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Monsieur le maire
Collection : Romans
Date de parution : 09/01/2020
Éditeurs :
le cherche midi

Monsieur le maire

Collection : Romans
Date de parution : 09/01/2020
Un homme face à son destin.
Lorsqu’il est élu maire du village qui l’a vu naître, dans les Ardennes, Paul jubile : il va agir concrètement et auprès des siens.
Quinze ans plus tard, le « terrain » et un...
Lorsqu’il est élu maire du village qui l’a vu naître, dans les Ardennes, Paul jubile : il va agir concrètement et auprès des siens.
Quinze ans plus tard, le « terrain » et un drame personnel l’ont usé. Sa vie bascule. Il est reconnu coupable d’un meurtre et condamné à vingt ans de prison...
Lorsqu’il est élu maire du village qui l’a vu naître, dans les Ardennes, Paul jubile : il va agir concrètement et auprès des siens.
Quinze ans plus tard, le « terrain » et un drame personnel l’ont usé. Sa vie bascule. Il est reconnu coupable d’un meurtre et condamné à vingt ans de prison ferme.
Comment a-t-il pu en arriver là ?
Sur le chemin qui le mène vers sa cellule, Paul se souvient, de son idéalisme avant la désillusion, d’une existence d’homme de plus en plus fragile.
Critique du monde politique à la française, Monsieur le maire retrace avec force et réalisme l’histoire si ordinaire et pourtant essentielle de ces citoyennes et citoyens qui vouent leur vie à leur commune.
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EAN : 9782749163918
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 140 x 220 mm
EAN : 9782749163918
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 140 x 220 mm

Ils en parlent

"Une histoire très vraie, très touchante" 
Nadine / Librairie l'Esprit Large

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • coquinnette1974 16/11/2021
    Voici mon retour de lecture sur Monsieur le maire de Pascal Grégoire. Quand il est élu maire du village qui l’a vu naître, dans les Ardennes, Paul jubile : il va consacrer sa vie aux autres. À son troisième mandat, le « terrain » et un drame personnel l’ont usé. Sa vie bascule. Il est reconnu coupable d’un meurtre et condamné à vingt ans de prison ferme. Comment a-t-il pu en arriver là ? Paul se souvient.. Monsieur le maire est une critique plutôt pertinente du monde politique à la française. Nous suivons Paul Morand, maire d'une petite ville des Ardennes. Nous découvrons comment il en est venu à exercer cette fonction, les difficultés rencontrées, les rivalités.. Jusqu'au moment où il commet l'impensable.. l'irréparable.. un meurtre dont il est retenu coupable.. Monsieur le maire est un roman que j'ai lu presque d'une traite. J'ai aimé découvrir le portrait de cet homme qui exerce la fonction de maire. L'auteur montre bien les difficultés d'un tel poste, comment cela est de plus en plus compliqué au fur et à mesure que les années passent. Je dois néanmoins vous avouer que je n'ai pas réellement accroché avec le personnage de Paul. Il ne m'a pas plu plus que ça. Ce qui n'est pas gênant en soi, mais j'aurais aimé ressentir un peu plus d'empathie à son égard. J'ai bien aimé, sans plus et je ne suis pas certaine d'en garder un grand souvenir. Ma note : 3.5 étoiles. Voici mon retour de lecture sur Monsieur le maire de Pascal Grégoire. Quand il est élu maire du village qui l’a vu naître, dans les Ardennes, Paul jubile : il va consacrer sa vie aux autres. À son troisième mandat, le « terrain » et un drame personnel l’ont usé. Sa vie bascule. Il est reconnu coupable d’un meurtre et condamné à vingt ans de prison ferme. Comment a-t-il pu en arriver là ? Paul se souvient.. Monsieur le maire est une critique plutôt pertinente du monde politique à la française. Nous suivons Paul Morand, maire d'une petite ville des Ardennes. Nous découvrons comment il en est venu à exercer cette fonction, les difficultés rencontrées, les rivalités.. Jusqu'au moment où il commet l'impensable.. l'irréparable.. un meurtre dont il est retenu coupable.. Monsieur le maire est un roman que j'ai lu presque d'une traite. J'ai aimé découvrir le portrait de cet homme qui exerce la fonction de maire. L'auteur montre bien les difficultés d'un tel poste, comment cela est de plus en plus compliqué au fur et à mesure que les années passent. Je dois néanmoins vous avouer que je n'ai pas réellement accroché avec le personnage de Paul. Il ne m'a pas plu plus que ça. Ce qui n'est pas...
