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Orages sur Calcutta
Date de parution : 17/03/2005
Éditeurs :
Presses de la cité

Orages sur Calcutta

Date de parution : 17/03/2005

Orages sur Calcutta est une plongée dans l'Inde mystérieuse, un pays dont les couleurs, les senteurs, la magie exercent un charme irrésistible mais qui peut être la proie de passions dévastatrices.

Depuis les années 1920, le nationalisme indien incarné par le Mahatma Gandhi progresse et la révolte gronde contre l'Empire britannique. Aussi, lorsqu'éclate la Seconde Guerre mondiale, les antagonismes ne font que...

Depuis les années 1920, le nationalisme indien incarné par le Mahatma Gandhi progresse et la révolte gronde contre l'Empire britannique. Aussi, lorsqu'éclate la Seconde Guerre mondiale, les antagonismes ne font que s'exacerber. Entre Sanjay Pradesh et son frère, Mardukar, récemment revenu d'Angleterre où il a fait des études de droit, une...

Depuis les années 1920, le nationalisme indien incarné par le Mahatma Gandhi progresse et la révolte gronde contre l'Empire britannique. Aussi, lorsqu'éclate la Seconde Guerre mondiale, les antagonismes ne font que s'exacerber. Entre Sanjay Pradesh et son frère, Mardukar, récemment revenu d'Angleterre où il a fait des études de droit, une forte opposition se fait jour. Autant l'aîné, Sanjay, qui a repris la fabrique de cigarettes familiale, se montre modéré, autant Mardukar ne craint pas d'afficher son radicalisme. Le fossé entre les frères devient un véritable gouffre lorsque Mardukar apprend la liaison de Sanjay avec Victoria O'Grady, cousine du vice-roi des Indes…

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EAN : 9782258065000
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 420
Format : 155 x 240 mm
EAN : 9782258065000
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 420
Format : 155 x 240 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lalivrophile 24/09/2012
    Ce roman mêle amour et énigme sur fond d'histoire. Bien sûr, certaines choses sont un peu faciles... par exemple, le monde que refuse Victoria paraît odieux, surtout les personnages pleins de fausseté et de convoitise qui y gravitent. Il est vrai que ce monde est vu à travers les yeux de Victoria qui en a tellement assez qu'elle n'en voit que les mauvais côtés. L'auteur corrige quelque peu le tir vers la fin, en montrant des personnages qui ne sont pas exactement pareils, et ne réagissent pas de manière semblable. Ce manichéisme ne m'a pas trop gênée, d'abord parce que certains colons devaient sûrement être ainsi: étalant avec morgue leur luxe, pensant que tout leur était dû, etc. D'autre part, l'auteur décrit très bien ce pays où tout était à deux vitesses, ou le faste côtoyait l'extrême pauvreté. La structure linéaire de l'intrigue me convient. Il y a bien quelques ellipses, mais elles évitent des lenteurs, donc elles ne sont pas malvenues. Moi qui trouve souvent que les prologues sont inutiles, voire desservent le roman, ici, je pense que l'introduction est pertinente: elle symbolise l'attachement entre les deux frères, et le lecteur y repensera peut-être alors que Sanjay et Mardukar se heurteront parfois, pendant le roman. [...] Lire la suite sur:Ce roman mêle amour et énigme sur fond d'histoire. Bien sûr, certaines choses sont un peu faciles... par exemple, le monde que refuse Victoria paraît odieux, surtout les personnages pleins de fausseté et de convoitise qui y gravitent. Il est vrai que ce monde est vu à travers les yeux de Victoria qui en a tellement assez qu'elle n'en voit que les mauvais côtés. L'auteur corrige quelque peu le tir vers la fin, en montrant des personnages qui ne sont pas exactement pareils, et ne réagissent pas de manière semblable. Ce manichéisme ne m'a pas trop gênée, d'abord parce que certains colons devaient sûrement être ainsi: étalant avec morgue leur luxe, pensant que tout leur était dû, etc. D'autre part, l'auteur décrit très bien ce pays où tout était à deux vitesses, ou le faste côtoyait l'extrême pauvreté. La structure linéaire de l'intrigue me convient. Il y a bien quelques ellipses, mais elles évitent des lenteurs, donc elles ne sont pas malvenues. Moi qui trouve souvent que les prologues sont inutiles, voire desservent le roman, ici, je pense que l'introduction est pertinente: elle symbolise l'attachement entre les deux frères, et le lecteur y repensera peut-être alors que Sanjay et Mardukar se...
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