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Lise et les hirondelles - Dès 12 ans
Collection : Roman Grand format
Date de parution : 01/02/2018
Éditeurs :
Nathan

Lise et les hirondelles - Dès 12 ans

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Collection : Roman Grand format
Date de parution : 01/02/2018
 Une héroïne très attachante, entre grands drames de la guerre et petits bouleversements de l'adolescence.
 
À treize ans, Lise a une passion pour les hirondelles. Mais lorsqu’elle les voit revenir à Paris en cet été 1942, les oiseaux ne parviennent pas à lui faire oublier... À treize ans, Lise a une passion pour les hirondelles. Mais lorsqu’elle les voit revenir à Paris en cet été 1942, les oiseaux ne parviennent pas à lui faire oublier les effets de l'Occupation : le rationnement, les sirènes, la fermeture de l’atelier de confection familial, l’attitude de ses amis... À treize ans, Lise a une passion pour les hirondelles. Mais lorsqu’elle les voit revenir à Paris en cet été 1942, les oiseaux ne parviennent pas à lui faire oublier les effets de l'Occupation : le rationnement, les sirènes, la fermeture de l’atelier de confection familial, l’attitude de ses amis depuis qu’elle porte une étoile jaune sur ses vêtements.
Le 16 juillet, Lise assiste à l'arrestation de toute sa famille. Elle se précipite au commissariat où on les a emmenés et parvient à sauver ses deux petits frères de la rafle du Vel' d'Hiv'. Mais elle n’a plus aucune nouvelle de leurs parents. Commence alors pour eux le long parcours des enfants cachés, parsemé d'angoisse et de dangers, de moments de doute et d’espoir.
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EAN : 9782092576069
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 140 x 210 mm
EAN : 9782092576069
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 140 x 210 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • polarjazz 24/06/2023
    De l'auteure, j'ai lu Max et les poissons que j'avais adoré. Est-ce le style qui m'a laissée sur ma faim dans Lise et les hirondelles ? Lise vit à paris avec ses parents et ses deux jeunes frères. Ils portent depuis quelques mois l'étoile jaune cousu à leur vêtement car ils sont juifs. Paris est occupé par les allemands, nous sommes en juillet 1942. La rafle du Vel d'Hiv est proche. Lise n'était pas avec sa famille lorsqu'elle a été emmenée avec d'autres familles juives par les policiers français. Armée de son courage mais de peur aussi, Lise va chercher ses frères au commissariat où ils sont retenus. Elle n'a pas pu sauver ses parents qui n'étaient pas là. Ils trouvent refuge chez des voisins qui les hébergent. Une vie amputée reprend, rythmée par les alertes et les arrestations. de peur d'être dénoncés, ils quittent Paris pendant les vacances d'été et rejoignent des cousins dans le nord de la France. Là bas, la vie est moins rude et le travail à la ferme n'exclue pas de s'amuser et de rire. Une sorte de parenthèse. Lise grandit très vite car elle est l'aînée de la fratrie. Les responsabilités l'accablent parfois car elle est encore une adolescente, pas encore tout à fait femme malgré l'apparition de ses premières règles. Lise écrit un journal pour que lorsque ses parents reviennent, ils prennent connaissance de tout ce qui s'est passé durant leur absence. Elle assiste à la libération de Paris et à la fin de la guerre en compagnie de Roger, un garçon qui lui donne son premier baiser. Elle découvre l'amour et sait intimement que ses parents ne reviendront pas. C'est un texte émouvant mais pas larmoyant. Lise est une jeune fille forte et intelligente. Le lecteur a accès à ses réflexions, ses sentiments, ses émotions. Cette histoire est vraiment adaptée pour la jeunesse.De l'auteure, j'ai lu Max et les poissons que j'avais adoré. Est-ce le style qui m'a laissée sur ma faim dans Lise et les hirondelles ? Lise vit à paris avec ses parents et ses deux jeunes frères. Ils portent depuis quelques mois l'étoile jaune cousu à leur vêtement car ils sont juifs. Paris est occupé par les allemands, nous sommes en juillet 1942. La rafle du Vel d'Hiv est proche. Lise n'était pas avec sa famille lorsqu'elle a été emmenée avec d'autres familles juives par les policiers français. Armée de son courage mais de peur aussi, Lise va chercher ses frères au commissariat où ils sont retenus. Elle n'a pas pu sauver ses parents qui n'étaient pas là. Ils trouvent refuge chez des voisins qui les hébergent. Une vie amputée reprend, rythmée par les alertes et les arrestations. de peur d'être dénoncés, ils quittent Paris pendant les vacances d'été et rejoignent des cousins dans le nord de la France. Là bas, la vie est moins rude et le travail à la ferme n'exclue pas de s'amuser et de rire. Une sorte de parenthèse. Lise grandit très vite car elle est l'aînée de la fratrie. Les responsabilités l'accablent parfois car elle...
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  • ligama44 13/12/2021
    Très beau texte de Sophie Adriansen à destination des ados, plus fouillé que "Max et les poissons". On suit Lise de l'été 42 à l'automne 44. Aidée par des voisins qui vont la cacher, elle va réussir grâce à son culot à sortir ses frères du commissariat qui est l'antichambre du Vel'd'Hiv'... mais n'arrivera pas à sauver ses parents.
  • marinedsvx 05/06/2019
    On suit ici l'histoire de Lise, 13 ans au début de la guerre à Paris. Elle et sa famille sont juifs et il faut savoir vivre caché quand on porte l'étoile jaune Mais heureusement, des adultes sont là pour les aider même si certains ne cachent pas si bien que cela leur avis sur eux. Etre adolescente durant la guerre n'est pas de tout repos. Il y les mauvais souvenirs mais aussi les bons.
