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L'Absente
Date de parution : 18/08/2016
Éditeurs :
Julliard

L'Absente

Date de parution : 18/08/2016

Peu après son divorce, Augustin doit se séparer de sa maison. Bouleversé par le spectacle du déménagement, il s’enfuit en voiture avec pour tout bagage quelques photos, un ordinateur et...

Peu après son divorce, Augustin doit se séparer de sa maison. Bouleversé par le spectacle du déménagement, il s’enfuit en voiture avec pour tout bagage quelques photos, un ordinateur et ses deux vélos, puis se lance dans une course folle à la recherche d’un refuge, butant sur les personnes que...

Peu après son divorce, Augustin doit se séparer de sa maison. Bouleversé par le spectacle du déménagement, il s’enfuit en voiture avec pour tout bagage quelques photos, un ordinateur et ses deux vélos, puis se lance dans une course folle à la recherche d’un refuge, butant sur les personnes que le hasard place sur sa route – dont une femme qui le poursuit d’hôtel en hôtel. Revivrait-il le même effondrement psychique que sa mère, expulsée de son bel appartement de Neuilly un demi-siècle plus tôt ? Égaré, furieux et magnifique, Augustin entreprend alors de reconstituer l’histoire de cette femme qu’il a enterrée sans une larme. Au fil de ses rencontres, son regard sur elle commence à changer.
Mené à un train d’enfer, à la manière d’un extravagant road movie, L’Absente redessine l’univers inépuisable que Lionel Duroy explore livre après livre.

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EAN : 9782260029229
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 360
Format : 130 x 205 mm
EAN : 9782260029229
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 360
Format : 130 x 205 mm

Ils en parlent

« Alerte, brillante et furieuse, la plume de Duroy nous embarque dans la tourmente. »  
Frédérique Briard / Marianne

