Lisez! icon: Search engine
Servir les riches
Les domestiques chez les grandes fortunes
Collection : SH / L'envers des faits
Date de parution : 22/09/2022
Éditeurs :
La Découverte

Servir les riches

Les domestiques chez les grandes fortunes

Collection : SH / L'envers des faits
Date de parution : 22/09/2022
Derrière les façades de luxueux immeubles parisiens, les immenses grilles de châteaux, les baies vitrées de vastes villas de la Côte d’Azur, se cache un personnel invisible mais présent quotidiennement... Derrière les façades de luxueux immeubles parisiens, les immenses grilles de châteaux, les baies vitrées de vastes villas de la Côte d’Azur, se cache un personnel invisible mais présent quotidiennement au service des grandes fortunes. Gouvernantes, majordomes, femmes de chambre et de ménage, lingères, nannies, cuisiniers ou chauffeurs travaillent du... Derrière les façades de luxueux immeubles parisiens, les immenses grilles de châteaux, les baies vitrées de vastes villas de la Côte d’Azur, se cache un personnel invisible mais présent quotidiennement au service des grandes fortunes. Gouvernantes, majordomes, femmes de chambre et de ménage, lingères, nannies, cuisiniers ou chauffeurs travaillent du matin au soir, et souvent la nuit, pour satisfaire les besoins et désirs des millionnaires qui les emploient à leur domicile.
En s’appuyant sur une enquête immersive de plusieurs années, ce livre lève le voile sur les relations quotidiennes entre ceux qui servent et ceux qui sont servis. Ce faisant, il éclaire les ressorts d’une cohabitation socialement improbable, faite de domination et de résistances. Elle-même prise dans ces relations, en travaillant un temps comme domestique, Alizée Delpierre montre comment une certaine « exploitation dorée » peut faire rêver des femmes et des hommes qui y voient une réelle opportunité d’ascension sociale. Du côté des grandes fortunes, déléguer toutes les tâches ingrates demeure essentiel pour consolider leur pouvoir et jouir à plein de leur capital. Elles sont prêtes à tout pour fidéliser leurs domestiques et conserver ce privilège de classe, pour le meilleur comme pour le pire.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782348069024
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 135 x 220 mm
EAN : 9782348069024
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 135 x 220 mm

Ils en parlent

Ce sont des théâtres où les pièces se jouent à huis clos. Dans ces grandes maisons au calme apparent, les joies succèdent aux drames, et la comédie humaine s’exprime à plein dans un face-à-face entre grandes fortunes et domestiques. Durant plusieurs années, la sociologue Alizée Delpierre a poussé les portes de prestigieuses demeures pour donner la parole aux gouvernantes, aux majordomes, aux cuisiniers et autres nannies, mais aussi à leurs patrons. De cette enquête fouillée elle a tiré un essai, Servir les riches (La Découverte), qui offre une plongée saisissante dans le monde de la domesticité.
François Desnoyers / Le Monde

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • PaulineAgatheFaustine 04/09/2023
    La lecture de cette ouvrage a été fort enrichissante, et, empreinte de nouvelles voies de réflexions par rapport à mes études. Je suis amenée à devoir lire, des livres de sociologie, psychologie… dans le cadre de mes études. Il est agréable de voir, que l’on peut, belle et bien écrire un ouvrage documenter, claire, précis …. et avoir une lecture au allure d’enchantement !
