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Le Pont des derniers soupirs
Collection : Terres de France
Date de parution : 16/01/2020
Éditeurs :
Presses de la cité
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Le Pont des derniers soupirs

Collection : Terres de France
Date de parution : 16/01/2020
Par une nuit de tempête de neige, dans un village de Haute-Loire, une douzaine de personnes se mettent à l’abri dans le seul café ouvert. Là, le passé, qu’il soit sulfureux ou romantique, se convoque. C’est un huis-clos sous tension qui attend ces naufragés…
Il était bien tranquille, Jean-Baptiste Quillet, dans son café du Pont, en ce dimanche d’hiver, à écouter les élucubrations de Kiki, le boulanger, souvent son unique client du jour. Pierpont... Il était bien tranquille, Jean-Baptiste Quillet, dans son café du Pont, en ce dimanche d’hiver, à écouter les élucubrations de Kiki, le boulanger, souvent son unique client du jour. Pierpont n’est qu’un village de passage, on le traverse, on n’y reste pas… Rien donc ne serait venu troubler le calme... Il était bien tranquille, Jean-Baptiste Quillet, dans son café du Pont, en ce dimanche d’hiver, à écouter les élucubrations de Kiki, le boulanger, souvent son unique client du jour. Pierpont n’est qu’un village de passage, on le traverse, on n’y reste pas… Rien donc ne serait venu troubler le calme dominical sans la violente tempête de neige qui, en quelques heures, bouche tous les accès à ce village de Haute-Loire. Comme assiégé, le café du Pont devient le refuge d’une cohorte bigarrée de naufragés de la route. On se réchauffe, on se réconforte, on joue une partie de belote… Tout bascule avec l’arrivée d’Hélène, vingt ans, porteuse d’une lettre dont le contenu fait écho à un sombre épisode qui a secoué le pays.  
Dès lors, dans le paisible village de Pierpont, plus rien ne sera comme avant…
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EAN : 9782258162815
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 320
Format : 140 x 225 mm
Presses de la cité
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EAN : 9782258162815
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 320
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bebi 09/06/2020
    Jean-Baptiste est bien, là où il se trouve. Son petit café, dans un village tranquille de montagne, lui procure la vie sociale dont il a besoin. Il aime sa vie tranquille, après avoir connu les affres des grandes villes. Un soir d’hiver, une énorme tempête de neige s’abat sur le petit patelin, et Jean-Baptiste voit arriver au compte-gouttes des rescapés de la route qui ont réussi à monter jusque-là. Se retrouvent, coincées ensemble, différentes générations de différents horizons. Le cafetier a à cœur de fournir à chacun chaleur, lumière et abri. La nuit s’installe et avec elle des récits que l’un et l’autre raconte chacun son tour. C’est dans ces circonstances que l’on va faire des découvertes tout à fait hors du commun concernant certaines personnes du village… L’auteur nous offre là un huis clos assez particulier. En effet, nous sommes en plein roman terroir, et donc on s’attend à une histoire douce et sympathique. Et c’est le cas, d’une certaine manière, puisque nos personnages sont d’une nature pour l’ensemble calme et guilleret. Mais Pierre Petit y ajoute une bonne dose de retournement de situation. D’abord parce que Jean-Baptiste va découvrir des choses sur son propre passé. Et qu’ensuite, on va découvrir que certains habitants ne sont pas aussi innocents qu’on pourrait le penser de prime abord. Ce roman m’a offert le plaisir de découvrir un scénario bien bâti. Le décor est assez rapidement planté puisque l’histoire se passe essentiellement entre les murs du petit café. Les personnages arrivent un peu à la fois, ce qui permet de faire leur connaissance à notre aise. Et enfin, nous faisons des flashbacks, qui permettent de voir l’entiéreté de l’histoire depuis ses débuts. J’ai beaucoup aimé la lecture de ce livre. C’était une belle pause. J’aime beaucoup ce genre de huis-clos, parsemé de plusieurs intrigues à suivre. J’ai passé un très bon moment de lecture. Jean-Baptiste est bien, là où il se trouve. Son petit café, dans un village tranquille de montagne, lui procure la vie sociale dont il a besoin. Il aime sa vie tranquille, après avoir connu les affres des grandes villes. Un soir d’hiver, une énorme tempête de neige s’abat sur le petit patelin, et Jean-Baptiste voit arriver au compte-gouttes des rescapés de la route qui ont réussi à monter jusque-là. Se retrouvent, coincées ensemble, différentes générations de différents horizons. Le cafetier a à cœur de fournir à chacun chaleur, lumière et abri. La nuit s’installe et avec elle des récits que l’un et l’autre raconte chacun son tour. C’est dans ces circonstances que l’on va faire des découvertes tout à fait hors du commun concernant certaines personnes du village… L’auteur nous offre là un huis clos assez particulier. En effet, nous sommes en plein roman terroir, et donc on s’attend à une histoire douce et sympathique. Et c’est le cas, d’une certaine manière, puisque nos personnages sont d’une nature pour l’ensemble calme et guilleret. Mais Pierre Petit y ajoute une bonne dose de retournement de situation. D’abord parce que Jean-Baptiste va découvrir des choses sur son propre passé. Et qu’ensuite,...