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  • Fabrice_lireetlivres 15/01/2021
    Une petite ville, un Maire et un journaliste. Entre rapport de force et constat d’impuissance, c’est l’histoire de nombreux Maires de France qui se (dé)battent au quotidien pour que leur ville ne meure pas. Je le conseille d’autant plus si l’on s’intéresse aux arcanes du pouvoir.
  • guillaumelebiblio 14/06/2020
    Comment Paul Morand a pu être reconnu coupable d'un meurtre ? Comment ce maire d'une petite ville des Ardennes depuis 15 ans se retrouve condamné à 20 ans de prison pour le meurtre d'un journaliste ? Lui qui après ses études à Sciences-Po Paris a préféré revenir dans son village natal au lieu de faire de la Politique dans les hautes sphères parisiennes. Lui qui voulait faire de la politique autrement, faire de la politique de terrain au plus près de ses concitoyens, comment a-t-il pu en arriver à commettre cet acte barbare ? Dans le fourgon de police qui l'emmène en prison, Paul se souvient, Paul se remémore ces 15 dernières années. A quelques jours du premier tour des élections municipales, Pascal Grégoire nous entraîne dans le quotidien d'un maire. Avec une écriture fluide, sans fioritures, autant tendre que pleine de noirceur, il dresse le portrait (avec quelques simplicités dans le fonctionnement d'une mairie mais sans rien gêner à l'histoire au contraire même lui donnant une humanité plus grande) de ces hommes et femmes qui ont décidé de consacrer leur vie à la gestion de leur commune en essayant au mieux de contenter le quotidien de ses habitants quand problème humains, financiers mais surtout politiques s'accumulent au jour le jour. Mais c'est surtout le portrait d'un homme d'aujourd'hui, un homme qui essaye, un homme qui a envie, un homme qui veut faire bouger les choses mais entre impuissance et humanisme, un homme qui doit penser aux autres sans s'oublier. Un livre que je trouve intéressant, qui donne à réfléchir sur cette fonction souvent décriée, souvent mal comprise mais tellement essentielle.Comment Paul Morand a pu être reconnu coupable d'un meurtre ? Comment ce maire d'une petite ville des Ardennes depuis 15 ans se retrouve condamné à 20 ans de prison pour le meurtre d'un journaliste ? Lui qui après ses études à Sciences-Po Paris a préféré revenir dans son village natal au lieu de faire de la Politique dans les hautes sphères parisiennes. Lui qui voulait faire de la politique autrement, faire de la politique de terrain au plus près de ses concitoyens, comment a-t-il pu en arriver à commettre cet acte barbare ? Dans le fourgon de police qui l'emmène en prison, Paul se souvient, Paul se remémore ces 15 dernières années. A quelques jours du premier tour des élections municipales, Pascal Grégoire nous entraîne dans le quotidien d'un maire. Avec une écriture fluide, sans fioritures, autant tendre que pleine de noirceur, il dresse le portrait (avec quelques simplicités dans le fonctionnement d'une mairie mais sans rien gêner à l'histoire au contraire même lui donnant une humanité plus grande) de ces hommes et femmes qui ont décidé de consacrer leur vie à la gestion de leur commune en essayant au mieux de contenter le quotidien de ses habitants quand problème humains, financiers mais...
