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Le Diable de la Tamise
Mélanie Blanc-Jouveaux (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 12/05/2016
Éditeurs :
Presses de la cité
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Le Diable de la Tamise

Mélanie Blanc-Jouveaux (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 12/05/2016
CHOLÉRA [latin cholera ; grec kholera] n. m. – Très grave maladie épidémique, produite par une bactérie, le vibrion cholérique, caractérisée par des selles fréquentes, des vomissements, des crampes, un grand abattement, et pouvant se terminer par la mort.
Londres, 1889. Quand une victime du choléra est retrouvée dans la Tamise, le Dr Anton Kronberg, bactériologiste de son état, est appelé pour confirmer les causes du décès. Toutes les... Londres, 1889. Quand une victime du choléra est retrouvée dans la Tamise, le Dr Anton Kronberg, bactériologiste de son état, est appelé pour confirmer les causes du décès. Toutes les précautions sont prises pour éviter une épidémie. Les choses auraient pu en rester là si les résultats intrigants de l’autopsie... Londres, 1889. Quand une victime du choléra est retrouvée dans la Tamise, le Dr Anton Kronberg, bactériologiste de son état, est appelé pour confirmer les causes du décès. Toutes les précautions sont prises pour éviter une épidémie. Les choses auraient pu en rester là si les résultats intrigants de l’autopsie n'avaient poussé Kronberg à s’intéresser de plus près à cette affaire. Alors que Scotland Yard souhaite classer ce cas, Kronberg se rapproche de Sherlock Holmes. Et il ne faut que peu de temps au célèbre détective pour percer le secret du médecin qui, en réalité, est… une femme. Un secret qui pourrait la mener droit en prison s’il venait à être révélé. Mais tous deux vont unir leurs forces pour débusquer un criminel aussi redoutable que Jack l’Éventreur…
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EAN : 9782258116894
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 256
Format : 140 x 225 mm
Presses de la cité
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EAN : 9782258116894
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 256
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

« Un des meilleurs romans avec Sherlock Holmes. » Sherlock Holmes Magazine
« Un nouveau duo de choc, des enquêteurs de rêve. » KrimiLese
«Quand le meilleur épidémiologiste de Londres croise Sherlock Holmes, le diable n’a qu’à bien se tenir ! Identité, expérimentation, relations de pouvoir... le tandem devra la jouer fine.
Qui est le docteur Anton Kronberg, le meilleur épidémiologiste de son époque ? Appelé pour examiner une victime du choléra dans le nord de Londres, il croise Sherlock Holmes, qui s’intéresse également à l’étrange épidémie déferlant sur les quartiers populaires de la capitale. Et nous voilà embringués dans une affaire d’expérimentations médicales menées sur des cobayes humains pour développer des armes biologiques… Loin d’une énième reprise de l’univers de Conan Doyle et d’un Sherlock sorti des oubliettes, Annelie Wendeberg prolonge avec originalité le mythe. Le docteur Anton Kronberg cache un secret et vole en quelque sorte la vedette au détective. Percé à jour, il devient pour Holmes... Anna Kronberg, une jeune femme au passé douloureux qui se dissimule sous des habits d’homme pour exercer la médecine et évoluer dans une société et un milieu où les femmes restent sur la touche. Sherlock et Anna, à armes égales en intelligence, en perspicacité et ténacité, enquêtent. La jeune femme prend des risques, le détective la surveille, la couve de loin. Amitié, ambiguïté sexuelle et ambivalence des sentiments, admiration réciproque de deux esprits affûtés, l’équipe tient la route et nous tient en haleine.»
Page des libraires / Librairie Lamartine - Paris - 75016

