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Le temps des loups, prix des Hussards 2023
Collection : Borderline
Date de parution : 22/09/2022
Éditeurs :
le cherche midi

Le temps des loups, prix des Hussards 2023

Collection : Borderline
Date de parution : 22/09/2022
Entre Michel Audiard et Rabelais, découvrez le roman hilarant d'Olivier Maulin
« On veut l’artiche, nom de Dieu ! la sainte patate ! le carbure, la maille, l’oseille qu’on peut palper, le divin pognon, quoi ! »

Jean-Maurice Grosdidier est un crétin de compétition. Depuis la mort...
« On veut l’artiche, nom de Dieu ! la sainte patate ! le carbure, la maille, l’oseille qu’on peut palper, le divin pognon, quoi ! »

Jean-Maurice Grosdidier est un crétin de compétition. Depuis la mort de ses parents, il vit avec ses deux frères dans une ferme-auberge des Vosges et attend que l’argent tombe du...
« On veut l’artiche, nom de Dieu ! la sainte patate ! le carbure, la maille, l’oseille qu’on peut palper, le divin pognon, quoi ! »

Jean-Maurice Grosdidier est un crétin de compétition. Depuis la mort de ses parents, il vit avec ses deux frères dans une ferme-auberge des Vosges et attend que l’argent tombe du ciel. Quand il apprend que la star multimillionnaire de la littérature américaine Samantha-Sun Lopez est invitée au salon du livre d’Épinal, il accouche d’une idée désastreuse : la kidnapper pour obtenir une rançon. 
 
