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Les Morsures de l'ombre
Collection : Fleuve noir
Date de parution : 08/11/2007
Éditeurs :
Fleuve éditions
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Les Morsures de l'ombre

Collection : Fleuve noir
Date de parution : 08/11/2007

Une femme rousse, plutôt charmante. Oui, il se souvient. Un peu...
Il l'a suivie chez elle... Ils ont partagé un verre, il l'a prise dans ses bras... Ensuite, c'est le...

Une femme rousse, plutôt charmante. Oui, il se souvient. Un peu...
Il l'a suivie chez elle... Ils ont partagé un verre, il l'a prise dans ses bras... Ensuite, c'est le trou noir.

Quand il se réveille dans cette cave, derrière ces barreaux, il comprend que sa vie vient de basculer dans...

Une femme rousse, plutôt charmante. Oui, il se souvient. Un peu...
Il l'a suivie chez elle... Ils ont partagé un verre, il l'a prise dans ses bras... Ensuite, c'est le trou noir.

Quand il se réveille dans cette cave, derrière ces barreaux, il comprend que sa vie vient de basculer dans l'horreur. Une femme le retient prisonnier. L'observe, le provoque, lui fait mal.
Rituel barbare, vengeance, dessein meurtrier, pure folie?
Une seule certitude: un compte à rebours terrifiant s'est déclenché.
Combien de temps résistera-t-il aux morsures de l'ombre?

Ça ressemble a un jeu.
Le premier qui bouge a perdu.

Dans ce roman noir magistral et tendu à l'extrême, Karine Giébel nous entraîne dans un huis clos glaçant au coeur de la folie.
Un livre dont on ne ressort pas indemne.

 

