Lisez! icon: Search engine
Mémoires d'un enfant du cinéma
Les années Première
Date de parution : 09/05/2019
Éditeurs :
Robert Laffont

Mémoires d'un enfant du cinéma

Les années Première

Date de parution : 09/05/2019
Marc Esposito raconte ses “années Première”, de 1976 à 1986, soit les dix premières années mythiques du célèbre magazine de cinéma. Une cavalcade pleine de vie, d’éclats de rire, de passion, au coeur d’une décennie flamboyante.

Il a grandi avec l’amour du cinéma chevillé au corps et voilà plus de 40 ans qu’il travaille “dans le cinéma”, d’abord comme journaliste, puis comme cinéaste. La période la...

Il a grandi avec l’amour du cinéma chevillé au corps et voilà plus de 40 ans qu’il travaille “dans le cinéma”, d’abord comme journaliste, puis comme cinéaste. La période la plus intense, la plus animée de sa vie est celle qu’il a vécue à la tête de Première, qu’il a...

Il a grandi avec l’amour du cinéma chevillé au corps et voilà plus de 40 ans qu’il travaille “dans le cinéma”, d’abord comme journaliste, puis comme cinéaste. La période la plus intense, la plus animée de sa vie est celle qu’il a vécue à la tête de Première, qu’il a porté vers le succès quand il était âgé d’à peine 30 ans. Ce magazine, pionnier du genre, qui s’adressait à un public de fans jeunes, curieux, passionnés, libres de tout esprit de chapelle et de tout préjugé, a bouleversé le monde de la cinéphilie.
Marc Esposito raconte cette fougueuse aventure, unique en son genre, et toutes les rencontres, toutes les amitiés, tous les élans amoureux, qui l’ont marquée. La plupart des stars de l’époque se bousculent dans les pages de ce livre, au faîte de leur gloire, dans l’éclat de leur jeunesse, incroyablement vivantes et vraies. Des villas du Festival de Cannes aux plateaux de tournage, on découvrira Depardieu, Dewaere, Adjani, Deneuve, Romy Schneider, Ventura, Montand, Belmondo, et les plus grands cinéastes de cette époque : Sautet, Blier, Pialat… Tous apparaissent ici comme on ne les a jamais vus.
Marc Esposito a toujours porté un regard singulier sur le cinéma, aussi rétif aux diktats de la bien-pensance cinéphile qu’à ceux du box-office. Ce livre audacieux et rock’n’roll, tour à tour drôle et touchant, participe du même esprit.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782221239315
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 552
Format : 1 x 215 mm
EAN : 9782221239315
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 552
Format : 1 x 215 mm

Ils en parlent

« Marc Esposito, journaliste et réalisateur, raconte dans Mémoires d’un enfant du cinéma les années qu’il a vécues, de 1976 à 1986, à la tête du magazine « Première ». Une dizaine d’années de passion et de cinéma, où passent les figures des comédiens de l’époque. Une décennie au coeur d’un journal fabriqué pour de jeunes fans par de jeunes cinéphiles. »
SUD OUEST