  • iris29 20/05/2023
    #9835; Master and servant..#9835; Elle cherchait un job étudiant, elle sera nounou dans une riche famille, prendra des notes, gardera le contact avec patrons et domesticité, suivra deux écoles pour apprendre à servir les riches et finira par en faire son sujet de thése de doctorat. Ce livre est une version diluée de ce travail de fourmi, réalisé sur des années et sur plusieurs continents... C'est que les riches, voyagent, ont plusieurs maisons, et il leur faut du personnel pour gérer tout ce qu'ils n'ont pas la possibilté, le temps ou l'envie de gérer. Ils déléguent donc, à des majordomes, cuisiniers, bonnes à tout faire, nounous, chauffeurs, jardiniers... Que font-ils de ce temps dégagé ? Et bien : ils ne font rien ou travaillent beaucoup, beaucoup - (Je pense à cette femme chef d'entreprise ,mariée à un tradder ,qui ,la semaine bosse au moins 10 h par jour et qui le dimanche,au lieu de s'occuper de ses enfants et voir son mari, s'occupe d'un comité pour un musée...). Je pense à l'inverse, à cette femme au foyer russe mais vivant à Paris, qui demande à travers la porte à sa bonne, un jus de fruit, pas capable de presser une orange ! Orange, que... #9835; Master and servant..#9835; Elle cherchait un job étudiant, elle sera nounou dans une riche famille, prendra des notes, gardera le contact avec patrons et domesticité, suivra deux écoles pour apprendre à servir les riches et finira par en faire son sujet de thése de doctorat. Ce livre est une version diluée de ce travail de fourmi, réalisé sur des années et sur plusieurs continents... C'est que les riches, voyagent, ont plusieurs maisons, et il leur faut du personnel pour gérer tout ce qu'ils n'ont pas la possibilté, le temps ou l'envie de gérer. Ils déléguent donc, à des majordomes, cuisiniers, bonnes à tout faire, nounous, chauffeurs, jardiniers... Que font-ils de ce temps dégagé ? Et bien : ils ne font rien ou travaillent beaucoup, beaucoup - (Je pense à cette femme chef d'entreprise ,mariée à un tradder ,qui ,la semaine bosse au moins 10 h par jour et qui le dimanche,au lieu de s'occuper de ses enfants et voir son mari, s'occupe d'un comité pour un musée...). Je pense à l'inverse, à cette femme au foyer russe mais vivant à Paris, qui demande à travers la porte à sa bonne, un jus de fruit, pas capable de presser une orange ! Orange, que tient à sa disposition, sa bonne ainsi qu'un citron, et un pamplemouse au cas, où sa patronne choisirait l'un plutôt que l'autre ! Les patrons déléguent pour mieux sociabiliser aussi , ils reçoivent ou sont reçus, afin d'étendre leur réseau et ainsi maintenir leur niveau de vie... Ils sont tradders, chefs d'entreprise, hauts fonctionaires d'état, patrons du Cac40, aristocrates, héritiers... Du côté des patrons, on a "l'impression " de bien traiter le "petit" personnel, mais qu'en est-il vraiment ? Les domestiques sont souvent mieux payés que s'ils faisaient le même job pour une entreprise, mais tous ne comptent pas leurs heures, alors l'un dans l'autre, ils sont à majorité perdants... Ah mais, ils sont logés, nourris, reçoivent des cadeaux, ou des primes ! Mais bien souvent ce n'est que la face visible. Souvent le patron ne déclare qu'un mi-temps, ou ne déclare rien, préférant payer au black des étrangers sans papiers, qui de toute façon ont fui une vie bien plus misérable dans leurs pays et ont l'impression d'avoir gagné au loto... Un autre patron déclare frauduleusement son domestique comme employé dans un de ses magasins... Certains employés n'ont aucune garantie de retraite , mais ont , par contre, la possibilité de perdre leur travail du jour au lendemain.Ils ont des journées qui n'en finissent pas (les 35h sont inconnues) . Ils habitent souvent près ou au domicile du patron, et ne décrochent jamais. Aussi pour certains, ce n'est pas avec quatre pauvres dimanches par mois, qu'ils vont avoir une vie de famille ou des amis... Beaucoup sont maltraités. Certains ont l'impression de vivre la vie de leurs patrons, ont l'impression de faire partie de la famille ou d'être ami , la chute n'en sera que plus brutale. Il arrive que certains patrons soient plus que correct. Je pense à ce majordome payé 15 000€ par mois qui en échange, gére tout pour lui, et doit le suivre partout , mais qui a réussi à acquérir un véritable patrimoine immobilier, conseillé par son patron, qui n'a pas ménagé sa peine... C'est la seule "jolie histoire" de cet essai... A la fin du livre , on est un peu écoeurés tout de même par le comportement des grandes fortunes dont certains sans vergogne , pratiquent l'esclavage "moderne"... Même pas peur des contrôles sur les conditions de travail ! Il n'y a pas assez de fonctionnaires et puis ils connaissent du beau monde ou ont les moyens de s'en sortir grace aux meilleurs avocats... A la fin de cet essai, on se dit aussi, qu'entre les voyages d'affaires, les voyages plaisir, les barraques sur tous les continents, l'écologie, avec les grandes fortunes, a du mauvais sang à se faire... Un livre très instructif et très agréable à lire. PS: au début du livre, l'auteure parle de livres et films qui illustrent une révolte de la domesticité. Elle cite" La Cérémonie "de Claude Chabrol, en oubliant qu'au départ c'est tout de même un roman de Ruth Rendell " L'analphabéte", cela m'a chagrinnée, j'aime beaucoup Ruth Rendll...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Luniver 11/02/2023
