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Lulu tout simplement Prix de la ville de Vannes 2020
Date de parution : 13/02/2020
Éditeurs :
Presses de la cité

Lulu tout simplement Prix de la ville de Vannes 2020

Date de parution : 13/02/2020
Un road-trip cocasse et romantique. Ludivine, qui accomplit pour d'autres, trop pressés ou empêchés, des pèlerinages, et qui dort à la belle étoile, voire force pour une nuit la porte d'une maison, entraîne avec elle un trompettiste lassé de tout, qui pour la suivre fera comme s'il allait à Compostelle.
Le roman a obtenu le Prix de la ville de Vannes 2020
A la suite d’un burn-out qui l’empêche de jouer, Baptiste, musicien de jazz d’un certain renom, se lance dans le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Sur l’insistance de ses filles, il a accepté de se... A la suite d’un burn-out qui l’empêche de jouer, Baptiste, musicien de jazz d’un certain renom, se lance dans le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Sur l’insistance de ses filles, il a accepté de se prêter à ce qu’elles espèrent être une thérapie efficace. Au tout début de son voyage, il rencontre à Sainte-Anne-d’Auray Ludivine Kirchner, une... A la suite d’un burn-out qui l’empêche de jouer, Baptiste, musicien de jazz d’un certain renom, se lance dans le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Sur l’insistance de ses filles, il a accepté de se prêter à ce qu’elles espèrent être une thérapie efficace. Au tout début de son voyage, il rencontre à Sainte-Anne-d’Auray Ludivine Kirchner, une fille plutôt étrange, bohème, fantasque, touchante, qui exerce un métier étonnant.
S’ensuit un road trip cocasse, déroutant – et romantique – qui va les mener d’un sanctuaire à l’autre, sur des chemins volontairement de traverse où l’on dort à la belle étoile, voire où l’on force pour une nuit la porte d’une maison ou la cabine d’un bateau.
Une histoire belle, drôle, et tragique.
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EAN : 9782258169302
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 320
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258169302
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 320
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

"Une histoire belle, drôle, et tragique."
Centre Presse

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Papyrusdunil 18/11/2020
    Baptiste, en quête de sens après le décès de sa femme et las de sa vie de musicien professionnel, décide de se lancer sur les conseils de ses deux filles, dans le pèlerinage de Compostelle. Alors qu'il démarre son périple, il rencontre une routarde atypique qui le détourne provisoirement de son itinéraire initial. La route, il va la prendre, mais le parcours il va le faire dans les pas de Lulu, cette femme étrange, un peu allumée, sincère, touchante, un peu fantasque, pleine de vie et de charme, ombrageuse et éprise de liberté, qui marche dans un but mystérieux autant qu'inattendu… Tout au long du périple, l'attachante mais déroutante Lulu et le triste et sombre Baptiste vont progressivement se confier, se dévoiler l'un à l'autre, jusqu'à nouer une idylle improbable et intense qui bouscule Baptiste, l'oblige à reconsidérer ses certitudes et l'emmène sur des chemins inexplorés. J'ai littéralement adoré cette histoire qui sort complètement des sentiers battus, c'est le cas de le dire, et qui se dévore avec gourmandise tant la plume d'Hervé Bellec est belle, son ton acerbe, humoristique, ironique ou naïf, désabusé et sans concession. Un récit lumineux et sombre, plein de profondeur et d'émotions qui met en scène deux humains extrêmement sensibles et émouvants. J'y ai trouvé des passages d'une réelle beauté, particulièrement ceux qui parlent d'amour. Ce livre, une très belle découverte grâce à la magie de Babelio et de ses infinies arcanes, mérite vraiment d'être lu. Baptiste, en quête de sens après le décès de sa femme et las de sa vie de musicien professionnel, décide de se lancer sur les conseils de ses deux filles, dans le pèlerinage de Compostelle. Alors qu'il démarre son périple, il rencontre une routarde atypique qui le détourne provisoirement de son itinéraire initial. La route, il va la prendre, mais le parcours il va le faire dans les pas de Lulu, cette femme étrange, un peu allumée, sincère, touchante, un peu fantasque, pleine de vie et de charme, ombrageuse et éprise de liberté, qui marche dans un but mystérieux autant qu'inattendu… Tout au long du périple, l'attachante mais déroutante Lulu et le triste et sombre Baptiste vont progressivement se confier, se dévoiler l'un à l'autre, jusqu'à nouer une idylle improbable et intense qui bouscule Baptiste, l'oblige à reconsidérer ses certitudes et l'emmène sur des chemins inexplorés. J'ai littéralement adoré cette histoire qui sort complètement des sentiers battus, c'est le cas de le dire, et qui se dévore avec gourmandise tant la plume d'Hervé Bellec est belle, son ton acerbe, humoristique, ironique ou naïf, désabusé et sans concession. Un récit lumineux et sombre, plein de profondeur et d'émotions qui met en scène deux humains...