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MLClerc 19/06/2023
    J'ai trouvé ce livre plutôt intéressant, mais sans vraiment plus. Augustin Revel est écrivain. Il écrit surtout sur sa famille, ce qui lui a valu une vraie brouille avec ses 9 frères et soeurs, qui ne comprenaient pas sa façon de régler ses comptes avec ses parents défaillants (la mère, en premier lieu). Mais là, il vient de divorcer. Et, le pire pour lui dans cette histoire, outre le fait de perdre son amour, il doit vendre sa maison, qui lui est si chère... Il met donc le plus de choses possibles dans sa voiture et s'en va, un peu où le vent le pousse. Ce livre est construit comme un road-movie où le héros va de lieu en lieu, de rencontre en hasard, pour finalement se poser à la recherche de celle qui lui aura toujours fait défaut : sa mère. Le récit est bien construit ; l'histoire est intéressante. Pas de coup de coeur pour moi, mais tout de même un fort agréable moment de lecture aux côtés de ce héros un peu gauche, assez solitaire, complètement perdu... et surtout terriblement humain.
  • Katialin 22/03/2021
    Peut-être que quand on n'a lu un livre de Lionnel Duroy ....on a envie de lire tous les autres ? Après avoir lu son dernier livre en premier ,L'Homme qui tremble....je me suis régalée à la lecture de celui-ci : L'Absente . En effet , il s'agit toujours de la même histoire , mais qu'importe ! Au contraire , j'ai apprécié que certains éléments que Lionnel Duroy nous racontent sans cesse soient développés . Ici , c'est avec le personnage de la mère que l'on fait davantage connaissance . Surtout de l'histoire et la jeunesse de cette mère , ce qui expliquerait son comportement . Je pense lire très vite un autre roman de cet auteur . Roman ?
  • MarieNebot 15/08/2020
    Loufoque mais intéressant. Pas toujours facile à suivre. La fin très bien. J'ai aimé
  • liberliber 15/10/2019
    Dans « Le chagrin » (2010) qui retraçait plus de soixante années de la famille Dunoyer de Pranassac, Lionel Duroy s'était intéressé à la figure de Toto, le père, pour lequel, malgré tous ses manquements, il éprouvait une certaine tendresse. Il avait moins d'égards pour la mère, alias « la salope », mélange de Folcoche névrosée et d'Emma Bovary neurasthénique. Qu'est-ce qui le pousse alors, six ans plus tard, à essayer de comprendre cette femme, de percer les secrets de son comportement et le mystère de sa perpétuelle colère ? Probablement sa propre situation personnelle qui le rapproche de celle qu'il a tant aimé détester. Augustin, double fictionnel de l'auteur, vient de divorcer et doit se séparer de sa maison adorée (la mère, elle, avait dû quitter son appartement de Neuilly pour un HLM). Il embarque alors dans sa vieille Peugeot, ses deux vélos sur le toit, la « Traviata » interprétée par Maria Callas en fond sonore, ses affaires personnelles et de nombreuses photos figeant le passé à la recherche d'une nouvelle demeure où il pourra accueillir ses enfants. De la Bretagne à Verdun, où il fait de belles rencontres, il glisse finalement vers le Sud-Ouest à Cestas où sa génitrice a grandi. Le retour aux origines va-t-il l'aider à sortir de sa dépression et à écrire un roman dont les personnages principaux seraient Suzanne et lui-même ? Comme une tentative de rapprochement entre la mère et le fils qu'il ne ménage pas. Celui-ci est tellement pathétique et pitoyable qu'il en est souvent drôle. Se délecter du malheur des autres est en effet l'une des activités préférées de l'humanité. Comme pour éloigner sa propre infortune... Lionel Duroy nous touche avec ce personnage paumé marqué par une enfance sans amour et deux mariages ratés et qui trouvera peut-être dans la littérature une forme de rédemption, une tranquillité et une acceptation de son identité familiale. Comme le rappelle son dernier roman « Nous étions nés pour être heureux », il aurait enfin trouvé une forme d'apaisement. EXTRAITS - Il a toujours su qu'il tenait le livre quand il en découvrait la première phrase, comme si les milliers de mots à venir se pressaient en elle. Mais quelle phrase pourrait contenir l'épais mystère de la mère ? - Ecrire te rendra inaccessible à la bêtise et à la cruauté du monde. Dans « Le chagrin » (2010) qui retraçait plus de soixante années de la famille Dunoyer de Pranassac, Lionel Duroy s'était intéressé à la figure de Toto, le père, pour lequel, malgré tous ses manquements, il éprouvait une certaine tendresse. Il avait moins d'égards pour la mère, alias « la salope », mélange de Folcoche névrosée et d'Emma Bovary neurasthénique. Qu'est-ce qui le pousse alors, six ans plus tard, à essayer de comprendre cette femme, de percer les secrets de son comportement et le mystère de sa perpétuelle colère ? Probablement sa propre situation personnelle qui le rapproche de celle qu'il a tant aimé détester. Augustin, double fictionnel de l'auteur, vient de divorcer et doit se séparer de sa maison adorée (la mère, elle, avait dû quitter son appartement de Neuilly pour un HLM). Il embarque alors dans sa vieille Peugeot, ses deux vélos sur le toit, la « Traviata » interprétée par Maria Callas en fond sonore, ses affaires personnelles et de nombreuses photos figeant le passé à la recherche d'une nouvelle demeure où il pourra accueillir ses enfants. De la Bretagne à Verdun, où il fait de belles rencontres, il glisse finalement vers le Sud-Ouest à Cestas où sa génitrice a grandi. Le retour aux...
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  • SergeTailler 14/10/2019
    Après "Le Chagrin", l'auteur revient sur les routes de France et porte sa mère au coeur de son roman et de ses investigations. Dans un long voyage au coeur de la famille de sa mère, il revient sur les terres faimiales de Suzanne, sa mère capricieuse et dépressive , et rassemble les pièces manquante de l'histoire tourmentée de sa mère. J'ai adoré Le Chagrin , la plume acérée et sensible de Duroy et l'Absente m'a replongé dans son histoire et son univers, auxquels il est impossible de rester insensible.

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