Lisez! icon: Search engine
Le blé noir
Collection : Terres de France
Date de parution : 06/06/2002
Éditeurs :
Presses de la cité

Le blé noir

Collection : Terres de France
Date de parution : 06/06/2002

Fidèle à sa Bretagne, Colette Vlérick nous invite à découvrir l'univers des moulins et de la meunerie dans le Finistère du début du 20e siècle.

Pendant des siècles, les moulins qui se succédaient au fil des rivières ont modelé le paysage du nord du Finistère. Sur le Kanol, un des affluents de l'Aber Benoît, Moulin...

Pendant des siècles, les moulins qui se succédaient au fil des rivières ont modelé le paysage du nord du Finistère. Sur le Kanol, un des affluents de l'Aber Benoît, Moulin Vieux est, depuis plusieurs générations, aux mains d'une même famille. Après la guerre de 1914-1918, Jean Salaün confie à sa...

Pendant des siècles, les moulins qui se succédaient au fil des rivières ont modelé le paysage du nord du Finistère. Sur le Kanol, un des affluents de l'Aber Benoît, Moulin Vieux est, depuis plusieurs générations, aux mains d'une même famille. Après la guerre de 1914-1918, Jean Salaün confie à sa petite-fille Marie la charge de poursuivre l'œuvre de leurs ancêtres. Il lui transmet son savoir-faire et la passion de son métier. De 1910 à nos jours, trois femmes vivent au quotidien l'évolution de la meunerie : Rose, sa fille Anne-Marie, puis sa petite-fille Marie, font face aux grands événements de l'histoire et aux accidents de l'existence sans perdre de vue l'essentiel : la qualité de la farine sortie de leurs meules.

 