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  • LadyDoubleH 15/08/2020
    Ce roman m’a sauté aux yeux le mois dernier sur une table de la librairie Dialogues, à Brest : Oh, un dessin de Paul Bloas ! – le talentueux (street) artiste brestois. Puis ce fut Oh, un roman d’Hervé Bellec ! Et au lu de la quatrième de couverture, après un Oh, c’est reparti de Brest à Compostelle ! Je l’ai ajouté avec enthousiasme à mon butin de vacances. Du Brestois Hervé Bellec, j’ai lu en juillet 2014 Garce d’Étoile, un récit de voyage truculent et plein d’âme, celui où il raconte comment un matin il a quitté son bistrot de la place Guérin à Brest en direction de Compostelle. 1700 kms d’ampoules aux pieds, de sac à dos trop lourd et de rencontres. C’était avant l’autoroute à touristes actuelle, un temps plus sauvage, et j’avais beaucoup aimé écouter, si l’on peut dire, cet ancien bistrotier musicien prof Brestois raconter son voyage en mots. Donc, Lulu tout simplement. Un roman, cette fois. Qui très vite m’a surpris et entraîné où je ne m’attendais pas. Un peu désappointée par le début, qui commence par la fin. Je ne suis pas vraiment adepte de ce type de construction. J’aime ne pas savoir où je vais, quand je me lance dans une histoire. Mais ici, l’important finalement, c’est le chemin. Baptiste Kerdéniel est un trompettiste fameux et renommé, en plein burn-out. Ses filles l’ont convaincu d’entreprendre un pèlerinage vers Compostelle, histoire de se retrouver. Pourquoi pas, après tout, ça ou autre chose, sait-on jamais… Alors il se lance, Baptiste, avec tout le matos du parfait randonneur de chez Décathlon sur le dos, un texto tous les soirs à ses filles qui punaisent son avancée sur une carte… Jusqu’à ce qu’un matin, à Ste-Anne-d’Auray, il croise les pas d’une femme étrange : Ludivine Kirchner. « Mais on peut aussi m’appeler Lulu. Lulu tout simplement. Ca me va ». Une jolie frimousse, des fringues improbables et tout un chapelet de grains de folie en bandoulière. « Une clocharde céleste, aurait écrit Jack Kerouac. Un ange vagabond ». Et c’est parti pour un voyage de quelques semaines « hors du temps. Pas vraiment hors du temps, j’exagère, mais plutôt à côté du temps, comme si j’avais suivi une route parallèle à celle qui m’était initialement et raisonnablement tracée ». Lulu tout simplement est un voyage en humanité dont j’ai apprécié le ton jamais manichéen. J’ai découvert avec curiosité et intérêt l’existence des quéreurs de pardon, sortes de « pèlerins à gage » datant du Moyen-Âge. L’histoire est originale et l’on y retrouve l’attachement de l’auteur pour les petites gens, son regard sur le monde, anti-conformiste et un peu rebelle. Il m’a manqué cependant un petit quelque chose pour vraiment m’attacher à Lulu, du coup je suis restée à la traîne, tout en appréciant ce bout de route ensemble. Je suis bien heureuse par cet avis de mettre un peu en lumière ce roman, passé plutôt inaperçu – la faute sans doute à sa parution peu de temps avant le confinement. « Prends tout en gré, ne te chaille de ton martyre. »Ce roman m’a sauté aux yeux le mois dernier sur une table de la librairie Dialogues, à Brest : Oh, un dessin de Paul Bloas ! – le talentueux (street) artiste brestois. Puis ce fut Oh, un roman d’Hervé Bellec ! Et au lu de la quatrième de couverture, après un Oh, c’est reparti de Brest à Compostelle ! Je l’ai ajouté avec enthousiasme à mon butin de vacances. Du Brestois Hervé Bellec, j’ai lu en juillet 2014 Garce d’Étoile, un récit de voyage truculent et plein d’âme, celui où il raconte comment un matin il a quitté son bistrot de la place Guérin à Brest en direction de Compostelle. 1700 kms d’ampoules aux pieds, de sac à dos trop lourd et de rencontres. C’était avant l’autoroute à touristes actuelle, un temps plus sauvage, et j’avais beaucoup aimé écouter, si l’on peut dire, cet ancien bistrotier musicien prof Brestois raconter son voyage en mots. Donc, Lulu tout simplement. Un roman, cette fois. Qui très vite m’a surpris et entraîné où je ne m’attendais pas. Un peu désappointée par le début, qui commence par la fin. Je ne suis pas vraiment adepte de ce type de construction. J’aime ne pas savoir où je...