    Comment vivent les domestiques aujourd’hui ? Dans notre imaginaire, les bonnes en tenue noire et petit tablier blanc, ainsi que les majordomes en queue de pie portant un plateau d’une seule main, semblent appartenir au passé. Les grandes richesses continuent pourtant d’avoir du personnel de maison, et ce livre, entre reportage et essai sociologique, nous dévoile ce qui se passe dans ces grandes maisons inaccessibles. La première chose qui frappe, c’est le sentiment de reconnaissance des domestiques envers leurs patrons : vivre dans des lieux inaccessibles à leur classe sociale, apprendre à leur contact (les codes sociaux, le « bon goût », gérer son argent, …). L’identification aux patrons est forte : on remarque dans les discours des « nous » qui incluent les riches et leurs domestiques, contre le reste de la société moins fortunée. Que ce soient chez les jeunes diplômés (car oui, désormais on peut être BAC+5 et servir les grandes fortunes) ou chez les immigrés qui parviennent à se faire embaucher, le discours est le même : « quelle chance ! » d’avoir un bon salaire, le logement et le repas offert, et des petits cadeaux à la pelle. Du côté des patrons, même discours : « ils font partie de la famille » ou « je les considère comme mes enfants ».... Comment vivent les domestiques aujourd’hui ? Dans notre imaginaire, les bonnes en tenue noire et petit tablier blanc, ainsi que les majordomes en queue de pie portant un plateau d’une seule main, semblent appartenir au passé. Les grandes richesses continuent pourtant d’avoir du personnel de maison, et ce livre, entre reportage et essai sociologique, nous dévoile ce qui se passe dans ces grandes maisons inaccessibles. La première chose qui frappe, c’est le sentiment de reconnaissance des domestiques envers leurs patrons : vivre dans des lieux inaccessibles à leur classe sociale, apprendre à leur contact (les codes sociaux, le « bon goût », gérer son argent, …). L’identification aux patrons est forte : on remarque dans les discours des « nous » qui incluent les riches et leurs domestiques, contre le reste de la société moins fortunée. Que ce soient chez les jeunes diplômés (car oui, désormais on peut être BAC+5 et servir les grandes fortunes) ou chez les immigrés qui parviennent à se faire embaucher, le discours est le même : « quelle chance ! » d’avoir un bon salaire, le logement et le repas offert, et des petits cadeaux à la pelle. Du côté des patrons, même discours : « ils font partie de la famille » ou « je les considère comme mes enfants ». A priori donc, c’est du gagnant-gagnant. Cette belle vitrine se fissure pourtant au fur et à mesure du récit. « Faire partie de la famille », ce n’est en fait pas le bon plan. Car être logé, nourri et recevoir des cadeaux, ce n’est pas la même chose que percevoir seulement un salaire : on entre dans une logique de don et contre-don, et le domestique doit « rendre la pareille » avec un dévouement sans borne. Après tout, quand on aide un ami à déménager, on ne négocie pas des pauses régulières et un strict respect des règles de sécurité. Et la relation ici est profondément asymétrique : si l’employé se sent très chanceux, redevable et n’ose rien réclamer, l’employeur n’hésite pas à changer de domestique au premier relâchement. D’autres pratiques sont très déshumanisantes. J’ai été assez frappé par le racisme assumé des riches : « les noires sont costaudes et travaillent beaucoup », « les arabes cuisinent bien mais sentent mauvais », « les asiatiques sont fourbes ». On renomme aussi les nouveaux employés avec les prénoms des précédents, pour ne pas devoir se fatiguer à les apprendre. On remarque aussi un profond isolement social des domestiques : avec quelques heures de sommeil par nuit et un seul jour de congé par mois, difficile de tisser ou d’entretenir des liens. L’employeur devient donc effectivement la seule « famille » qu’ils leur restent, car les relations deviennent impossibles avec le monde extérieur. Pourquoi ces domestiques restent-ils donc à leur service ? L’effet « cage dorée » est très marquant. En partant, ces personnes quitteraient un emploi dur, abusif mais bien payé pour un emploi dur, abusif et mal payé. Les contrats de travail sont généralement faits pour être payé un maximum au noir, ce qui signifie un droit au chômage presque nul et une retraite ridicule. Les personnes immigrées ne sont pas certaines de pouvoir rester dans le pays si elles perdent leur travail. Certains employés viennent des gros chantiers ou de la prostitution de rue : faire le ménage et supporter des caprices peut sembler un sort plus doux en comparaison. Si on avait l’impression d’un double jeu de dupes au départ (certains domestiques semblent penser « les avoir » en jouant le rôle qu’ils attendaient d’eux), on constate que comme toujours dans ces situations, les riches s’en sortent mieux que les pauvres.