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lyoko 19/08/2022
    Quand on s'attaque a un monument comme Sherlock Holmes, c'est un pari risqué. Mais Annelie Wendeberg a réussi avec brio l'intégration du célèbre détective dans son roman en lui laissant suffisamment de place, mais en même temps pas de trop pour que son héroïne puisse marquer le lecteur. J'ai apprécié que Holmes garde toute sa grandeur, son caractère et toute son intelligence. Un Holmes conforme à l'original en tout point Mais là où réside le point fort de ce roman c'est d'avoir construit une héroïne très atypique. Une femme moderne pour l'époque, avec une intelligence hors normes et un fort caractère. En cela, elle est quasi la copie parfaite de Holmes. Ce qui crée un équilibre entre les deux personnages. L'auteure profite de ce roman pour montrer la face sombre de Londres a l'époque victorienne. Les endroits mal famés ou la vermine pullule et ou les pauvres sont souvent contaminés par les maladies infectieuses. Une satire de la société et en même temps celle de l'évolution de la médecine. Une beau roman qui nous plonge dans un thriller historique et médical très prenant. Je suis assez pressée de voir comment l'auteure va traiter les prochaines aventures du docteur A. Kronberg.
  • Errant 16/01/2022
    Tombé un peu par hasard sur ce début de trilogie, je trouve que le hasard fait bien les choses ! La recherche de vaccins contre le tétanos et le choléra sert de toile de fond à l'enquête que doit mener un célèbre bactériologiste londonien aidé par nul autre que Sherlock Holmes . L'auteure, une scientifique de formation, a su passer aisément ses connaissances à travers une intrigue solidement bâtie qui soutient l'intérêt en elle-même. Mais de plus elle pimente le récit d'une problématique propre à l'époque victorienne qui n'est pas encore totalement résolue de nos jours. En prime, tout en respectant la personnalité de Holmes, elle nous le fait apparaître sous un jour nouveau et les échanges entre ces deux grands esprits sont jouissifs. C'est donc une belle découverte que ce roman bien équilibré, réservant des surprises audacieuses et revisitant avec brio un personnage hyper connu. La finale annonce aussi une suite qui promet . . .
  • Coco574 04/01/2022
    J’ai choisi ce roman @le diable de la Tamise car il se déroule à une période que j’aime beaucoup, l’époque victorienne et plus précisément dans le Londres de 1889. L’auteure redonne vie à Sherlock Holmes qui accompagnera Anna Kronberg (alias le Dr Anton Kronberg) dans son enquête concernant une victime de choléra. De fil en aiguille ces deux enquêteurs remonteront le fil du décès de cette victime. Bien que le sujet de départ fut intéressant, j’ai été gênée par le style de l’auteur assez haché ce qui engendrait un manque de fluidité dans l’histoire. J’ai également trouvé parfois un côté un peu technique lors des expériences en laboratoire. C’est certainement dû au métier de l’auteure, microbiologiste. Je n’ai pas pris autant de plaisir qu’à la lecture des romans d’@Anne Granger avec son héroïne Lizzie.
  • missmolko1 19/08/2021
    Le diable sur la Tamise est un très bon policier historique que je suis contente d’avoir découvert. Il s’agit du premier tome d’un saga et c’est une bonne entrée en matière malgré quelques défauts. On fait la connaissance d’un personnage atypique : Anna qui se travestie en homme et devient Anton, pour pouvoir exercer son métier de médecin. C’est une femme résolument moderne pour l’époque, elle exerce une profession masculine comme je le disais précédemment mais elle n’est pas mariée et entretient une aventure avec un homme. C’est le coté plus moralisateur qui m’a dérangé : l’auteure veut en effet, un personnage fort, qui se bat contre toutes les injustices du monde. Le manque de soin, de propreté, la famine et les conditions de vie difficiles dans les bas-fonds londonien, mais aussi le fait d’être une femme dans un monde d’hommes. Pourtant, j’ai souvent eu l’impression qu’Anna n’était pas aussi droite et parfaite. Elle a des réactions extrêmes, poussée par l’impulsivité. Son passé la hante beaucoup mais nous apprenons les détails qu’au compte-goutte. Bien évidemment, l’intérêt du récit repose aussi sur la présence du Docteur Watson et surtout de Sherlock Holmes. Je n’ai pas l’habitude de retrouver ces deux personnages étant... Le diable sur la Tamise est un très bon policier historique que je suis contente d’avoir découvert. Il s’agit du premier tome d’un saga et c’est une bonne entrée en matière malgré quelques défauts. On fait la connaissance d’un personnage atypique : Anna qui se travestie en homme et devient Anton, pour pouvoir exercer son métier de médecin. C’est une femme résolument moderne pour l’époque, elle exerce une profession masculine comme je le disais précédemment mais elle n’est pas mariée et entretient une aventure avec un homme. C’est le coté plus moralisateur qui m’a dérangé : l’auteure veut en effet, un personnage fort, qui se bat contre toutes les injustices du monde. Le manque de soin, de propreté, la famine et les conditions de vie difficiles dans les bas-fonds londonien, mais aussi le fait d’être une femme dans un monde d’hommes. Pourtant, j’ai souvent eu l’impression qu’Anna n’était pas aussi droite et parfaite. Elle a des réactions extrêmes, poussée par l’impulsivité. Son passé la hante beaucoup mais nous apprenons les détails qu’au compte-goutte. Bien évidemment, l’intérêt du récit repose aussi sur la présence du Docteur Watson et surtout de Sherlock Holmes. Je n’ai pas l’habitude de retrouver ces deux personnages étant plus familière avec les Austenneries. J’ai été ravie de les retrouver mais j’ai trouvé Holmes un peu fade. L’intrigue est intéressante, bien construite même si au départ, on se demande un peu ou l’on va puisque notre duo enquête en sous-main, loin des policiers. Le suspense grandit au fil des pages et le roman se dévore. L’auteure dresse, par contre, un portrait saisissant de Londres a la fin du XIXe. On frémit, on tremble à l’évocation d’un simple coin de rue mal éclairé, on se révolte face aux inégalités, a la promiscuité et à la misère de l’époque. Les épidémies sont fréquentes et touchent toujours les plus démunies en priorité. En parlant de maladie, le lecteur n’est pas épargné par les descriptions bien croustillantes d’autopsies notamment. Ames sensibles s’abstenir. Enfin, je dirai que le livre est trop court et manque un peu de profondeur mais il s’agit uniquement d’un tome un et j’imagine que la suite doit apporter un plus en termes de personnages et d’intrigues.
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  • Hilde 10/02/2021
    Notre enquêtrice/bactériologiste s’avère plutôt brillante. Scientifique renommée, elle a suffisamment de personnalité et de répartie pour faire taire Sherlock Holmes et s’imposer dans son métier, ce qui est plaisant. Se travestir ainsi n’est pas sans risque mais indispensable pour pouvoir travailler dans le milieu médical à cette époque. Cadavres avec autopsie détaillée, expériences criminelles, recherches médicales sur les virus, l’enquête est passionnante et les découvertes plutôt sordides. L’atmosphère du roman est très réussie à mon goût et les rues de Londres de l’époque victorienne inquiétantes à souhait, avec sa misère et ses individus sans scrupules. De l’action, du suspenses, des rebondissements inattendus à la fin, la lecture est fluide. J’ai juste trouvé que le voyage en Allemagne d’Anna faisait un peu ralentir l’intrigue. J’ai apprécié la présence de Sherlock Holmes. La tentative timide de romance ne devrait surtout pas aller plus loin, ça gâcherait l’histoire, à mon goût. Je me réjouis qu’il y ait deux autres enquêtes à découvrir.
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