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La naissance du capitalisme au Moyen Âge
Changeurs, usuriers et grands financiers
Date de parution : 08/03/2012
Éditeurs :
Perrin

La naissance du capitalisme au Moyen Âge

Changeurs, usuriers et grands financiers

Date de parution : 08/03/2012

Contrairement à ce qui est généralement admis, le capitalisme naît bien au Moyen Âge et se diffuse largement entre le XIIIe et le XVe siècle.

Contrairement à ce qui est généralement admis, le capitalisme naît au Moyen Age et se diffuse largement entre le XIIIe et le XVe siècle, sous des formes variées : prêts...

Contrairement à ce qui est généralement admis, le capitalisme naît au Moyen Age et se diffuse largement entre le XIIIe et le XVe siècle, sous des formes variées : prêts d’argent et spéculations – le mot « bourse », nom d’une famille de Bruges, date de cette époque –, vitalité...

Contrairement à ce qui est généralement admis, le capitalisme naît au Moyen Age et se diffuse largement entre le XIIIe et le XVe siècle, sous des formes variées : prêts d’argent et spéculations – le mot « bourse », nom d’une famille de Bruges, date de cette époque –, vitalité des compagnies marchandes et financières. Toutes les strates de la société y participent. Juifs et Lombards ne sont pas les seuls à le pratiquer, les bourgeois sont
bien plus nombreux que les étrangers, et même les plus modestes y concourent par le biais des parts de société qu’ils peuvent acheter.
A cet égard, parler d’un « capitalisme populaire » n’est pas exagéré. Que l’Eglise multiplie les interdits des prêts et de l’usure montre à quel point ils sont peu respectés. Quant aux vrais puissants, ce ne sont pas les grands marchands, mais les usuriers. Dans la cité, ils tiennent le haut du pavé et s’imposent en maîtres, les Médicis en étant la figure la plus emblématique.
Avec son talent coutumier, Jacques Heers balaye une nouvelle fois les idées reçues pour nous offrir un regard neuf sur le Moyen Age.

Jacques Heers, historien de renom, a publié chez Perrin de nombreux ouvrages dont Le Moyen Age, une imposture ? ; Jacques Coeur ; Les Barbaresques ; Chute et mort de Constantinople et Le Clan des Médicis.

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EAN : 9782262030896
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 324
Format : 140 x 210 mm
EAN : 9782262030896
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 324
Format : 140 x 210 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Elphe07 06/06/2016
    Voici un livre très intéressant sur l’ancêtre des banques (changeurs, usuriers, prêteurs) et la naissance du capitalisme entre le XIIIe et le XVe siècle. Divisé en 6 parties (L'or et l'argent, le change, le prêt et l'usure...) cet ouvrage se lit facilement, est complet et présente de nombreux exemples ou références proche de chez nous (France, Italie, Flandres...). Si les juifs et les Lombards ont pratiqués le change et l'usure au Moyen-Age, les bourgeois français ne se faisaient pas prier pour pratiquer eux aussi le prêt. Les taux contrôlés par les autorités n'étaient alors pas excessif et l'usure était pratiquée sur les tables ou des "bancs" en place publique et acceptée comme quelque chose de nécessaire dans la vie des paysans et des artisans, comme celle des grands seigneurs. Ce livre m'a permis d'en savoir plus sur la vie économique au Moyen-Age et surtout de me débarrasser que quelques idées reçues assez éloignées de la réalité historique.
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