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Jeanlucky 19/05/2021
    Quelle joie de retrouver enfin la plume de Marc Esposito! Faut dire que ce mec, dès la création de Première en 1976, avec sa vision du cinéma proche de celle du grand public, m'avait enthousiasmé. A l'époque, je le considérais comme un grand frère, amateur des salles obscures, qui m'accompagnait, avec sa bande de journalistes, chaque mois dans mes choix cinématographiques. Le jour où il avait, ensuite, créé Studio, comme tant d'autres lecteurs, je l'avais d'ailleurs suivi sans hésiter. Plus tard, ses films m'ont aussi emballé. A ce propos, je me souviens du blog formidable dans lequel il nous a raconté, au jour le jour, pendant des semaines, toute la genèse du cœur des hommes. Quel bonheur, donc, que de pouvoir lire maintenant ces "Mémoires d'un enfant de cinéma". Au fil du récit, les souvenirs de lecture du magazine me reviennent en tête et je prends connaissance avec délectation des rencontres, amitiés, inimitiés, secrets de tournage, coups de gueule, amours, trahisons...qui ont émaillé le parcours de ce brillant journaliste durant la période "Première". Sans langue de bois, sans faux-fuyant, Marc Esposito nous séduit durant plus de cinq cents pages et nous fait vivre, avec délectation, des épisodes réels d'une époque, aujourd'hui, révolue. Un vrai régal pour qui a connu le début des années "Première".Quelle joie de retrouver enfin la plume de Marc Esposito! Faut dire que ce mec, dès la création de Première en 1976, avec sa vision du cinéma proche de celle du grand public, m'avait enthousiasmé. A l'époque, je le considérais comme un grand frère, amateur des salles obscures, qui m'accompagnait, avec sa bande de journalistes, chaque mois dans mes choix cinématographiques. Le jour où il avait, ensuite, créé Studio, comme tant d'autres lecteurs, je l'avais d'ailleurs suivi sans hésiter. Plus tard, ses films m'ont aussi emballé. A ce propos, je me souviens du blog formidable dans lequel il nous a raconté, au jour le jour, pendant des semaines, toute la genèse du cœur des hommes. Quel bonheur, donc, que de pouvoir lire maintenant ces "Mémoires d'un enfant de cinéma". Au fil du récit, les souvenirs de lecture du magazine me reviennent en tête et je prends connaissance avec délectation des rencontres, amitiés, inimitiés, secrets de tournage, coups de gueule, amours, trahisons...qui ont émaillé le parcours de ce brillant journaliste durant la période "Première". Sans langue de bois, sans faux-fuyant, Marc Esposito nous séduit durant plus de cinq cents pages et nous fait vivre, avec délectation, des épisodes réels d'une époque, aujourd'hui, révolue. Un vrai régal pour...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Tostaky0 06/08/2020
    Il m'est rarement arrivé (pour ne pas dire jamais) d'avoir un coup de coeur pour une autobiographie, mais là, c'est fait. Il faut dire que Marc Esposito partait avec un avantage certain. À 15 ans, c'est ce mec qui m'a fait découvrir le cinéma. Pas le cinéma dans son ensemble, non, ça, Pierre Tchernia avec son émission Monsieur Cinéma ou Patrick Brion avec son Ciné-Club du dimanche soir s'en étaient chargé. Avec le magazine Première qu'il a créé et géré de main de maître (avec son complice Jean-Pierre Lavoignat notamment) pendant 10 années, Esposito m'a informé chaque mois, les films, les acteurs, les coulisses de tournages, Cannes et j'en passe... Ces années là ont été, pour moi, les plus riches cinematographiquement parlant, c'est dans cette période que j'ai le plus fréquenté les salles obscures. Quel plaisir de se remémorer, avec lui, cette filmographie principalement française, il évoque dans ses Mémoires d'un enfant du cinéma, ses rencontres, ses amitiés, ses excès, ses fâcheries, ses joies, ses peines. Et ces affiches que je vois encore, Fort Saganne, Police, À nos amours, Greystoke, Tenue de soirée, Tchao pantin... Il se livre sans tabou. Ils crie son amour pour certains, il ne cache pas son mépris pour d'autres. Les gens qu'il aime, les acteurs, Depardieu, Dewaere, Coluche, Miou Miou, Deneuve, Lambert, les réalisateurs, Blier, Corneau, Pialat les producteurs, Toscan du Plantier, etc... Ceux avec qui il a connu quelques déboires,  Belmondo, Delon  Zidi... Parce que c'est un indépendant, un libertaire, il n'a pas de code, il ne respecte aucune loi, il n'accepte aucune contrainte, aucun chantage. Il veut faire (et il fera) de Première un magazine libre. Dans ce livre, il raconte tout ce qui a fait son succès. Comment les tirages sont passés de 60 000 à 450 000 en dix ans. Les rencontres, les échanges, les prises de tête, les soirées alcoolisées, la drogue, les rires et les larmes, la face cachée. C'est ça qui est génial, découvrir l'envers du décor. Les pressions auxquelles il a dû résister, les films qu'il a défendus bec et ongles contre vents et marées. Marc Esposito explique le cinéma qu'il défend, règle ses comptes avec le gratin intellectuelle du milieu, celui qui couronne des films que le public fuira, méprisant ceux pour qui selon lui cet art a été inventé, ces comédies, ces films d'action qui n'ont d'autre but que de distraire. Au sommet de sa gloire (si je peux dire) il va réaliser un autre rêve, créer un deuxième magazine, plus "luxueux", Studio. Là encore il nous raconte la genèse de cette folle aventure qui verra sa formidable histoire avec Première se terminer lamentablement. J'ai acheté Première pendant plus de 25 ans, je l'ai donc lu bien après le départ d'Esposito, je ne connaissais pas