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Ocean's songs NED
Collection : Reportages Documents
Date de parution : 26/11/2009
Éditeurs :
le cherche midi

Ocean's songs NED

Collection : Reportages Documents
Date de parution : 26/11/2009

Le BEST SELLER d'Olivier de Kersauson

« Prendre la mer, c'est tout sauf une fuite, c'est au contraire une discipline et une contrainte. Décider d'aller chevaucher les vagues, c'est une conquête et, pour conquérir, il faut...

« Prendre la mer, c'est tout sauf une fuite, c'est au contraire une discipline et une contrainte. Décider d'aller chevaucher les vagues, c'est une conquête et, pour conquérir, il faut partir. C'est l'extraordinaire tentation de l'immensité. La mer, c'est le coeur du monde. Vouloir visiter les océans, c'est aller se...

« Prendre la mer, c'est tout sauf une fuite, c'est au contraire une discipline et une contrainte. Décider d'aller chevaucher les vagues, c'est une conquête et, pour conquérir, il faut partir. C'est l'extraordinaire tentation de l'immensité. La mer, c'est le coeur du monde. Vouloir visiter les océans, c'est aller se frotter aux couleurs de l'absolu. Il m'a toujours semblé indécent de ne pas aller voir partout dans le monde. Il me fallait partir sur tous les océans, découvrir tous les ports... Pour moi, c'est vital : puisqu'on est dans le monde, il faut le courir. »

Partant du principe que l'homme libre part pour apprendre et revient pour rendre compte, Olivier de Kersauson a décidé de raconter sa géographie maritime. Il fait le portrait de ses mers comme il pourrait dresser le portrait d'une femme. Il nous révèle, surtout, son destin singulier de skipper d'exception. Pour la première fois peut-être, dans Ocean's Songs, il se dévoile.