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  • hcdahlem 29/05/2020
    Le maire, le journaliste et la vérité Pour son second roman, Pascal Grégoire a choisi de se plonger dans le quotidien d’un maire d’une petite ville qui se retrouve devant une Cour d’assises. Un procès qui est aussi un cri d’alarme. L’histoire de Paul Morand, maire d’une petite ville des Ardennes, est à la fois un hommage à tous ces édiles qui se donnent corps et âme pour leur commune et un cri de détresse face à l’immensité de la tâche en comparaison de moyens souvent dérisoires. Pascal Grégoire, par la magie de l’écriture, en fait un suspense qui ne peut laisser le lecteur indifférent. Le récit débute avec le réquisitoire du procureur devant la Cour d’assises de Charleville-Mézières le 28 septembre 2016. En une phrase tout est dit, ou presque: «Monsieur le président, mesdames et messieurs les membres du tribunal, nous sommes ici aujourd’hui pour juger un homme, Paul Morand, maire de Lomieu, exerçant son troisième mandat, pour le meurtre de Jacques Gentil, journaliste à L’Ardennais républicain.» Et si le procureur entend juger l’acte et non l’homme, c’est bien la vie de ce maire qui est au cœur de ce roman auquel l’actualité – le rôle des maires dans la crise du coronavirus davantage que les élections municipales – donne encore davantage d’acuité. Paul Morand a choisi de s’intéresser à la chose publique, a intégré Sciences-Po à Paris mais, plutôt que de poursuivre une carrière de haut-fonctionnaire en intégrant l’ENA, a choisi de s’engager sur un terrain qu’il connaît bien, celui de ses Ardennes natales. Pour un salaire de 454 € par mois, il est «plombier du quotidien» et «médecin des âmes». Comme le souligne son avocat «être maire aujourd’hui représente une charge très lourde. Faire plus avec moins d’argent, être aux avant-postes, appliquer des lois décidées à Paris, être confronté aux drames humains, à la misère aussi. Combien de maires aujourd’hui démissionnent? Combien sont harassés, premiers de cordée d’une société qui va mal, au bord de l’explosion?» Au fil des ans, la chose s’est compliquée, la crise économique s’accompagnant de restrictions budgétaires là ou au contraire, il aura fallu davantage de crédits pour maintenir les services publics et pour une solidarité active. Le point de bascule se situe peut-être le jour où, sans doute contre l’avis d’une bonne partie de la population, il a voulu accueillir des réfugiés, bouleversé par cette photo d’Aylan, cette petit Syrien de trois ans mort sur une plage de Turquie. La trentaine d’immigrés qui débarquent lui valent de solides inimitiés, à commencer par celle du journaliste local qui le surnomme «le Merkel des Ardennes». Ce dernier va s’en donner à cœur-joie dans la surenchère et ne va pas rater une occasion pour dénigrer le maire, devenu son punching-ball. Une partie de football entre l’équipe du village et celle des réfugiés va dégénérer et s’en sera fini. Dans sa cellule, devant le tribunal et dans le fourgon qui le ramène en prison, Paul a le temps de se remémorer sa vie et son action, mais aussi de faire la somme de ses désillusions. Il ne sera qu’à moitié surpris quand le jugement sera prononcé… Ce qui fait tout l’intérêt du roman, c’est que Pascal Grégoire évite soigneusement l’écueil du manichéisme. Ni blanc, ni noir, c’est bien le roman du gris qu’il nous offre, de ces zones un peu floues où un mensonge pieux vaut mieux qu’un renoncement. Ce faisant, il montre avec éclat toute la fragilité d’un système et nous laisse réfléchir à ce que pourrait devenir une France dans laquelle les édiles renonceraient les uns après les autres à leur mission. Le maire, le journaliste et la vérité Pour son second roman, Pascal Grégoire a choisi de se plonger dans le quotidien d’un maire d’une petite ville qui se retrouve devant une Cour d’assises. Un procès qui est aussi un cri d’alarme. L’histoire de Paul Morand, maire d’une petite ville des Ardennes, est à la fois un hommage à tous ces édiles qui se donnent corps et âme pour leur commune et un cri de détresse face à l’immensité de la tâche en comparaison de moyens souvent dérisoires. Pascal Grégoire, par la magie de l’écriture, en fait un suspense qui ne peut laisser le lecteur indifférent. Le récit débute avec le réquisitoire du procureur devant la Cour d’assises de Charleville-Mézières le 28 septembre 2016. En une phrase tout est dit, ou presque: «Monsieur le président, mesdames et messieurs les membres du tribunal, nous sommes ici aujourd’hui pour juger un homme, Paul Morand, maire de Lomieu, exerçant son troisième mandat, pour le meurtre de Jacques Gentil, journaliste à L’Ardennais républicain.» Et si le procureur entend juger l’acte et non l’homme, c’est bien la vie de ce maire qui est au cœur de ce roman auquel l’actualité – le rôle des maires dans la...