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  • unbrindesyboulette 23/04/2020
    Quand J'ai lu sur la 4ème de couv Saint-Jacques-de-Compostelle, je me suis dit que je devais le lire. J'ai toujours été attirée par ce pèlerinage. J'ai toujours trouvé courageux ceux qui le font. Je suis attirée peut-être du fait de ma grand-mère qui rêvait de le faire mais ne l'a jamais fait... Et en plus de Saint-Jacques-de-Compostelle, le roman se passe en Bretagne, l'auteur est breton et j'ai su, par la suite, que la couverture, que je trouve très belle, est la peinture d'un breton. Et oui la Bretagne fait partie de mon ADN! Donc me voilà parti à la rencontre de Lulu et Baptiste. "Lulu tout simplement" est la rencontre improbable de deux personnes qui n'ont rien en commun au premier abord et qui n'auraient jamais dû se rencontrer. Mais la vie est faite d'inattendue et c'est le cas avec Baptiste et Ludivine. Deux êtres un peu paumés qui se cherchent au final, et c'est là leur point commun même si le moyen de le faire diffère: Baptiste veut faire Saint-Jacques-de-Compostelle et Lulu est "quéreur de pardon", les deux font un pèlerinage, Baptiste pour lui et Lulu pour les autres. Deux personnes différentes mais deux personnes qui se complètent: l'un un poil déprimé, l'autre sans filtre. L'un soucieux du conventionnel, l'autre qui se fiche totalement du regard des autres. Baptiste va suivre Lulu dans sa quête des pardons des autres. Il va traverser la Bretagne car il sent ce besoin d'être avec elle, de la comprendre, de prendre un peu d'elle. Lulu va être une bouffée d'oxygène pour Baptiste même si Lulu est parfois agaçante, trop pieuse, elle lui apporte du bien être. "Lulu tout simplement" porte si bien son titre. Car oui, Lulu est tout simplement elle. Lulu est une femme incroyable qui a trouvé sa voie après des années bien difficiles. Lulu est loin de toutes les conventions sociales. Lulu marche pour les autres. Marche pour son projet. Lulu prie beaucoup, va à la messe tous les dimanches, visite toutes les églises sur son chemin, fait totalement abstraction du matériel. Lulu est une femme libre, entièrement libre. Elle n'est attachée à rien. Elle n'a pas d'adresse. Lulu vit sa vie comme elle l'entend même dans sa façon de marcher sur la route. "Lulu tout simplement" est un road trip centré sur l'essentiel, centré sur le bien, centré sur l'amour. Ce roman est un beau voyage avec Lulu, une femme solaire qui donne une jolie leçon sur soi et les autres. L'auteur, Hervé Bellec, a écrit son roman sans surplus, avec sensibilité, avec des paysages bretons que j'affectionne tant. "Lulu tout simplement" est un roman que j'ai aimé lire sincèrement.Quand J'ai lu sur la 4ème de couv Saint-Jacques-de-Compostelle, je me suis dit que je devais le lire. J'ai toujours été attirée par ce pèlerinage. J'ai toujours trouvé courageux ceux qui le font. Je suis attirée peut-être du fait de ma grand-mère qui rêvait de le faire mais ne l'a jamais fait... Et en plus de Saint-Jacques-de-Compostelle, le roman se passe en Bretagne, l'auteur est breton et j'ai su, par la suite, que la couverture, que je trouve très belle, est la peinture d'un breton. Et oui la Bretagne fait partie de mon ADN! Donc me voilà parti à la rencontre de Lulu et Baptiste. "Lulu tout simplement" est la rencontre improbable de deux personnes qui n'ont rien en commun au premier abord et qui n'auraient jamais dû se rencontrer. Mais la vie est faite d'inattendue et c'est le cas avec Baptiste et Ludivine. Deux êtres un peu paumés qui se cherchent au final, et c'est là leur point commun même si le moyen de le faire diffère: Baptiste veut faire Saint-Jacques-de-Compostelle et Lulu est "quéreur de pardon", les deux font un pèlerinage, Baptiste pour lui et Lulu pour les autres. Deux personnes différentes mais deux personnes qui se complètent: l'un...
