Les larmes du Reich

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Plati 23/07/2024

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  Un livre étonnant et détonnant dans lequel petite et grande Histoire se mélangent. Un début classique (un crime horrible est commis), une enquête pleine de rebondissements s'ensuit et une fin inattendue se produit, tout cela sous fond de mystère, qui est vraiment qui, qui a fait quoi .... Je ne m'attendais pas du tout à cette fin. A conseiller à tous ceux qui aiment être surpris
• Feel_Isa 03/06/2024

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  Via ce roman, je découvre la plume de @francoismedeline et quelle jolie surprise. Le roman commence en 1951 avec le meurtre de deux fermiers dans la Drôme. L’inspecteur Michel se rend sur les lieux afin de retrouver la petite Juliette, la fille du couple assassiné qui est portée disparue. Son enquête va le mener de la Drôme, à Grenoble, en passant par Paris. Son enquête va aussi nous transporter jusqu’à Auschwitz. Dans cette France d’après-guerre, il faudra que notre enquêteur délie les langues, gagne la confiance des gens qu’il interroge et se méfie des apparences. Les gens ne sont pas toujours ceux qu’ils prétendent être. J’ai beaucoup aimé la plume de François Médéline, il va droit au but, fait monter le suspense, ne s’embarrasse os de choses inutiles, nous balade, nous mets sur de fausses pistes pour arriver au plot twist final que je n’avais pas vu venir. Un roman sur fond historique que je te recommande.
• aurorepapote 05/05/2024

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  C'est un petit roman de moins de 200 pages, trouvé par hasard au détour d'une allée chez un bouquiniste et dont la couverture m'avait de suite attirée. Un petit roman court me semblant idéal après ma dernière lecture (saga de 4 tomes), j'ai donc dévoré en moins de deux jours ce roman. Et pourtant au départ je dois bien avouer que le style d'écriture de l'auteur m'a un peu perturbé tellement c'est une écriture d'un style vif, brutal, très sec et particulier. Et puis on s'habitue et l'on comprend que l'écriture est au service de l'histoire et finalement ça matche. J'ai passé un bon moment, sans que ce soit un roman inoubliable. Mais il a le mérite d'aborder une thématique peu connu sur les camps de concentration : les bordels. Il aborde également le retour de parents déportés qui veulent récupérer leurs enfants, souvent adoptés par des familles catholiques et ayant été baptisés alors que juifs. Et le long combat qui s'en suit. On reste donc sur sa faim car ce roman est finalement beaucoup trop court pour pouvoir vraiment aller en profondeur sur ces thématiques. Mais l'auteur réussit quand même le tour de force d'amener une atmosphère et des personnages construits. C'est un petit roman de moins de 200 pages, trouvé par hasard au détour d'une allée chez un bouquiniste et dont la couverture m'avait de suite attirée. Un petit roman court me semblant idéal après ma dernière lecture (saga de 4 tomes), j'ai donc dévoré en moins de deux jours ce roman. Et pourtant au départ je dois bien avouer que le style d'écriture de l'auteur m'a un peu perturbé tellement c'est une écriture d'un style vif, brutal, très sec et particulier. Et puis on s'habitue et l'on comprend que l'écriture est au service de l'histoire et finalement ça matche. J'ai passé un bon moment, sans que ce soit un roman inoubliable. Mais il a le mérite d'aborder une thématique peu connu sur les camps de concentration : les bordels. Il aborde également le retour de parents déportés qui veulent récupérer leurs enfants, souvent adoptés par des familles catholiques et ayant été baptisés alors que juifs. Et le long combat qui s'en suit. On reste donc sur sa faim car ce roman est finalement beaucoup trop court pour pouvoir vraiment aller en profondeur sur ces thématiques. Mais l'auteur réussit quand même le tour de force d'amener une atmosphère et des personnages...

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• BillDOE 29/04/2024

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  Une enquête policière palpitante où les rebondissements entretiennent une tension saisissante... 1951, une ferme perdue dans la région de Crest. Le premier coup de feu lui a arraché la moitié de la boite crânienne. Le second lui a perforé la poitrine pour l’achever. Ce n’est que lorsque Henri Delhomme est définitivement mort, que l’assassin exécute son épouse Louise. Juliette, leur fille, a pu s’enfuir. L’inspecteur Pierre Michel est détaché du commissariat de Lyon pour enquêter sur ce crime et cette disparition perpétrés au fin fond de la Drôme provençale... François Médéline maîtrise parfaitement son histoire qui emporte le lecteur vers des vérités insoupçonnables et monstrueuses. On est accaparé par l’intrigue de bout en bout de ce récit. L’écriture hachée donne un rythme frénétique et les nombreuses références à la culture de cette région font de ce roman un très bon roman de terroir. Les références historiques à la Shoah lui offrent toute sa crédibilité. « Les larmes du Reich » est une fiction particulièrement réussie qui satisfait toutes les attentes du lecteur. Editions 10/18, 196 pages.
• patacaisse 03/04/2024

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  Dire que ce livre m'a saisi n'est pas peu dire. Il y a des livres où les histoires sont créées pour faire peur, pour intriguer mais on peut garder de la distance en se disant que l'auteur.e a une très bonne imagination et que l'on a passé un bon (ou pas) moment de lecture grâce à sa plume. Mais là, ce récit est glaçant car il dévoile un pan de la seconde guerre mondiale que je ne connaissais pas ou peu et je suis restée figée face à cette découverte. Le récit est prenant, incisif, j'ai été happée par ce récit (en faisant des pauses car trop d'émotions quand même). C'est un livre court, précis et happant. Je l'ai trouvé très bien écrit. Une belle découverte.