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Les Prétoriens
Date de parution : 07/11/2013
Éditeurs :
Presses de la cité

Les Prétoriens

Date de parution : 07/11/2013

La suite des Centurions. LE grand roman des parachutistes pendant la guerre d’Algérie.

Rentrés d’Indochine après la pénible épreuve des camps, les compagnons du capitaine Esclavier et de Boisfeuras sont engagés dans un nouveau conflit, entre djebel et désert. Après leurs défaites successives,...

Rentrés d’Indochine après la pénible épreuve des camps, les compagnons du capitaine Esclavier et de Boisfeuras sont engagés dans un nouveau conflit, entre djebel et désert. Après leurs défaites successives, en Indochine notamment, cette guerre-là, ils veulent la gagner, quel qu’en soit le prix. Les centurions deviennent des prétoriens. Le...

Rentrés d’Indochine après la pénible épreuve des camps, les compagnons du capitaine Esclavier et de Boisfeuras sont engagés dans un nouveau conflit, entre djebel et désert. Après leurs défaites successives, en Indochine notamment, cette guerre-là, ils veulent la gagner, quel qu’en soit le prix. Les centurions deviennent des prétoriens. Le meurtre d’un des leurs entraîne ces soldats à déborder du cadre de leur action militaire et à « faire de la politique ».
Rien ne pourra plus endiguer ce torrent d’hommes farouches, pas même ceux qui, d’Alger ou de la métropole, essaient de les soumettre.

Après Les Centurions et Les Mercenaires, un grand classique de Jean Lartéguy.

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EAN : 9782258106307
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 464
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258106307
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 464
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • chichi_zibest 11/10/2023
    Ce volume est la suite des Centurions, les protagonistes sont toujours officiers au 10e Régiment des Parachutistes Coloniaux. Après la tragédie indochinoise, voici celle de l'Algérie. Cependant, l'Indochine les a soudés dans leur amitié et n'a fait que renforcer leur détermination de mener la guerre pour la victoire. Malheureusement, cet engagement isole ces hommes et leur régiment, l'acmé se produisant lors d'une marche populaire le 13 Mais 1958. Il s'agit d'une fronde de ces officiers, demandant au Général de Gaulle (via le plus haut gradé en Algérie : Salan) de soutenir le projet de l'Algérie française. Ces officiers s'apparentent aux Prétoriens, gardiens romains de l'Empereur, qui souhaitent ici le retour du Général, et la conservation de la grandeur de la France dans des valeurs historiques qui n'ont, hélas, plus cours. Le mérite de ce livre est de montrer quel était l'état d'esprit des acteurs de l'époque, ainsi que celui des pieds-noirs, autochtones....à travers des dialogues profonds et qui sonnent juste. A force de coller à l'histoire, même si les personnages sont fictifs, le livre se perd parfois dans des détails et les nombreuses péripéties perdent parfois le lecteur. Je ne soute pas que tous ces détails seraient plus appréciés par un contemporain de cette époque. Ce volume est la suite des Centurions, les protagonistes sont toujours officiers au 10e Régiment des Parachutistes Coloniaux. Après la tragédie indochinoise, voici celle de l'Algérie. Cependant, l'Indochine les a soudés dans leur amitié et n'a fait que renforcer leur détermination de mener la guerre pour la victoire. Malheureusement, cet engagement isole ces hommes et leur régiment, l'acmé se produisant lors d'une marche populaire le 13 Mais 1958. Il s'agit d'une fronde de ces officiers, demandant au Général de Gaulle (via le plus haut gradé en Algérie : Salan) de soutenir le projet de l'Algérie française. Ces officiers s'apparentent aux Prétoriens, gardiens romains de l'Empereur, qui souhaitent ici le retour du Général, et la conservation de la grandeur de la France dans des valeurs historiques qui n'ont, hélas, plus cours. Le mérite de ce livre est de montrer quel était l'état d'esprit des acteurs de l'époque, ainsi que celui des pieds-noirs, autochtones....à travers des dialogues profonds et qui sonnent juste. A force de coller à l'histoire, même si les personnages sont fictifs, le livre se perd parfois dans des détails et les nombreuses péripéties perdent parfois le lecteur. Je ne soute pas que tous ces détails seraient plus appréciés par un contemporain de...
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  • Singlandes 07/10/2022
    “ Des feux mal éteints”nous dit Philippe Labro á propos de la fin de la guerre d’Algérie. Dans le même esprit Jean Lartéguy réagit à chaud aux événements d’Algérie ( 1964) et s’intéresse plus particulièrement au malaise des parachutistes , qui , à peine revenus de Dien Bien Phu et sortis de l’enfer des camps Viêt-minh se retrouvent appelés en Algérie pour protéger la population. L’auteur décrit avec talent et finesse et non sans humour le dilemme de tous ces officiers ( Esclavier, Glatigny, Raspéguy)) qui, se sentant abandonnés par les politiques, ne savent plus au juste pourquoi ils se battent .Le 13 Mai 1958 c’est le putsch que ces “ prétoriens “ organisent avec á leur tête le général Salan qui crée un comité de Salut Public ayant pour objectif d’empêcher Pfimlin de traiter avec le FLN en portant au pouvoir un certain général de Gaulle, militaire comme eux. Le thème de la torture est abordé avec intelligence et le passage de l’affrontement entre Glatigny et un prêtre est magistral.. . Mais en même temps tous ces paras admirent le courage des chefs fellaghas formés à la ruse de guerre par les Viets ,en captivité, après avoir combattu pour la France,et qui sont convaincus qu’ils gagneront et chasseront les français de leur sol. “ Des feux mal éteints”nous dit Philippe Labro á propos de la fin de la guerre d’Algérie. Dans le même esprit Jean Lartéguy réagit à chaud aux événements d’Algérie ( 1964) et s’intéresse plus particulièrement au malaise des parachutistes , qui , à peine revenus de Dien Bien Phu et sortis de l’enfer des camps Viêt-minh se retrouvent appelés en Algérie pour protéger la population. L’auteur décrit avec talent et finesse et non sans humour le dilemme de tous ces officiers ( Esclavier, Glatigny, Raspéguy)) qui, se sentant abandonnés par les politiques, ne savent plus au juste pourquoi ils se battent .Le 13 Mai 1958 c’est le putsch que ces “ prétoriens “ organisent avec á leur tête le général Salan qui crée un comité de Salut Public ayant pour objectif d’empêcher Pfimlin de traiter avec le FLN en portant au pouvoir un certain général de Gaulle, militaire comme eux. Le thème de la torture est abordé avec intelligence et le passage de l’affrontement entre Glatigny et un prêtre est magistral.. . Mais en même temps tous ces paras admirent le courage des chefs fellaghas formés à la...
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