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Losing my religion
Date de parution : 26/01/2017
Éditeurs :
Robert Laffont

Losing my religion

Date de parution : 26/01/2017

Parfois, on aimerait tourner la page mais les événements nous rattrapent…
À l’heure où les frères Kouachi décimaient la rédaction de Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015, Anna Erelle avait...

Parfois, on aimerait tourner la page mais les événements nous rattrapent…
À l’heure où les frères Kouachi décimaient la rédaction de Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015, Anna Erelle avait rendez-vous à deux pas, dans le café qui jouxte le Bataclan, pour enregistrer sa première interview dans le cadre de...

Parfois, on aimerait tourner la page mais les événements nous rattrapent…
À l’heure où les frères Kouachi décimaient la rédaction de Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015, Anna Erelle avait rendez-vous à deux pas, dans le café qui jouxte le Bataclan, pour enregistrer sa première interview dans le cadre de la promotion de son livre, Dans la peau d’une djihadiste. Dans l’effroi de cette tragique journée, l’émission fut reportée, mais les échos de ce livre, résultat d’une enquête à hauts risques sur les filières de recrutement numérique de Daesh, n’ont cessé, depuis, de résonner avec une actualité toujours plus sanglante.
Des origines de cette aventure hors norme, qui lui a apporté le meilleur comme le pire, à aujourd’hui, où sa colère et son inquiétude rejoignent celles de nombreux Français sur le fléau de l’islamisme, Anna Erelle revient sur ces deux années qui ont transformé sa vie, et notre monde. Deux années où rien, vraiment rien, n’a été un long fleuve tranquille…

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EAN : 9782221197264
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 234
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221197264
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 234
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • musemania 21/12/2020
    Il y a peu de temps, je vous parlais du document « Dans la peau d’une djihadiste » de Anna Erelle. La journaliste avait réalisé une enquête en ligne sur l’embrigadement de jeunes filles par des combattants de l’Etat Islamique afin qu’elles se rendent en Syrie pour les marier et en faire de la chair à canon. Sous la fausse identité de Mélodie, elle s’était immiscée au plus près d’un jeune jihadiste dont la seule motivation était de faire venir une jeune fille de France. Suite à ce livre, Anna Erelle (qui est un pseudonyme) a dû vivre clandestinement vu les nombreuses menaces de morts qu’elle a reçues. Dans « Losing my religion », qui n’est pas la suite du premier, on ne se trouve plus à proprement parler dans une enquête journalistique mais bien dans tout ce qui a entouré la parution du livre. Les conséquences que cette dernière a eu sur elle mais aussi sur sa vie professionnelle et personnelle sont ainsi évoquées. Vivre sous protection quotidienne policière signifie tirer un trait définitif sur sa vie d’avant, vivre dans la clandestinité, craindre pour sa vie à chaque instant. Intéressant à tout point de vue, l’auteure nous y démontre les difficultés que ce livre a engendré sur son quotidien, avec beaucoup de courage et de force, sans jamais tomber dans l’appel à la pitié.Il y a peu de temps, je vous parlais du document « Dans la peau d’une djihadiste » de Anna Erelle. La journaliste avait réalisé une enquête en ligne sur l’embrigadement de jeunes filles par des combattants de l’Etat Islamique afin qu’elles se rendent en Syrie pour les marier et en faire de la chair à canon. Sous la fausse identité de Mélodie, elle s’était immiscée au plus près d’un jeune jihadiste dont la seule motivation était de faire venir une jeune fille de France. Suite à ce livre, Anna Erelle (qui est un pseudonyme) a dû vivre clandestinement vu les nombreuses menaces de morts qu’elle a reçues. Dans « Losing my religion », qui n’est pas la suite du premier, on ne se trouve plus à proprement parler dans une enquête journalistique mais bien dans tout ce qui a entouré la parution du livre. Les conséquences que cette dernière a eu sur elle mais aussi sur sa vie professionnelle et personnelle sont ainsi évoquées. Vivre sous protection quotidienne policière signifie tirer un trait définitif sur sa vie d’avant, vivre dans la clandestinité, craindre pour sa vie à chaque instant. Intéressant à tout point de vue, l’auteure nous y démontre...
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  • ROUMANOFFBE 21/03/2018
    Journal de bord de l'auteur de la période entre mai 2014 et novembre 2016. Elle retrace ses états d'âme, les divers attentats en France, en Belgique et ailleurs, et les attaques diverses qu'elle a du affronter sans compter la réaction de son entourage et de ceux qui l'ont quitté.
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