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EAN : 9782749116853
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 264
Format : 140 x 220 mm
EAN : 9782749116853
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 264
Format : 140 x 220 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Erveine 28/08/2023
    Si nous l'aimions avant il n'y avait aucune raison pour qu'on ne l'en aimât pas davantage. Il est consistant par son aura, par son verbe et en plus il a ce regard de mer, calme ou agité, ça dépend ! Cette poésie magnifique témoigne qu'aucune de ses traversées ne lui a ravi l'attraction qu'il porte à tous ces horizons parcourus et qu'aucune mer, fût-t-elle sournoise dangereuse même, ne parviendra jamais à l'éloigner. Il est l'homme, fait de ses voyages et celui de ses aspirations. J'aime bien que l'on attribue à ce récit de la sensualité puisque son amour est incommensurable et que c'est à courir le monde que son cœur a été conquis. S'il vient nous le raconter, c'est un grand plaisir pour le lecteur de prendre le large avec lui pour découvrir sa géographie maritime.
  • le_Bison 10/07/2023
    C’est pas l’homme qui prend la mer… C’est avec cette pensée que j’embarque sur le Pen Duick, le Kriter ou le Geronimo. A son bord, l’amiral, seul ou en équipage. Entre deux escales, il fait une pause d’embruns pour se poser, seul sur un banc. Là, il regarde l’horizon, le ciel qui se couche dans l’océan, une musique qui le berce, le chant du vent. Ocean’s Songs. A quoi pense-t-il ? A d’autres latitudes, d’autres vents, des étoiles, à Eric Tabarly, à Alain Colas, à Florence Arthaud. L’homme garde le silence devant l’immensité de cette étendue. Par respect, par humilité. Assis sur son banc, il a un autre regard sur le monde. Dans la cabine de son commandement, il pose aussi ses yeux sur notre monde. Et si l’amiral n’avait pas été marin, je l’aurais imaginé peintre. A sa façon de décrire la mer. A sa façon de noter les nuances de gris, de bleu et de noir de l’océan. Il a l’œil du peintre. De sa Bretagne, Olivier de Kersauson me fait partager ses voyages, ses « tours du monde », avec ou sans escale, la Polynésie, les Antilles, de secondes terres qui accueillirent si bien ce breton. . Mais avant tout, OdK me fait partager tous les océans, ses dangers et ses couleurs, ses reflets et ses scintillements. Quelle aventure, ces portraits de mer à frissonner de froid et de peur. Avec ou sans vent, mais pour un marin, avec c’est toujours mieux. Un allier de poids, même s’il peut se retourner contre soi. De Cape Town au Cap Horn, naviguer ou mouiller, dans la solitude d’un océan, dans le déferlement d’un courant, dans le regard porté sur une étoile aperçue dans une trouée de nuages. Quelques instants de poésie que seuls la mer et le silence peuvent apporter.C’est pas l’homme qui prend la mer… C’est avec cette pensée que j’embarque sur le Pen Duick, le Kriter ou le Geronimo. A son bord, l’amiral, seul ou en équipage. Entre deux escales, il fait une pause d’embruns pour se poser, seul sur un banc. Là, il regarde l’horizon, le ciel qui se couche dans l’océan, une musique qui le berce, le chant du vent. Ocean’s Songs. A quoi pense-t-il ? A d’autres latitudes, d’autres vents, des étoiles, à Eric Tabarly, à Alain Colas, à Florence Arthaud. L’homme garde le silence devant l’immensité de cette étendue. Par respect, par humilité. Assis sur son banc, il a un autre regard sur le monde. Dans la cabine de son commandement, il pose aussi ses yeux sur notre monde. Et si l’amiral n’avait pas été marin, je l’aurais imaginé peintre. A sa façon de décrire la mer. A sa façon de noter les nuances de gris, de bleu et de noir de l’océan. Il a l’œil du peintre. De sa Bretagne, Olivier de Kersauson me fait partager ses voyages, ses « tours du monde », avec ou sans escale, la Polynésie, les Antilles, de secondes terres qui accueillirent si bien ce breton. . Mais...
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  • Voirac 05/12/2022
    LE TOUR DU MONDE : UN MAGASIN D’AVENTURES. Un livre très agréable à feuilleter, selon que l’on s’intéresse aux océans, aux escales et aux peuples rencontrés. Vus par un vieux loup de mer plein de sagesse qui aime la solitude. Misanthrope ? Pas sûr. On est en tout cas loin du cabotin des « Grosses Têtes », avec une écriture sensible et pleine de métaphores. Le marin a soif d’action : « j’ai l’impression que le temps m’est compté, que le monde est complexe, et que ma mémoire n’est pas encore pleine des choses, vues ou que j’aimerais voir. » Il a fait ses classes pendant huit ans, comme second d’Éric Tabarly sur les différents Pen Duick puis a roulé sa vague comme capitaine sur différents voiliers de légende du sloop Kriter 6 au maxi trimaran Géronimo. Le lecteur voyagera ainsi avec lui sur l’océan Indien : « cette toile de draps, mitée, méchante, bouche édentée à travers laquelle l’air chaud, siffle comme un percolateur, à la mer de Ross, l’entrepôt frigorifique, la machine à glaçons de l’Antarctique. » Sur le Pacifique : « C’est Wagner dans l’oreille ». L’Atlantique : « vers le sud le marin est porté par cet Alizée portugais qui va le poser jusqu’aux Canaries sur une route bleue », bien différente de celles de l’Atlantique Nord où il a perdu Kriter IV, trimaran de 23 m. La mer d’Irlande : « un immense broyeur, un pétrin maudit dont on sort moulu. » Et enfin, l’Eden polynésien, pays sans vanité, qui a une conscience profonde du « c’est pas grave », « ça n’a pas d’importance. » Une redécouverte du monde à travers les yeux d’un vrai marin.LE TOUR DU MONDE : UN MAGASIN D’AVENTURES. Un livre très agréable à feuilleter, selon que l’on s’intéresse aux océans, aux escales et aux peuples rencontrés. Vus par un vieux loup de mer plein de sagesse qui aime la solitude. Misanthrope ? Pas sûr. On est en tout cas loin du cabotin des « Grosses Têtes », avec une écriture sensible et pleine de métaphores. Le marin a soif d’action : « j’ai l’impression que le temps m’est compté, que le monde est complexe, et que ma mémoire n’est pas encore pleine des choses, vues ou que j’aimerais voir. » Il a fait ses classes pendant huit ans, comme second d’Éric Tabarly sur les différents Pen Duick puis a roulé sa vague comme capitaine sur différents voiliers de légende du sloop Kriter 6 au maxi trimaran Géronimo. Le lecteur voyagera ainsi avec lui sur l’océan Indien : « cette toile de draps, mitée, méchante, bouche édentée à travers laquelle l’air chaud, siffle comme un percolateur, à la mer de Ross, l’entrepôt frigorifique, la machine à glaçons de l’Antarctique. » Sur le Pacifique : « C’est Wagner dans l’oreille ». L’Atlantique : « vers le sud le marin est porté par cet Alizée...
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  • opheliecamelia 30/10/2022
    Qu'on adhère ou non au personnage caricaturale qu'il présente lors des émissions de radio ou plateaux télé, l'écriture d'Olivier de Kersauson a le dont de nous subjuguer, tant elle porte en elle l'essence même de la mer. Dans ce livre pas long récit de traversée en mer, ni de conseils techniques de navigation. Mais c'est plutôt une succession de petites de réflexions sur son rapport à la mer, le voyage, et le statu de voyageur face à celui de touriste... que l'Amiral nous offre, le tout porté par sa plume délicate, pudique et poétique .
  • Wyoming 22/08/2022
    Merveilleux Olivier de Kersauson, grand navigateur, bourru, capable d'aligner des mots d'une sensibilité étonnante aussi bien pour parler de la mer et de son infinité que de l’homme, celui qu’il est, communiquant ses certitudes et ses doutes, ceux qu’il côtoie, essentiellement en mer mais aussi sur terre. Kersauzon, c’est l’homme libre, baudelairien, qui chérit la mer, toutes les mers et tous les océans où il emmène ses lecteurs qu’ils aient entendu ou non l’appel du grand large, et qui ressentiront dans tous les cas ce qu’il exprime dans ces lignes, avec vigueur, pudeur, sincérité. Et puis, il y a dans ce livre l’évocation de cette nuit où il apprend en mer la mort de Tabarly et nous fait partager sa peine et même sa prière. C’est le marin et l’humain qui souffre de la disparition de celui qui était la référence, celui qui domptait vent et mer qui l’emportèrent vers son linceul. Ce chant de l’océan offert par Olivier de Kezsauzon est celui qu’entendront parfaitement tous les solitaires, un chant qui vient des vagues, de tous les marins perdus, plus langoureux que celui des sirènes d’Ulysse, qui nous entraîne pour de trop brèves pages à la suite de ce grand navigateur.
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