Évidemment, rien ne se passera comme prévu…

Prix des Hussards 2023.
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EAN : 9782749173740
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 340
Format : 125 x 198 mm
EAN : 9782749173740
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 340
Format : 125 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • PaulCitron 26/09/2023
    Je connaissais le Maulin journaliste, mais j'ignorais le Maulin écrivain. Et je n'ai absolument pas été déçu ! Entre farce, chronique d'un village vosgien, aventures improbables et dénouement surprenant, Le temps des loups est une excellente surprise ! Olivier Maulin tisse une intrigue solidement déjantée avec des personnages barrés et hauts en couleurs, des rebondissements loufoques, et une critique désabusée de notre société qui débouche sur un message d'espoir somme toute assez picaresque. A lire absolument !
  • pas_content 11/11/2022
    J'ai lu tous les livres de Maulin, j'ai retrouvé ici le plaisir de "en attendant le roi du monde". Comme il le dit lui-même, un écrivain écrit toujours un peu le même livre. On retrouve sa tendresse pour des "handicapés de la vie". Sa misogynie n'est que le masque d'un amour véritable pour les femmes comme tous les misogynes. Maulin est un très grand et j'en redemande! Pour ceux qui se demandent "quels sont les idées politiques de l'auteur", je leur demande humblement de bien se poser la même question pour 99% de l'édition qui a le droit aux primeurs des médias.
  • ODP31 03/11/2022
    Les pieds nickelés dans les Vosges. Si vous cherchez la descendance de Croquignol, Ribouldingue et Filochard, je vous conseille d’aller faire passer un test génétique aux trois frères Grosdidier : Jean-Marcel, Jean-Didier et Jean-Jean. Oui, les parents ne se sont pas claqués le cerveau au moment du baptême. Un prénom ? Jean-sais rien… Tir groupé au niveau du calendrier. Ils vivent tous les trois dans une ancienne ferme auberge perdue dans un village vosgien et le crétin en chef, l’âne aîné, décide d’organiser l’enlèvement contre sesterces d’une chanteuse américaine venue vendre au salon du livre d’Epinal son autobiographie à… 22 ans. Autant dire qu’un bonsaï aurait suffi pour produire le papier nécessaire à l’ouvrage. Comme les trois guignols ne sont pas à la pointe de l’actualité, qu’ils tiennent leurs infos sur l’état du monde des « éditorialistes » réacs du bistrot du coin, ils vont se tromper d’otage et enlever Marie, une jeune femme qui va révolutionner leur existence. Ce n’est pas le premier roman d’Olivier Maulin que je lis et je ne suis pas étonné que son livre soit publié dans une collection qui s’appelle Borderline. Il n’écrit pas dans le sens du vent, ses valeurs ne sont pas très actuelles et il souffre d’une allergie générale au progressisme. Persona non grata dans le sens du poil ! A la différence de mon chien de combat, un pékinois appelé Bébé Chips, en hommage au personnage d’un précédent roman du même auteur, j’aime bien les écrivains qui sentent un peu le soufre. L’idée n’est pas d’adhérer aux discours sous-jacents, mais de sortir de mes lectures de confort. Ses personnages sont toujours en marge de la société, un peu d’avant, vaccinés contre la moraline, pas très vaillants réfractaires gaulois, et l’auteur utilise leur innocence pour sortir l’artillerie lourde contre la bien-pensance et le monde littéraire parisien. Je comprends que certains propos, qui relèvent de la brève du comptoir ou d’une troisième mi-temps un peu trop arrosée puissent déranger certaines consciences et de rares digressions politiques qui n’apportent rien au récit sont pour moi de trop, mais les bonobos dans mon genre élevés aux San Antonio et aux films d’Audiard vont se régaler des dialogues (atout numéro un selon moi de tous les romans d’Olivier Maulin) et accepter bien volontiers de partager un verre et cette histoire truculente avec ces personnages Rabelaisiens pas très comme il faut, bras cassés emplâtrés plus bourrus que méchants. L'intrigue fricote aussi avec bonheur un peu avec le fantastique. Homo homini lupus est, comme disait Plaute... et le titre du roman un peu aussi. Tenue incorrecte exigée à l'entrée. Les pieds nickelés dans les Vosges. Si vous cherchez la descendance de Croquignol, Ribouldingue et Filochard, je vous conseille d’aller faire passer un test génétique aux trois frères Grosdidier : Jean-Marcel, Jean-Didier et Jean-Jean. Oui, les parents ne se sont pas claqués le cerveau au moment du baptême. Un prénom ? Jean-sais rien… Tir groupé au niveau du calendrier. Ils vivent tous les trois dans une ancienne ferme auberge perdue dans un village vosgien et le crétin en chef, l’âne aîné, décide d’organiser l’enlèvement contre sesterces d’une chanteuse américaine venue vendre au salon du livre d’Epinal son autobiographie à… 22 ans. Autant dire qu’un bonsaï aurait suffi pour produire le papier nécessaire à l’ouvrage. Comme les trois guignols ne sont pas à la pointe de l’actualité, qu’ils tiennent leurs infos sur l’état du monde des « éditorialistes » réacs du bistrot du coin, ils vont se tromper d’otage et enlever Marie, une jeune femme qui va révolutionner leur existence. Ce n’est pas le premier roman d’Olivier Maulin que je lis et je ne suis pas étonné que son livre soit publié dans une collection qui s’appelle Borderline. Il n’écrit pas dans le sens du vent, ses valeurs ne sont pas très actuelles et il...
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  • Maximus 25/10/2022
    Superbe plume. Des situations cocasses, parfois surréalistes. Un fond sociologique ou historique contemporain. C'est drôle, hilarant, "déchirant". Il y a parfois des descriptions méticuleuses (un vrai guide touristique de qualité). Hymne aux Vosges ! A la restauration des fermes dans la montagne. Des personnages attachants. Le final est grandiose. La Franc-bûcheronnerie qui réconcilie vieux fonds païen et christianisme (Vatican II ou le christianisme gauchiste s'en prend une belle au passage). Des expressions en pagaille foisonnent et fusent. C'est un régal ce roman. L'auteur ose avec finesse et justesse. Il a comme été inspiré ....Je vais me jeter dans ses autres romans pour revivre un tel plaisir de lire. Encore et encore !
  • tobiblion 21/10/2022
    Pour une collection qui se dit "bordeline", la promesse est bien tenue. Ce petit roman a visiblement dérangé quelques lecteurs peu habitués aux boissons fortes que sirotent certaines Polonaises au petit-déjeuner. Ouvrir un roman d'Olivier Maulin c'est recevoir une bouffée d'air frais, aérant le marigot littéraire saturé par les zélotes de l'Index librorum prohibitorum et les petits gardes rouges du wokisme que l'auteur passe au wok. Olivier Maulin c'est le Marcel Aymé de la France périphérique, un écrivain qui trempe sa plume dans les terroirs charnels. Son intrigue débute certes à Épinal mais il serait réducteur de l'enfermer dans une image d’Épinal. L'auteur exprime une profonde tendresse pour les foldingos et les gueules cassées qui font honte aux CSP+. Dans cette zone blanche de la littérature, les tontons flingueurs de la sédition tranquille s'expriment impunément dans un idiome de roman de gare et se laissant aller à des diatribes d'anthologie d'un certain niveau philosophique. Dans cette ferme vosgienne peuplée de braves gens délaissés par la mondialisation, l'ironie malicieuse veut que l'héroïne féminine devienne l'avenir de ces hommes. On ne se lasse pas de relire certains passages après avoir ri à gorge déployée. Maulin c'est un regard paasalinien sur la société ou tout s'achève dans le rire, l'amour, la fête et la joie. L'imaginaire débridé de ce Lorrain frondeur doublé d'un bucheron finlandais n'est point carencé en vitamines du bonheur et sa chaleur humaine nous réchauffe au fil de ces pages. Depuis la révélation d'En attendant le roi du monde, L'auteur prétend écrire le même roman, ce qui est d'une modestie rare et précieuse. Nul doute que les Gaulois réfractaires de Lorraine ou d'ailleurs feront de lui leur trouvère. Et si pour certains le rire effronté de Maulin a l'odeur du souffre du Malin, c'est qu'il a réussi son coup, car nul n'ignore que le rire de Voltaire est bien efficace que les larmes de Rousseau! Pour une collection qui se dit "bordeline", la promesse est bien tenue. Ce petit roman a visiblement dérangé quelques lecteurs peu habitués aux boissons fortes que sirotent certaines Polonaises au petit-déjeuner. Ouvrir un roman d'Olivier Maulin c'est recevoir une bouffée d'air frais, aérant le marigot littéraire saturé par les zélotes de l'Index librorum prohibitorum et les petits gardes rouges du wokisme que l'auteur passe au wok. Olivier Maulin c'est le Marcel Aymé de la France périphérique, un écrivain qui trempe sa plume dans les terroirs charnels. Son intrigue débute certes à Épinal mais il serait réducteur de l'enfermer dans une image d’Épinal. L'auteur exprime une profonde tendresse pour les foldingos et les gueules cassées qui font honte aux CSP+. Dans cette zone blanche de la littérature, les tontons flingueurs de la sédition tranquille s'expriment impunément dans un idiome de roman de gare et se laissant aller à des diatribes d'anthologie d'un certain niveau philosophique. Dans cette ferme vosgienne peuplée de braves gens délaissés par la mondialisation, l'ironie malicieuse veut que l'héroïne féminine devienne l'avenir de ces hommes. On ne se lasse pas de relire certains passages après avoir ri à gorge déployée. Maulin c'est un regard paasalinien sur...
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