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  • Binchy 21/04/2020
    Le Pont des derniers soupirs - Pierre Petit - En librairie depuis le 16 janvier 2020 - Presses de la Cité : Il était bien tranquille, Jean-Baptiste Quillet, dans son café du Pont, en ce dimanche d'hiver, à écouter les élucubrations de Kiki, le boulanger, souvent son unique client du jour. Pierpont n'est qu'un village de passage, on le traverse, on n'y reste pas... Rien donc ne serait venu troubler le calme dominical sans la violente tempête de neige qui, en quelques heures, bouche tous les accès à ce village de Haute-Loire. Comme assiégé, la café du Pont devient le refuge d'une cohorte bigarrée de naufragés de la route. On se réchauffe, on se réconforte, on joue une partie de belote... Tout bascule avec l'arrivée d'Hélène, vingt ans, porteuse d'une lettre dont le contenu fait écho à un sombre épisode qui a secoué le pays. Dès lors, dans le paisible village de Pierpont, plus rien ne sera comme avant... Un huis clos sous tension dans un village de Haute-Loire, un livre qui nous tient en haleine du début à la fin. Je me suis demandé comment tout cela allait se terminer... Je ne vous en dévoile pas plus... Un roman polar à lire ! Pierre Petit est l'auteur aux Presses de la Cité de La Folie d'Albert, Le Rêveur et le Brigadier, Le Secret du docteur Favre et La Nuit de l'Orcière, dont les intrigues se situent en plein coeur de la Haute-Loire. Mathématicien de formation, informaticien de profession pendant quarante ans, Pierre Petit, retraité, vit en Haute-Loire. Depuis l’âge de dix ans et une première publication (une histoire de cow-boys polycopiée au papier carbone) en classe de cinquième, il n’a jamais cessé d’écrire. Poèmes, romans, policiers, nouvelles et chansons, il est édité pour la première fois en 1997. Il participe aussi activement à des revues et à des recueils collectifs de nouvelles. Grand amateur de littérature – de Hugo à Tolkien – , la plupart de ses œuvres se déroulent sur le plateau vellave, entre imaginaire et réalité. Je remercie infiniment Marie-Jeanne Denis, Attachée de presse dans l'excellente maison d'édition Presses de la Cité de m'avoir permis de découvrir cet ouvrage en service presse. Je vous le recommande, vous allez adorer, trembler et j'en passe... Bonne lecture !Le Pont des derniers soupirs - Pierre Petit - En librairie depuis le 16 janvier 2020 - Presses de la Cité : Il était bien tranquille, Jean-Baptiste Quillet, dans son café du Pont, en ce dimanche d'hiver, à écouter les élucubrations de Kiki, le boulanger, souvent son unique client du jour. Pierpont n'est qu'un village de passage, on le traverse, on n'y reste pas... Rien donc ne serait venu troubler le calme dominical sans la violente tempête de neige qui, en quelques heures, bouche tous les accès à ce village de Haute-Loire. Comme assiégé, la café du Pont devient le refuge d'une cohorte bigarrée de naufragés de la route. On se réchauffe, on se réconforte, on joue une partie de belote... Tout bascule avec l'arrivée d'Hélène, vingt ans, porteuse d'une lettre dont le contenu fait écho à un sombre épisode qui a secoué le pays. Dès lors, dans le paisible village de Pierpont, plus rien ne sera comme avant... Un huis clos sous tension dans un village de Haute-Loire, un livre qui nous tient en haleine du début à la fin. Je me suis demandé comment tout cela allait se terminer... Je ne vous en dévoile pas plus... Un roman polar à...