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  • AMR_La_Pirate 05/05/2020
    Merci à #NetGalley France et aux éditions Le Cherche Midi pour l'envoi de ce second roman de Pascal Grégoire, intitulé Monsieur le Maire. La quatrième de couverture présente ce livre comme une critique du monde politique à la française, une illustration réaliste de l'histoire publique et individuelle, à la fois si ordinaire et essentielle de ces citoyennes et citoyens qui vouent leur vie à leur commune, au cours de mandats électifs. Ayant moi-même une courte expérience d'un mandat de première adjointe au maire dans un tout petit village (moins de 200 habitants), certes plus petit que celui dont il est question ici (1 352 habitants), ces questions et problématiques m'interpelaient forcément. Tout commence dans un tribunal ; le maire d'un village des Ardennes est jugé pour un homicide, condamné à de la prison ferme… Au cours de son transfert en fourgon cellulaire vers la prison, il se remémore son parcours et le tragique concours de circonstances qui l'ont entraîné jusque-là. Lorsqu'il était revenu dans le village qui l'a vu naître et qu'il en était devenu maire, Paul Morand était rempli d'idéal et de bonne volonté, prêt à se donner sans compter auprès de ses administrés. Quinze ans et deux réélections plus tard, il est devenu un homme usé, désillusionné, fragilisé, épuisé physiquement et moralement par les difficultés multiples de ses mandats et un drame personnel. Paul Grégoire s'est penché sur le quotidien des élus locaux, à la fois dans les infimes détails et anecdotes mais aussi en reprenant des exemples de sujets plus médiatisées comme le mariage pour tous, l'accueil des migrants ou des faits divers, tel ce commerçant qui abat un cambrioleur arabe… Certaines péripéties autour de marchés, de travaux, de voirie, etc… m'ont fait penser à des situations que j'ai moi-même connues. J'ai été particulièrement sensible au côté tragique et fataliste de ce roman, touchée par cet homme toujours aux premières loges, « dindon de la farce républicaine », dont la colère et le ressentiment enfoui venait de si loin. Même si le récit commence par la fin, avec sa condamnation, il y a dans ses souvenirs une réelle montée en puissance servie avec talent par l'auteur. Les personnages sont finement travaillés, avec un large spectre de nuances et de paradoxes… Seul le journaliste, catalyseur principal de la triste fin, car cause, moteur et conséquence de l'enchainement fatal, symbolise peut-être trop le méchant, le mauvais, une somme exponentielle de jalousie et de rancune… Pascal Grégoire a dédié son livre à tous les maires de France, en hommage à leur dévouement face aux difficultés grandissantes de leurs tâches, en réaction aussi devant les nombreuses démissions. Un roman humain, dérangeant, utile… https://www.facebook.com/piratedespal/ https://www.instagram.com/la_pirate_des_pal/ #Monsieurlemaire #NetGalleyFranceMerci à #NetGalley France et aux éditions Le Cherche Midi pour l'envoi de ce second roman de Pascal Grégoire, intitulé Monsieur le Maire. La quatrième de couverture présente ce livre comme une critique du monde politique à la française, une illustration réaliste de l'histoire publique et individuelle, à la fois si ordinaire et essentielle de ces citoyennes et citoyens qui vouent leur vie à leur commune, au cours de mandats électifs. Ayant moi-même une courte expérience d'un mandat de première adjointe au maire dans un tout petit village (moins de 200 habitants), certes plus petit que celui dont il est question ici (1 352 habitants), ces questions et problématiques m'interpelaient forcément. Tout commence dans un tribunal ; le maire d'un village des Ardennes est jugé pour un homicide, condamné à de la prison ferme… Au cours de son transfert en fourgon cellulaire vers la prison, il se remémore son parcours et le tragique concours de circonstances qui l'ont entraîné jusque-là. Lorsqu'il était revenu dans le village qui l'a vu naître et qu'il en était devenu maire, Paul Morand était rempli d'idéal et de bonne volonté, prêt à se donner sans compter auprès de ses administrés. Quinze ans et deux réélections plus tard, il...
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