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  • madameduberry 19/04/2020
    Un peu étourdie, je referme cet ouvrage qui m'a fait crapahuter dans le centre- ouest de la France, de chemins creux en parkings de supermarchés, en passant par le clocher de l'Abbaye du Mont St Michel. Les personnages de ce road trip à la Française sont des anti héros à la trajectoire opposée, mais ne dit-on pas que les opposés s'attirent. Lui, musicien réputé mais perdant de sa propre vie, elle, mal partie dans sa vie mais libérée par ses refus comme par ses choix, tel celui, peu commun, d'exercer la profession de “Quereur de pardon”, charge anachronique consistant à effectuer les pèlerinages à la place de ceux qui ne peuvent ou n'osent s'y risquer, moyennant engagement moral et espèces sonnantes. A part ces contrats qui la lient à ceux qui la paient, elle est libre, Ludivine, bien plus que tous les assis,liés et immobilisés par leur travail, leurs crédits, leur famille, et le consumérisme qui les anesthésie.Ludivine, dite Lulu, se comporte elle comme quelqu'un qui a échappé à tous les dangers. Elle ne voit plus la raillerie, peu lui chaut. Elle ne s'en laisse pas compter face à l'autorité, dont elle sait merveilleusement débusquer les failles, rivant leur clou aux flics comme à son compagnon de route, lorsqu'ils se croient autorisés à la faire marcher du “bon côté “ de la route, réellement ou métaphoriquement.Fantasque et entêtée, elle n,à pas besoin qu,on la pousse ni qu,on la traîne, demande ou dit directement ce qu'elle désire, insupportable, incorruptible. Chargée d'un barda improbable, nippée comme la folle de Chaillot ou presque, elle grise et séduit le sexagénaire qui l'a rencontrée ,du haut de sa quarantaine , de de sa fantaisie, de son mysticisme, de son altruisme, de son mépris des conventions quand elles cachent la misère de l'égoïsme et du matérialisme. Lulu fait penser aux anorexiques , qui mangent du “rien”, objectant ainsi à la jouissance des biens. Ainsi pousse-t-elle volontiers un chariot qu'elle remplit à ras bord de biens de consommation hétéroclites, pour finalement l'abandonner au milieu de l'hyper, et acheter quatre pommes. On est finalement séduit, comme le narrateur, par la force physique et mentale de cette “femme du chemin et non fille des rues”. C'est bien elle qui dirige cette marche , cette quête de pardon, et son compagnon se voit constater que ces pérégrinations valent mieux que son propre pseudo pèlerinage à Compostelle. L'écriture de ce roman , aussi fortement descriptive qu'introspective , soutient parfaitement les personnages comme le récit ,cocasse, émouvant, picaresque, de leur cheminement commun et de sa conclusion. Je m'autorise un questionnement sur la construction du récit Tout en respectant le choix de l'auteur, à mon sens inaliénable, j'avoue que j'en aurais préféré une autre... Mais tel quel mis à part le choix de cette perspective de long flash back, j'ai aimé ce roman, et j'ai été prise par sa force narrative, et par la carrure de Lulu... tout simplement. Merci à Babelio et aux Presses de la Cité. Un peu étourdie, je referme cet ouvrage qui m'a fait crapahuter dans le centre- ouest de la France, de chemins creux en parkings de supermarchés, en passant par le clocher de l'Abbaye du Mont St Michel. Les personnages de ce road trip à la Française sont des anti héros à la trajectoire opposée, mais ne dit-on pas que les opposés s'attirent. Lui, musicien réputé mais perdant de sa propre vie, elle, mal partie dans sa vie mais libérée par ses refus comme par ses choix, tel celui, peu commun, d'exercer la profession de “Quereur de pardon”, charge anachronique consistant à effectuer les pèlerinages à la place de ceux qui ne peuvent ou n'osent s'y risquer, moyennant engagement moral et espèces sonnantes. A part ces contrats qui la lient à ceux qui la paient, elle est libre, Ludivine, bien plus que tous les assis,liés et immobilisés par leur travail, leurs crédits, leur famille, et le consumérisme qui les anesthésie.Ludivine, dite Lulu, se comporte elle comme quelqu'un qui a échappé à tous les dangers. Elle ne voit plus la raillerie, peu lui chaut. Elle ne s'en laisse pas compter face à l'autorité, dont elle sait merveilleusement débusquer les failles, rivant leur clou...
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  • majolo 18/04/2020
    Baptiste est musicien, mais n'aime plus jouer de musique. Son ex-femme vient de mourir accidentellement, et plus rien de semble avoir de goût. Poussé par ses deux filles, mais certainement pas par la Foi, il entreprend alors un chemin vers Compostelle. Très tôt, il rencontre Ludivine, qui veut qu'on l'appelle Lulu "tout simplement". Lulu est une "routarde", mais pas comme les autres. Elle ne fait d'ailleurs rien comme les autres, et elle ne tarde pas à détourner Baptiste de son chemin pour une virée qui bouleversera la vie de Baptiste.Fantasque, entière et libre, Lulu bouscule un Baptiste désabusé, grognon et éteint. C'est drôle, émouvant, triste aussi. J'ai trouvé ce roman très attachant à l'image des deux personnages et de la relation qu'ils nouent. Rien de grandiose, mais le ton est juste et j'ai été émue par cette histoire. Merci à Babelio de me l'avoir proposé !
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