peter Port. Ca aurait pu être un été plus calme, mais Ava est célèbre parmi les consolateurs. Elle est la plus jeune, mais aussi celle qui en connaît le moins sur ses fonctions. Rajoutez à cela un garçon dont elle est amoureuse, alors qu'un autre est amoureux d'elle. Pendant ce temps les fantômes se déchirent pour deux raisons : un maître chanteur oeuvre en leur sein et pour se divertir, les fantômes raffolent des histoires d'amour (surtout celles d'Ava). Maïté Bernard réussit le tour de force de mettre la barre plus haut à chaque parution. Avec cette troisième aventure de notre consolatrice junior, le romantisme qui était évoqué dans le deuxième tome revient... Au premier plan. On peut dire qu'il en résulte les états d'âmes d'Ava. Celle qui s'est battue contre les fantômes en remontre aux vivants et aux morts. On ne touche pas aux sentiments. La jeune fille maladroite devient une jeune femme directe et romantique. Ce troisième tome pourrait être sous-titré "Education Sentimentale d'Ava", mais on oublierait le décor. Malgré une superficie de 78km2, sous la plume de Maïté Bernard, Guernesey prend des proportions de capitale : villes, campagne, mer, paroisses... Par le biais des déplacements d'Ava, on découvre cette "petite" île où des évènements se bousculent. Si on perd le côté "littérature british" au profit d'une narration échevelée (allegro ma non troppo), le lecteur pointilleux pourra retenir les 26 règles de l'art du consolateur (commentées par l'auteur). Une troisième aventure moins noire que les précédentes. La plume de Maïté Bernard manie la psychologie de ses personnages à merveille, sans oublier une pointe d'humour. Quant aux surprises, le lecteur ne sera pas déçu. Le monde des consolateurs n'est jamais tranquille ! LA MORT PREFERE AVA AUTEUR : MAITE BERNARD EDITIONS : SYROSCet été, Ava passe les vacances avec son oncle sur Guernesey. C'est la raison officielle, puisqu'en fait, elle se rend à l'assemblée annuelle des consolateurs du Royaume-Uni, qui se tient à Saint Peter Port. Ca aurait pu être un été plus calme, mais Ava est célèbre parmi les consolateurs. Elle est la plus jeune, mais aussi celle qui en connaît le moins sur ses fonctions. Rajoutez à cela un garçon dont elle est amoureuse, alors qu'un autre est amoureux d'elle. Pendant ce temps les fantômes se déchirent pour deux raisons : un maître chanteur oeuvre en leur sein et pour se divertir, les fantômes raffolent des histoires d'amour (surtout celles d'Ava). Maïté Bernard réussit le tour de force de mettre la barre plus haut à chaque parution. Avec cette troisième aventure de notre consolatrice junior, le romantisme qui était évoqué dans le deuxième tome revient... Au premier plan. On peut dire qu'il en résulte les états d'âmes d'Ava. Celle qui s'est battue contre les fantômes en remontre aux vivants et aux morts. On ne touche pas aux sentiments. La jeune fille maladroite devient une jeune femme directe et romantique. Ce troisième tome pourrait être sous-titré "Education Sentimentale d'Ava", mais on oublierait le...
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