toute l'histoire, je suis ravi de l'avoir découverte dans ces mémoires. J'ai aimé la sincérité dont l'auteur fait preuve. Là, il n'y a pas de langue de bois et tant pis si ça ne plaît pas à tout le monde. Il n'y va pas avec le dos de la cuillère, le cinéma et les cinéastes  qui l'emmerdent, il les dénonce. (D'ailleurs, à ce propos, Marc, j'aimerai bien que vous changiez d'avis sur Paris Texas...). Un bouquin que je conseille pour tous ceux qui, comme moi, attendait avec impatience la sortie en kiosque du Magazine du cinéma (ainsi était sous-titré Première). Et franchement, quand je lis (p379)que pendant des années, Marc Esposito achetait les BD Akim, moi qui les ai dévoré, on était fait pour s'entendre... Bref, si vous ne l'avez pas encore compris, j'ai adoré Mémoires d'un enfant du cinéma et, gourmand que je suis, j'attends la suite, parce que là, on s'arrête en 1987, il s'en est passé des choses depuis, Marc, non ? Il m'est rarement arrivé (pour ne pas dire jamais) d'avoir un coup de coeur pour une autobiographie, mais là, c'est fait. Il faut dire que Marc Esposito partait avec un avantage certain. À 15 ans, c'est ce mec qui m'a fait découvrir le cinéma. Pas le cinéma dans son ensemble, non, ça, Pierre Tchernia avec son émission Monsieur Cinéma ou Patrick Brion avec son Ciné-Club du dimanche soir s'en étaient chargé. Avec le magazine Première qu'il a créé et géré de main de maître (avec son complice Jean-Pierre Lavoignat notamment) pendant 10 années, Esposito m'a informé chaque mois, les films, les acteurs, les coulisses de tournages, Cannes et j'en passe... Ces années là ont été, pour moi, les plus riches cinematographiquement parlant, c'est dans cette période que j'ai le plus fréquenté les salles obscures. Quel plaisir de se remémorer, avec lui, cette filmographie principalement française, il évoque dans ses Mémoires d'un enfant du cinéma, ses rencontres, ses amitiés, ses excès, ses fâcheries, ses joies, ses peines. Et ces affiches que je vois encore, Fort Saganne, Police, À nos amours, Greystoke, Tenue de soirée, Tchao pantin... Il se livre sans tabou. Ils crie son amour pour certains, il ne cache pas son mépris pour d'autres. Les gens...
    Lire la suite
    En lire moins
  • koatiraleur 14/05/2020
    Coup de coeur !!! pour les amateurs du cinéma, sans « conformisme cinéphilique » et « snobisme culturel » (dixit l’auteur) ! bref ça a été pour moi, un énorme coup de cœur ! cet auteur Marc Esposito (découvert au fil d’une chronique de Denis Parent « les bras m’en tombent »), créateur du magazine « Première » en 1976... relate sans langue de bois, le cinéma de ces années-là ! c’est sans filtre, mais c’est le cinéma que j’aime ! le cinéma sur lequel crachent certains intellos qui préfèrent se triturer vainement le cerveau sur des films soporifiques de trois heures mais qu’il est de bon ton d’avoir vu ! Il nous raconte, ses festivals de Cannes, ses amitiés avec les vedettes de l’époque, l’ego de certains réalisateurs, les frictions avec tel ou telle artiste parce qu’il (elle) ne fait pas la couv’ de Première ! J’ai adoré ce bouquin… maintenant, je ne suis pas certaine qu’il ait le même impact sur des lectrices ou lecteurs plus jeunes (j’avais 27 ans en 1976 et je lisais Première et je le lis encore aujourd’hui) ; mais cette balade dans le passé m’a rajeunie… Première, LE magazine de ciné compréhensible par le commun des mortels. Coup de coeur !!! pour les amateurs du cinéma, sans « conformisme cinéphilique » et « snobisme culturel » (dixit l’auteur) ! bref ça a été pour moi, un énorme coup de cœur ! cet auteur Marc Esposito (découvert au fil d’une chronique de Denis Parent « les bras m’en tombent »), créateur du magazine « Première » en 1976... relate sans langue de bois, le cinéma de ces années-là ! c’est sans filtre, mais c’est le cinéma que j’aime ! le cinéma sur lequel crachent certains intellos qui préfèrent se triturer vainement le cerveau sur des films soporifiques de trois heures mais qu’il est de bon ton d’avoir vu ! Il nous raconte, ses festivals de Cannes, ses amitiés avec les vedettes de l’époque, l’ego de certains réalisateurs, les frictions avec tel ou telle artiste parce qu’il (elle) ne fait pas la couv’ de Première ! J’ai adoré ce bouquin… maintenant, je ne suis pas certaine qu’il ait le même impact sur des lectrices ou lecteurs plus jeunes (j’avais 27 ans en 1976 et je lisais Première et je le lis encore aujourd’hui) ; mais cette balade dans le passé m’a rajeunie… Première, LE magazine de ciné...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Aliclo 28/06/2019
    Marc Esposito a cree le magazine Première à 24 ans. C’était en 1976, il y est resté 10 ans, comme guide de toute une génération de cinéphiles. Il nous raconte avec sa verve, son humour, et sa sensibilité, ses rencontres, quand le cinéma français était à son apogée. On y découvre au travers d’anecdotes inédites les acteurs qui ont fait cette époque: Depardieu, Ventura, Adjani, Dewaere, Deneuve, Coluche, Montand, Le Splendid... Cette foule sentimentale de Marc Esposito nous bouleverse, nous fait rire, et devient, au fil des chapitres, une petite musique qui nous reste longtemps en tête.
Abonnez-vous à la newsletter Robert Laffont
Les Éditions Robert Laffont publient de la littérature française et étrangère, des biographies, des témoignages, des mémoires, des romans policiers et d'espionnage, des livres de spiritualité ou encore des livres pratiques.
Chaque mois, recevez toutes les actualités de la maison en vous abonnant à notre newsletter.