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EAN : 9782265085848
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 294
Format : 128 x 198 mm
Fleuve éditions
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EAN : 9782265085848
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 294
Format : 128 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Alys_lecture 03/04/2024
    Je n’ai pas lu beaucoup de livres de l’auteure, j’en ai dans ma pal mais ce sont des gros pavés alors j’attends… Celui-ci est court en plus, moins de 300 pages. Un flic, un peu volage, tombe sous le charme d’une belle rousse qui va l’enfermer, le torturer, le violenter afin qu’il avoue… avoue quoi ? qu’il est coupable De quoi ? il ne le sait pas. Pour le moment… Whaou, je l’ai lu d’une traite, hors de question d’aller me coucher sans l’avoir fini ! Il est angoissant, oppressant, sans relâche mais que c’est bon. J’ai eu peur, j’ai espéré que cette folie cesse… Il est hyper addictif. C’est un gros coup de coeur. Foncez ! A la suite, il me faut une lecture plus soft, en tout cas pas un polar car je risque de comparer et de ne pas apprécier. Ca me donne envie maintenant de sortir les grosses pavasses qui m’attendent
  • Niki06 18/03/2024
    Fan inconditionnelle de Giebel, j'ai décidé de lire ce thriller que je n'avais pas encore lu en attendant sa dernière sortie. Mais après Meurtres pour rédemption ou Toutes blessent la dernière tue qui étaient EXCELLENTS, j'ai été quelque peu déçue, car ces derniers étaient vraiment de qualité et très bien travaillés, très poussés tant dans l'histoire que dans la psychologie des personnages. Cette lecture reste agréable, j'ai passé un bon moment, néanmoins je n'ai pas retrouvé la profondeur des deux titres cités plus haut. Je referme ce livre sans en être marquée comme j'ai pu l'être. L'histoire est intrigante mais le dénouement arrive brutalement et je n'ai pas réussi à l'apprécier. Les personnages ne m'ont pas touché plus que ça, alors que Giebel a cette capacité à nous faire comprendre même des personnages horribles, car le bon et le mal se côtoie bien souvent en l'être humain. Ce huit clos est malsain et perturbant, il se lit vite également. J'avais envie de savoir jusqu'où Lydia va aller et Benoit va tenir, de comprendre pourquoi il se retrouve dans cette situation. J'ai cru deviner mais je me suis trompée. Benoît est malmené, mais une fois encore, Giebel m'a habitué a du plus trash et je l'ai limite trouvé gentillet. Bref une bonne lecture mais je n'ai pas retrouvé le talent de Giebel que j'aime tant et qui faut le dire me retourne quand même le bide. Fan inconditionnelle de Giebel, j'ai décidé de lire ce thriller que je n'avais pas encore lu en attendant sa dernière sortie. Mais après Meurtres pour rédemption ou Toutes blessent la dernière tue qui étaient EXCELLENTS, j'ai été quelque peu déçue, car ces derniers étaient vraiment de qualité et très bien travaillés, très poussés tant dans l'histoire que dans la psychologie des personnages. Cette lecture reste agréable, j'ai passé un bon moment, néanmoins je n'ai pas retrouvé la profondeur des deux titres cités plus haut. Je referme ce livre sans en être marquée comme j'ai pu l'être. L'histoire est intrigante mais le dénouement arrive brutalement et je n'ai pas réussi à l'apprécier. Les personnages ne m'ont pas touché plus que ça, alors que Giebel a cette capacité à nous faire comprendre même des personnages horribles, car le bon et le mal se côtoie bien souvent en l'être humain. Ce huit clos est malsain et perturbant, il se lit vite également. J'avais envie de savoir jusqu'où Lydia va aller et Benoit va tenir, de comprendre pourquoi il se retrouve dans cette situation. J'ai cru deviner mais je me suis trompée. Benoît est malmené, mais une fois encore, Giebel m'a habitué a du plus...
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  • coraliel59 10/03/2024
    Dans ce huis-clos angoissant, Karine Giebel nous fait suivre l'histoire de Benoît, un policier qui a secouru une jeune femme sur la route, et qui se retrouve enfermée dans sa cave. Pourquoi a-t-elke fait ça? Qui est-elle? Autant de questions qui trouveront leur réponse au fur et à mesure de la lecture. En attendant, nous vivons avec Benoît l'angoisse de l'enfermement, la peur de sa geôlière et l'appréhension de ce qui va arriver. Nous suivons également l'enquête menée par ses collègues qui va également révéler son lot de surprises. Un thriller parfaitement mené qui se lit très vite. Chaque personnage est complexe, avec ses bons et ses mauvais côtés. Un très bon page-turner.
  • triple_l_de_mag 08/03/2024
    J’avais lu quelques livres de @karinegiebel il y a plus de 10 ans. J’avais beaucoup aimé et j’avais prévu d’en lire d’autres en 2024 ! Et c’est avec « Les morsures de l’ombre », livre très court que j’ai repris. L’ambiance est particulière car les personnages sont loin d’être parfaits. Ils ont des défauts qui nous empêchent de les trouver attachants alors que, vu ce qu’ils sont en train de vivre, on devrait s’attacher à eux. Je me suis sentie tiraillée en plus de la forte tension liée à l’intrigue. Et ça ajoute beaucoup à ce page turner dont le dénouement m’a bien surprise ! Ce n’est pas mon préféré de l’autrice mais j’en ai encore pleins à découvrir !
  • Brust 29/02/2024
    Un réveil difficile… Vaporeux… Les yeux restent clos…. Puis s’ouvrent, doucement… Le lieu est gris, froid, glacial, des barreaux Et l’horreur est là, devant lui, elle s’appelle Lydia, elle est élégante, une taille de guêpe, une chevelure rougeoyante, elle est belle… Ça y est sa mémoire s’assemble, se reconstruit, mais que lui est-il arrivé ? Il se souvient, ils ont fait connaissance, bu un verre ensemble… Et puis… Quoi, mais pourquoi est-il là, dans cette cage ? Dans ce qui lui semble être une cave? Il a faim, il a soif, il a froid… Et le chaos commence… Lydia va pendant des semaines le harceler pour qu’il avoue l’inavouable… Elle sera son bourreau… Le commissaire de police Benoît Lorand se retrouve dans cette cave, enfermé derrière des barreaux mais une question persiste… Pourquoi ? Un livre percutant, vif, malsain et surtout avec l’esprit Karine Giebel tout ce que l’on perçoit, tout ce que l’on s’imagine… n’arrive pas… Évidemment on pense à tel tueur, à tel kidnappeur, à tel violeur…. Et bien non, je me trompe à chaque fois… Ce huis-clos est intransigeant avec nos nerfs… Donc, je le lis, vite et même très vite avec ces phrases courtes, hachées, des dialogues acérés… et j’avance dans ma lecture et Benoît est malmené, torturé, mais combien de temps va-t-il réussir à continuer à tenir, à survivre face à cette femme qui semble déterminée ? Il souhaite même mourir, qu’elle l’achève au plus vite pour ne plus endurer ses supplices J’ai été survoltée tout le long de ce récit Autant vous dire que c’est un indiscutable coup de cœur. Et n’oubliez pas, si vous plongez dans l’un de ses livres… la Happy End n’existe pas…Un réveil difficile… Vaporeux… Les yeux restent clos…. Puis s’ouvrent, doucement… Le lieu est gris, froid, glacial, des barreaux Et l’horreur est là, devant lui, elle s’appelle Lydia, elle est élégante, une taille de guêpe, une chevelure rougeoyante, elle est belle… Ça y est sa mémoire s’assemble, se reconstruit, mais que lui est-il arrivé ? Il se souvient, ils ont fait connaissance, bu un verre ensemble… Et puis… Quoi, mais pourquoi est-il là, dans cette cage ? Dans ce qui lui semble être une cave? Il a faim, il a soif, il a froid… Et le chaos commence… Lydia va pendant des semaines le harceler pour qu’il avoue l’inavouable… Elle sera son bourreau… Le commissaire de police Benoît Lorand se retrouve dans cette cave, enfermé derrière des barreaux mais une question persiste… Pourquoi ? Un livre percutant, vif, malsain et surtout avec l’esprit Karine Giebel tout ce que l’on perçoit, tout ce que l’on s’imagine… n’arrive pas… Évidemment on pense à tel tueur, à tel kidnappeur, à tel violeur…. Et bien non, je me trompe à chaque fois… Ce huis-clos est intransigeant avec nos nerfs… Donc, je le lis, vite et même très vite avec ces phrases courtes, hachées, des dialogues acérés… et j’avance dans ma lecture et Benoît est malmené, torturé, mais combien de temps...
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