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782258054974
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 300
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258054974
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 300
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Caran 15/04/2023
    Un emprunt qui a été réalisé dans le cadre du challenge et comme j’avais besoin d’un livre dont le mot « noir » était compris dans le titre… je n’ai pas hésité une seule seconde. Comme j’avais besoin d’une petite lecture toute tranquille, j’ai jeté mon dévolu sur cette littérature du terroir. Bon, cela ne concerne pas le mieux mais celui de la Bretagne mais cela n’a pas gâché mon plaisir, bien au contraire. Derrière, c’est le deuxième bouquin consécutif que je lis au sujet de ce bout de France. Un signe ? En attendant d’avoir une réponse à cette question, je poursuis ma chronique en indiquant que je ferais une seconde promenade dans l’univers de Colette Vlérick. Que ces auteurs puissent perdurer car cela me fait du bien de lire notre histoire. Les terroirs sont vraiment riches et je suis fier de résidé sur l’un d’entre eux. En attendant, je me dois de passer à la rédaction de mes fameuses listes car j’ai beaucoup de choses à raconter. Points négatifs : • Trop de répétitions à mon goût. • Se montrer aussi généreuse concernant tout ce qui tourne autour du monde du moulin, aussi bien ses pièces que l’évolution des produits qui peuvent en découler, c’est une bonne chose. Cependant, cela prend une trop jolie place dans le roman. • Trop de personnages. Je m’y suis perdu à de nombreuses reprises. Points positifs : • Et ils sont nombreux. Je commence donc par la taille aléatoire des chapitres. • Ce roman est une jolie surprise pour plusieurs raisons et la première : c’est une petite saga familiale. A partir du moment que l’on me propose une telle histoire, je me montre rapidement curieux et là, impossible de décrocher. • On peut également ranger ce livre dans un second genre : l’historique. Mine de rien, c’est une partie du passé de la Bretagne qui se révèle dans ces pages et il est très important de conserver une trace de nos origines. • Avec ce roman, on prend également conscience que le réseau des moulins était très grand mais très fonctionnel. Certes, certains se situaient à des kilomètres des autres tout comme les villes mais les gens savaient se contenter du peu, tout en traversant les drames avec noblesse et respect. Les voisins n’hésitaient pas à s’entre-aider lorsqu’ils n’étaient pas occupés à s’écharper en vilenie… • Enfin, les ombres des guerres sont là et encore une fois, ce bouquin présente encore son côté « historique ». L’époque qui est vraiment évoquée ici est l’Entre-deux-guerres et je suis très heureux d’être tombé sur ce livre. J’y ai appris une foultitude de choses, avant de basculer sur la seconde guerre. Cela fait du bien ce petit retour dans les débuts du vingtième siècle.Un emprunt qui a été réalisé dans le cadre du challenge et comme j’avais besoin d’un livre dont le mot « noir » était compris dans le titre… je n’ai pas hésité une seule seconde. Comme j’avais besoin d’une petite lecture toute tranquille, j’ai jeté mon dévolu sur cette littérature du terroir. Bon, cela ne concerne pas le mieux mais celui de la Bretagne mais cela n’a pas gâché mon plaisir, bien au contraire. Derrière, c’est le deuxième bouquin consécutif que je lis au sujet de ce bout de France. Un signe ? En attendant d’avoir une réponse à cette question, je poursuis ma chronique en indiquant que je ferais une seconde promenade dans l’univers de Colette Vlérick. Que ces auteurs puissent perdurer car cela me fait du bien de lire notre histoire. Les terroirs sont vraiment riches et je suis fier de résidé sur l’un d’entre eux. En attendant, je me dois de passer à la rédaction de mes fameuses listes car j’ai beaucoup de choses à raconter. Points négatifs : • Trop de répétitions à mon goût. • Se montrer aussi généreuse concernant tout ce qui tourne autour du monde du moulin, aussi bien ses pièces que...
    Lire la suite
    En lire moins
  • BVIALLET 08/04/2012
    De 1910 à nos jours , la vie d'une famille de meuniers relativement prospères sur les bords du Kanol , un affluent de l'Aber Benoît , dans le nord Finistère . Suite au décès de son père , Marie , avec l'aide de son grand-père Jean qui lui transmet son savoir-faire , reprend le métier de ses ancètres et réussit même , à une époque , à améliorer la productivité du vieux moulin à meules de pierre . C'est une chronique familiale , facile à lire , les anciens meurent , les jeunes naissent , le temps passe . L'électricité arrive , grâce au moulin , elle ne coûte rien ( heureux temps) puis le téléphone , la radio , la voiture . Les guerres ne marquent pas vraiment cette famille , la deuxième lui est même favorable . Ils ne souffrent de rien et peuvent même aider ceux qui n'ont rien à manger . Et tout se termine sur une note nostalgique . Tous les vieux moulins ont disparu au profit de grandes minoteries de type industriel . Ils sont en ruines ou sont devenus des résidences secondaires pour riches citadins , ou un éco-musée comme celui de Marie . Une époque est passée , le monde ancien a définitivement disparu . Ce petit roman régionaliste est un tableau bien idyllique d'un siècle de vie rurale en Bretagne . Il est un peu trop gentillet à mon goût . L'auteur s'est bien documentée sur les moulins à eau et la technique de la minoterie . Mais à part ça , on n'apprend pas grand chose et on n'est pas vraiment pris par l'histoire banale en elle-même . On est à cent lieues du célèbre "Cheval d'orgueil" ou des "Mémoires d'un paysan bas-breton " .De 1910 à nos jours , la vie d'une famille de meuniers relativement prospères sur les bords du Kanol , un affluent de l'Aber Benoît , dans le nord Finistère . Suite au décès de son père , Marie , avec l'aide de son grand-père Jean qui lui transmet son savoir-faire , reprend le métier de ses ancètres et réussit même , à une époque , à améliorer la productivité du vieux moulin à meules de pierre . C'est une chronique familiale , facile à lire , les anciens meurent , les jeunes naissent , le temps passe . L'électricité arrive , grâce au moulin , elle ne coûte rien ( heureux temps) puis le téléphone , la radio , la voiture . Les guerres ne marquent pas vraiment cette famille , la deuxième lui est même favorable . Ils ne souffrent de rien et peuvent même aider ceux qui n'ont rien à manger . Et tout se termine sur une note nostalgique . Tous les vieux moulins ont disparu au profit de grandes minoteries de type industriel . Ils sont en ruines ou sont devenus des résidences secondaires pour riches citadins , ou un éco-musée comme celui de Marie . Une époque...
    Lire la suite
    En lire moins
  • PetiteMarie 01/12/2008
    J’ai beaucoup aimé le style et l’histoire, peut-être parce que je connais un peu le coin… J’aime cette histoire sur les moulins, sur des anciens métiers, cette saga familiale, cette capacité d’adaptation, cette solidarité… Pour la critique complète :
Inscrivez-vous et recevez toute l'actualité de la collection Terres de France
Découvrez des histoires riches des couleurs de nos régions et des saveurs d'antan pour de magnifiques moments de lecture.