  • Lizouzou 20/03/2019
    Été 1942, en plein cœur de la seconde guerre mondiale, Lise va assister à l'arrestation de sa famille. Elle se fait passer pour la fille de ses voisins, tout en cachant son étoile jaune avec ses cheveux. Elle réussira à récupérer ses deux frères et attend avec impatience des nouvelles de ses parents. Tout d'abord, il convient de dire que cette histoire est inspirée de la vie d'Hélène, une femme que l'auteure a connu au cours de sa vie. Cela ajoute une dimension authentique à cette histoire. Il n'est jamais évident d'aborder un sujet aussi difficile que la guerre, et pourtant, Sophie Adriansen y arrive particulièrement bien. Elle nous l'avait déjà démontré dans son roman "Max et les poissons", elle réitère son talent dans ce roman ci. L'auteure nous plonge dans le quotidien d'une adolescente juive au cours de la seconde guerre mondiale. Elle nous décrit le port de l'étoile jaune, le déclin des commerces tenus par des juifs, les rafles, le fait de devoir se cacher, les alertes, le rationnement, l'attitude des soldats allemands… et j'en passe ! Le lecteur arrive à se mettre à la douloureuse place de Lise, passionnée d'hirondelles. J'ai beaucoup aimé le style d'écriture de l'auteure. C'est un roman qui se lit rapidement et agréable à lire malgré l'atrocité de cette période de l'Histoire. Et enfin, les notes de l'auteure à la fin du livre m'ont particulièrement émue, surtout le dernier paragraphe.Été 1942, en plein cœur de la seconde guerre mondiale, Lise va assister à l'arrestation de sa famille. Elle se fait passer pour la fille de ses voisins, tout en cachant son étoile jaune avec ses cheveux. Elle réussira à récupérer ses deux frères et attend avec impatience des nouvelles de ses parents. Tout d'abord, il convient de dire que cette histoire est inspirée de la vie d'Hélène, une femme que l'auteure a connu au cours de sa vie. Cela ajoute une dimension authentique à cette histoire. Il n'est jamais évident d'aborder un sujet aussi difficile que la guerre, et pourtant, Sophie Adriansen y arrive particulièrement bien. Elle nous l'avait déjà démontré dans son roman "Max et les poissons", elle réitère son talent dans ce roman ci. L'auteure nous plonge dans le quotidien d'une adolescente juive au cours de la seconde guerre mondiale. Elle nous décrit le port de l'étoile jaune, le déclin des commerces tenus par des juifs, les rafles, le fait de devoir se cacher, les alertes, le rationnement, l'attitude des soldats allemands… et j'en passe ! Le lecteur arrive à se mettre à la douloureuse place de Lise, passionnée d'hirondelles. J'ai beaucoup aimé le style d'écriture de l'auteure. C'est un roman...
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  • Usva 13/03/2019
    La couverture est juste sublime, Tom Haugomat reste dans le même esprit que celui de Max et les poissons, avec des jeux d’ombres et des couleurs douces qui permettent une approche moins brute du sujet. Lise va très rapidement être confrontée à l’arrestation de ses parents et de son petit frère, ce dernier né sur le sol français qu’elle pourra sortir du commissariat, contrairement à ses parents. S’en suit le parcours de ces enfants, cachés chez des voisins, chez des cousins, confrontés à la peur et à l’absence, confrontés à l’idée que les êtres chers ne reviendront pas. Mais cette idée ne peut empêcher l’attente inconsciente et, comment dire à un petit garçon ce qu’est la mort, quand en plus celle-ci a touché ses parents ? Ce livre est beau, c’est indéniable, mais il est, je trouve, très orienté vers un lectorat féminin et cela m’a un peu déstabilisée. Il aborde des questions d’adolescentes, du corps qui change, ce à quoi je ne m’attendais pas, même si ça souligne encore plus le manque de la mère qui accompagne généralement lors de ces étapes de la vie. Une jolie lecture, qui ne m’aura pas autant émue que la précédente, mais qui plaira sans aucun doute à de jeunes lecteurs qui veulent lire sur le sujet sans que ce soit trop violent. Les contenus ne sont pas trop durs, Sophie Adriansen sait parfaitement doser ce qui doit être dit pour que le lecteur comprenne, car le drame se joue entre les lignes.La couverture est juste sublime, Tom Haugomat reste dans le même esprit que celui de Max et les poissons, avec des jeux d’ombres et des couleurs douces qui permettent une approche moins brute du sujet. Lise va très rapidement être confrontée à l’arrestation de ses parents et de son petit frère, ce dernier né sur le sol français qu’elle pourra sortir du commissariat, contrairement à ses parents. S’en suit le parcours de ces enfants, cachés chez des voisins, chez des cousins, confrontés à la peur et à l’absence, confrontés à l’idée que les êtres chers ne reviendront pas. Mais cette idée ne peut empêcher l’attente inconsciente et, comment dire à un petit garçon ce qu’est la mort, quand en plus celle-ci a touché ses parents ? Ce livre est beau, c’est indéniable, mais il est, je trouve, très orienté vers un lectorat féminin et cela m’a un peu déstabilisée. Il aborde des questions d’adolescentes, du corps qui change, ce à quoi je ne m’attendais pas, même si ça souligne encore plus le manque de la mère qui accompagne généralement lors de ces étapes de la vie. Une jolie lecture, qui ne m’aura pas autant émue que la précédente, mais qui plaira sans aucun...
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