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  • Valmyvoyou_lit 24/02/2020
    Alors qu’une violente tempête de neige se déclare, brusquement, à Pierpont, des congères se créent et toutes les routes sont fermées. Ingénieusement, Jean-Baptiste Quillet, qui tient le café du village, boucle la rue, avec des voitures en travers, et offre l’hospitalité aux voyageurs de passage. Au début du livre, le cafetier nous présente les personnages, au fur et à mesure de leur arrivée. On se laisse porter par ses souvenirs, c’est doux et paisible, jusqu’à ce que Hélène entre dans l’établissement, avec une lettre du passé. Brusquement, l’atmosphère se modifie. De tranquille, elle devient lourde et dramatique, puis c’est la crainte qui prend la suite, car le danger rôde. Les révélations, que le courrier contient, sont une bombe à retardement. Certains savaient, mais ont eu peur de parler, d’autres sont concernés et ne veulent pas être rattrapés par leurs actes, et pour quelques-uns, c’est le combat de leur vie. Quant à Jean-Baptiste, après un moment de sidération, il se montre courageux et prend des initiatives valeureuses. Une grande partie du récit est un huis clos... La suite sur mon blog
  • Dominique84 10/02/2020
    Chaque roman de Pierre Petit est une invitation à un ailleurs, c'est un dépaysement garanti dans un lieu qu’il connaît bien et qu’il décrit si bien ! C’est cette fois dans le paisible village de Pierpont en Haute-Loire que l’auteur va tisser son histoire, une histoire à glacer le sang, une histoire où le passé que l’on pensait révolu va s’inviter brutalement et mener le jeu jusqu’à la dernière ligne. Jean-Baptiste Quillet, cafetier du village, nous raconte. C’était un dimanche d’hiver, Jean-Baptiste avait résisté à la tentation de fermer à midi le café du Pont. Il y avait d’ailleurs bien longtemps que son café n’attirait plus grand monde, surtout depuis que l’église n’était plus desservie. Seul “Kiki”, boulanger et ivrogne notoire restait fidèle et ce dimanche-là, Kiki était comme vissé à son tabouret. Il enchaînait verre après verre et parlait, parlait et buvait, buvait. En quelques minutes seulement, le temps changea, la neige se mit tomber à gros flocons. C’était une tempête sans précédent qui s’annonçait. Par prudence, Jean-Baptiste Quillet s’était résolu à rester bien au chaud dans son café et attendre patiemment que les routes soient de nouveau praticables. Mais sa tranquillité sera bien vite perturbée par une “horde de naufragés de la route” venus se réchauffer dans son café. Il n’y a plus aucune visibilité et la neige est partout. Ils décident donc de rester, de passer le temps. On discute, on joue, on rit, on se réconforte comme on peut pour oublier cette nuit qui s’annonce longue, très longue. Parmi eux, il ya Hélène, une jeune fille de 20 ans, qui possède une lettre, une lettre mystérieuse dont le contenu va ébranler la quiétude de tout le village. C'est une erreur d'affirmer que l'on peut enterrer le passé : il s'accroche tant et si bien qu'il remonte toujours à la surface. Ainsi commence l'histoire d'un petit village de Haute-Loire, qui le temps d'une nuit de tempête, ne sera plus jamais comme avantChaque roman de Pierre Petit est une invitation à un ailleurs, c'est un dépaysement garanti dans un lieu qu’il connaît bien et qu’il décrit si bien ! C’est cette fois dans le paisible village de Pierpont en Haute-Loire que l’auteur va tisser son histoire, une histoire à glacer le sang, une histoire où le passé que l’on pensait révolu va s’inviter brutalement et mener le jeu jusqu’à la dernière ligne. Jean-Baptiste Quillet, cafetier du village, nous raconte. C’était un dimanche d’hiver, Jean-Baptiste avait résisté à la tentation de fermer à midi le café du Pont. Il y avait d’ailleurs bien longtemps que son café n’attirait plus grand monde, surtout depuis que l’église n’était plus desservie. Seul “Kiki”, boulanger et ivrogne notoire restait fidèle et ce dimanche-là, Kiki était comme vissé à son tabouret. Il enchaînait verre après verre et parlait, parlait et buvait, buvait. En quelques minutes seulement, le temps changea, la neige se mit tomber à gros flocons. C’était une tempête sans précédent qui s’annonçait. Par prudence, Jean-Baptiste Quillet s’était résolu à rester bien au chaud dans son café et attendre patiemment que les routes soient de nouveau praticables. Mais sa tranquillité sera bien vite perturbée...
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