La Trame céleste

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Laveze 07/12/2022

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  LA TRAME CÉLESTE d’ ADOLFO BIOY CASARES Six nouvelles composent ce livre. Paulina; j’aime Paulina, peut-être va t on se marier. Un jour nous croisons Montero qui me demande d’organiser un dîner pour qu’il puisse rencontrer des écrivains. Paulina tombe amoureuse de Montero, je pars deux ans en Angleterre, à mon retour je découvre que Montero a tué Paulina la veille de mon départ… Des Rois Futurs; un couple élève des phoques qui ont la capacité pendant la guerre d’éloigner les bombes de leur maison. Idole; une statuette aux pouvoirs étonnants, rêve ou réalité? La Trame Céleste; histoire du Capitaine Morris dans son avion Dewoitine capable de passer dans des mondes différents… Autre Labyrinthe; dans le Budapest de 1604 sous domination ottomane on trouve un homme dans une chambre close de l’intérieur avec un manuscrit de 25 pages écrit dans une langue inconnue. Au 20 ème siècle des hommes cherchent toujours a comprendre. Bioy Casares est un observateur de la comédie humaine, à laquelle, bien sûr, il participe. Entre absurde et fantastique il compose des nouvelles sous forme de contes dont quelques uns pourraient être nés sous la plume d’un Maupassant. Il est aussi l’auteur de L’invention de Morel.
• pasiondelalectura 03/11/2019

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  C'est un recueil de 6 récits assez complexes datant de 1948. La frontière entre réalité et fiction est intangible. Ma préference va vers "En m"moire de Pauline" qui m'a rappelé le court récit de la chilienne Maria Luisa Bombal "La femme au linceul".
• Dez54 30/09/2019

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  Une mystérieuse statuette, un amour perdu, un vieux manuscrit hongrois, une quête d'immortalité et une mort troublante... Des recettes simples et efficaces pour des nouvelles fantastiques qui nous transportent aux frontières de la réalité. Adolfo Bioy Casares nous offre en 1948 ce recueil de six nouvelles : autant d'énigmes extraordinaires surgis du quotidien le plus banal de l'Argentine du milieu du siècle dernier qu'il propose au lecteur. Si le fantastique est bel et bien le genre principal de La trame céleste, on y retrouve aussi des thèmes chers à la science fiction. L'écriture de Bioy Casares est très agréable : l'auteur argentin confirme au travers ces nouvelles son don déjà remarquablement démontré dans L'invention de Morel pour installer une ambiance particulière et adaptée à chacun de ses récits. Il joue également avec la subjectivité de ses personnages et des différents narrateurs tout en parsemant ses pages d'indices qui permettent au lecteur de s'approcher par lui même de la vérité. Le livre a cependant quelques points faibles : certaines nouvelles (je pense en particulier à l'avant dernière : L'autre labyrinthe qui s'étire sur une bonne cinquantaine de pages) trainent en longueur et auraient sans doute été meilleures raccourcies. Quant au suspense, il tombe malheureusement à plat sur certains récits car les éléments d'explications qui auraient peut-être surpris le lecteur en 1950 sont devenus des ressorts communs aujourd'hui. Sans être mémorable, La trame céleste est donc un recueil plaisant de l'auteur argentin. Il vous fera passer un bon moment de lecture mais pour qui veut le découvrir au sommet de son talent, mieux vaut auparavant passer par ses courts romans comme L'invention de Morel ou Plan d'évasion. Une mystérieuse statuette, un amour perdu, un vieux manuscrit hongrois, une quête d'immortalité et une mort troublante... Des recettes simples et efficaces pour des nouvelles fantastiques qui nous transportent aux frontières de la réalité. Adolfo Bioy Casares nous offre en 1948 ce recueil de six nouvelles : autant d'énigmes extraordinaires surgis du quotidien le plus banal de l'Argentine du milieu du siècle dernier qu'il propose au lecteur. Si le fantastique est bel et bien le genre principal de La trame céleste, on y retrouve aussi des thèmes chers à la science fiction. L'écriture de Bioy Casares est très agréable : l'auteur argentin confirme au travers ces nouvelles son don déjà remarquablement démontré dans L'invention de Morel pour installer une ambiance particulière et adaptée à chacun de ses récits. Il joue également avec la subjectivité de ses personnages et des différents narrateurs tout en parsemant ses pages d'indices qui permettent au lecteur de s'approcher par lui même de la vérité. Le livre a cependant quelques points faibles : certaines nouvelles (je pense en particulier à l'avant dernière : L'autre labyrinthe qui s'étire sur une bonne cinquantaine de pages) trainent en longueur et auraient sans doute été meilleures raccourcies. Quant au suspense, il...

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