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Les belles heures de l'Indochine française
Date de parution : 10/05/2001
Éditeurs :
Perrin

Les belles heures de l'Indochine française

Date de parution : 10/05/2001

Comment la France, en si peu de temps et avec si peu d'hommes, laissa-t-elle une telle empreinte en Indochine.

Plus de mille ouvrages ont été consacrés à la guerre d'Indochine qui dura neuf ans, mais peu ont traité de l'ensemble de l'œuvre française en Indochine qui s'étendit sur trois...

Plus de mille ouvrages ont été consacrés à la guerre d'Indochine qui dura neuf ans, mais peu ont traité de l'ensemble de l'œuvre française en Indochine qui s'étendit sur trois siècles. De 1660 à 1860 environ, la France fut presque uniquement représentée en ce coin du monde par des missionnaires...

Plus de mille ouvrages ont été consacrés à la guerre d'Indochine qui dura neuf ans, mais peu ont traité de l'ensemble de l'œuvre française en Indochine qui s'étendit sur trois siècles. De 1660 à 1860 environ, la France fut presque uniquement représentée en ce coin du monde par des missionnaires désireux de l'évangéliser. Sous Napoléon III leur protection -car ils étaient persécutés- fut le prétexte invoqué (sinon le seul) pour le débarquement des troupes françaises. C'est alors que se mit en place la colonisation et qu'arrivèrent planteurs, ingénieurs, administrateurs et archéologues, et des missionnaires d'un nouveau genre, voués à des tâches de santé et d'enseignement. L'existence qu'ils menèrent, les uns et les autres, est l'objet de ce livre vivant qui fait appel à de nombreux témoignages dont beaucoup totalement inédits.

L'auteur, qui vécut au Laos en 1952-53, fait un tour d'horizon des œuvres accomplies par ces Français, souvent au péril de leur vie, en une lointaine terre d'Asie qu'ils baptisèrent Indochine, et pour laquelle ils éprouvèrent une passion étrangement unanime, l'imaginant même, parfois, payée de retour. A l'heure où la France ne cesse de se repentir d'avoir été " colonialiste ", Christiane d'Ainval répond à la question que l'on se pose souvent : comment la France, en si peu de temps et avec si peu d'hommes, a-t-elle laissé une telle empreinte en Indochine ?

Christiane d'Ainval, diplômée d'études supérieures de philosophie, docteur de l'université de Paris, a déjà publié chez Perrin Le Couvent des Oiseaux (1991), et auparavant une biographie du maréchal Gouvion Saint-Cyr (Copernic) ainsi qu'une thèse de philosophie sur Louis Lavelle (Nauwelaerts).

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EAN : 9782262017774
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 312
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782262017774
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 312
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • CVolland 16/05/2019
    Ecrit en 2001 il m'a fallu plusieurs fois revérifier qu'il s'agissait bien d'un livre récent et pas d'une réédition des éditions Perrin d'un ancien ouvrage. En effet le style est assez désuet, on trouve certaines expressions comme "continent jaune" qui fleur bon la nostalgie de l'empire colonial Français et ce que l'on peut dire c'est que Christiane d'Ainval ne fait pas semblant d'être objective, ce qui est un bon point. Ce n'est pas vraiment un livre d'histoire classique mais plutôt un condensé de fait marquants, de personnages illustres, haut en couleurs ayant marqués l'histoire de l'Indochine et des anecdotes nombreuses reflétant l'état d'esprit qui régnait ses années là. Plusieurs aspect de cette colonisation sont abordés. d'abord les missionnaires, pas toujours Français d'ailleurs puis très vite les militaires et les premiers colons. le fonctionnement économique est bien expliqué ainsi que les réalisations des européens dans des domaines variées comme l'agriculteurs la médecine, l'enseignement, le commerce. Ils on fait preuve d'une motivation sans faille et sont souvent devenu de vrais amoureux de la région apprenant les langues local des plus petites tribus et apportant la "civilisation" dans les territoires les plus reculés et inaccessible. Mais tout cet édifice n'était qu'un château de carte instable, qui ne survivra pas à la seconde guerre mondial et l'invasion Japonaise ce que nous fait bien comprendre l'auteure. On peut bien sur reprocher au livre d'avoir trop mis l'accent sur les côtés positifs et mis de côté la part plus sombre, mais l'ouvrage offre une bonne vue d'ensemble qui sera à compléter par d'autres sources d'informations.Ecrit en 2001 il m'a fallu plusieurs fois revérifier qu'il s'agissait bien d'un livre récent et pas d'une réédition des éditions Perrin d'un ancien ouvrage. En effet le style est assez désuet, on trouve certaines expressions comme "continent jaune" qui fleur bon la nostalgie de l'empire colonial Français et ce que l'on peut dire c'est que Christiane d'Ainval ne fait pas semblant d'être objective, ce qui est un bon point. Ce n'est pas vraiment un livre d'histoire classique mais plutôt un condensé de fait marquants, de personnages illustres, haut en couleurs ayant marqués l'histoire de l'Indochine et des anecdotes nombreuses reflétant l'état d'esprit qui régnait ses années là. Plusieurs aspect de cette colonisation sont abordés. d'abord les missionnaires, pas toujours Français d'ailleurs puis très vite les militaires et les premiers colons. le fonctionnement économique est bien expliqué ainsi que les réalisations des européens dans des domaines variées comme l'agriculteurs la médecine, l'enseignement, le commerce. Ils on fait preuve d'une motivation sans faille et sont souvent devenu de vrais amoureux de la région apprenant les langues local des plus petites tribus et apportant la "civilisation" dans les territoires les plus reculés et inaccessible. Mais tout cet édifice n'était qu'un château de carte...
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