Les enquêtes d'Enola Holmes, tome 4 : Le secret de l'éventail

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• tremb77 14/05/2021
  Dans ce quatrième tome, Enola retrouve Cecily Alistair, jeune fille qu'elle avait déjà recherchée dans le second. Encadrée par deux parangons de vertu, Cecily lui fait comprendre par code de l'éventail qu'elle a de nouveau des soucis. Disparue de nouveau de chez elle, Lady Alistair également absente, lady Cecily ne lui laisse comme indice un simple éventail en papier rose. Simple? A première vue mais il pourrait receler des indices pour découvrir le nouveau lieu de détention de la jeune fille. Enola ne perd pas une minute pour partir à sa recherche avec un concurrent à ses talons. Sherlock sera enfin très présent dans cette enquête auprès de sa jeune soeur. Un tome où les liens entre la fratrie sont le plus mis en avant, Sherlock étant plus proche dans cette enquête menée de concert.
• moustiqueflo 18/02/2021
  Quatrième tome de la série sur la soeur de Sherlock Holmes et encore une fois je ne suis pas déçue. Le roman se dévoré en peu de temps. Dès qu'un chapitre se termine, on n'arrive pas à s'arrêter et du coup l'histoire se termine trop rapidement mais aussi avec la joie de savoir elona aussi douée que son frère et a s'en sortir malgré son jeune âge.
• lirado 16/06/2019
  L'héroïne créée par Nancy Springer nous emmène dans une quatrième aventure rebondissante. Enola Holmes mène l'enquête avec un langage emprunt d'humour et des techniques de déguisements incomparables. Tout en essayant de fuir ses frères, elle se laisse embarquer dans une aventure rocambolesque qui la mettra plus d'une fois en de mauvaises positions. L'idée de Nancy Springer, c'est-à-dire imaginer au grand Sherlock Holmes une sœur aussi, voire plus, douée, est excellente, alléchante et très réussie. Beaucoup confirme que l'auteur a su respecter le héros de Conan Doyle tout en créant un personnage à part, attachant et surtout très féminin. La lecture des enquêtes policières d'Enola Holmes est un pur régal tant au niveau de l'écriture (très soignée) que l'histoire, menée tambour battant et souvent empreinte d'ironie. L'ensemble est tout simplement captivant et on attend déjà avec impatience la suite des aventures de la jeune fille.
• LeScribouillard 29/03/2018
  La série avait pris de l'ampleur, bien sûr, mais elle ne décolle toujours pas. Et ce tome sans rien de novateur ou d'extraordinaire ne me fera pas dire le contraire : Lady Alistair est de retour, le mystère de la mère d'Enola reste total et Sherlock se frotte les mains dans l'ombre. On a malgré tout une enquête bien faite, mais qui ne change pas de l'ordinaire. Le ronron se ferait-il sentir ? Pas tant que ça, car il est toujours passionnant de suivre la sœur de Holmes à travers Londres. Néanmoins, ce tome existe sans rien apporter à la suite de l'histoire, et se contente d'être pour plaire aux lecteurs. Avec malgré tout une dénonciation assez sévère d'une pratique victorienne peu louable. N'empêche, la plume de Nancy Springers fait encore sentir ses lacunes : à quoi aura servi le moment où Enola s'adresse directement au lecteur ? On dirait qu'il vient casser le reste plutôt que de s'y intégrer. Dans la même lignée, on pourrait aussi citer le fait qu'elle traite les antagonistes de vieilles toupies, ce qui nous fait frôler la parodie. Bref, encore une fois un livre néo-doylien très honnête, mais qui ne renouvelle pas le genre. Ça reste... La série avait pris de l'ampleur, bien sûr, mais elle ne décolle toujours pas. Et ce tome sans rien de novateur ou d'extraordinaire ne me fera pas dire le contraire : Lady Alistair est de retour, le mystère de la mère d'Enola reste total et Sherlock se frotte les mains dans l'ombre. On a malgré tout une enquête bien faite, mais qui ne change pas de l'ordinaire. Le ronron se ferait-il sentir ? Pas tant que ça, car il est toujours passionnant de suivre la sœur de Holmes à travers Londres. Néanmoins, ce tome existe sans rien apporter à la suite de l'histoire, et se contente d'être pour plaire aux lecteurs. Avec malgré tout une dénonciation assez sévère d'une pratique victorienne peu louable. N'empêche, la plume de Nancy Springers fait encore sentir ses lacunes : à quoi aura servi le moment où Enola s'adresse directement au lecteur ? On dirait qu'il vient casser le reste plutôt que de s'y intégrer. Dans la même lignée, on pourrait aussi citer le fait qu'elle traite les antagonistes de vieilles toupies, ce qui nous fait frôler la parodie. Bref, encore une fois un livre néo-doylien très honnête, mais qui ne renouvelle pas le genre. Ça reste très agréable malgré tout.

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• 27dab 30/01/2017
  Un très bon roman que je qualifierai comme " à siroter " car je dirais qu'il faut le lire petit à petit, mais, bien sûr, il faut aimer les romans policiers, sinon, il est difficile à lire.