    Lire la suite
    En lire moins
  • som 26/12/2022
    Enquête sociologique passionnante portant sur la condition de domestiques chez les grandes fortunes. A la faveur de son cursus universitaire et de cette publication, Alizée Delpierre se fait embaucher par une famille plus qu’aisée. Elle y complète ses observations de terrain par de nombreux recueils de témoignages passés au tamis de plusieurs données chiffrées. Derrière les façades d’immeubles cossus parisiens, de villas méditerranéennes ou de luxueux chalets alpins se dissimulent des relations aussi intenses que complexes entre des gouvernants et des gouvernés. A la fois intendants, cuisiniers ou chauffeurs, des centaines d’hommes et de femmes de basse condition partagent la vie quotidienne et l’intimité des plus riches. Entre dépendance et complicité, séduction et répulsion, ces liens de domesticité renvoient également à des questions de confiance en autrui, de possibilité d’ascension sociale qui ne sont parfois que l’autre face de la soumission et d’une solitude sans nom. Les nombreux entretiens avec les deux parties donnent une perspective étourdissante, souvent troublante, sur cette réalité singulière.
  • babel95 22/12/2022
    « Penser l'envers des faits, c'est donner à voir les ressorts les mieux dissimulés du monde social, en restituant toute son épaisseur humaine ». Servir les riches : les domestiques chez les grandes fortunes, d'Alizée Delpierre, fait partie de la collection « L'envers des faits », des éditions La Découverte. L'auteur, sociologue, chercheuse au Centre de sociologie des organisations, s'est plus particulièrement intéressée aux domesticités, aux grandes fortunes et aux travailleuses immigrées. Servir les riches est une enquête sociologique qui a pour but d'étudier les domestiques et les riches qui les emploient ; Alizée Delpierre a réalisé, sur une période de plusieurs années, de nombreux entretiens avec les domestiques et leurs patrons. Elle a également travaillé « en immersion » comme domestique dans plusieurs familles. Elle a pu pénétrer ce monde clos, faire la connaissance de domestiques, recueillir le témoignage de gouvernantes, femmes de chambre et de ménage, lingères, nannies, majordomes, cuisinières et chauffeurs, autant de personnes invisibles, dont on ne connaît pas le nombre exact. Ces domestiques occupent en général une activité à temps plein ils sont à la disposition de leurs employeurs et enchaînent les heures de travail, ne disposant que de quelques jours de repos par mois. En échange... « Penser l'envers des faits, c'est donner à voir les ressorts les mieux dissimulés du monde social, en restituant toute son épaisseur humaine ». Servir les riches : les domestiques chez les grandes fortunes, d'Alizée Delpierre, fait partie de la collection « L'envers des faits », des éditions La Découverte. L'auteur, sociologue, chercheuse au Centre de sociologie des organisations, s'est plus particulièrement intéressée aux domesticités, aux grandes fortunes et aux travailleuses immigrées. Servir les riches est une enquête sociologique qui a pour but d'étudier les domestiques et les riches qui les emploient ; Alizée Delpierre a réalisé, sur une période de plusieurs années, de nombreux entretiens avec les domestiques et leurs patrons. Elle a également travaillé « en immersion » comme domestique dans plusieurs familles. Elle a pu pénétrer ce monde clos, faire la connaissance de domestiques, recueillir le témoignage de gouvernantes, femmes de chambre et de ménage, lingères, nannies, majordomes, cuisinières et chauffeurs, autant de personnes invisibles, dont on ne connaît pas le nombre exact. Ces domestiques occupent en général une activité à temps plein ils sont à la disposition de leurs employeurs et enchaînent les heures de travail, ne disposant que de quelques jours de repos par mois. En échange de leur disponibilité et de la grande qualité de leur travail, ils peuvent bénéficier de salaires élevés pour leur qualification, de cadeaux, de prise en charge médicale, de billets d'avion… Il s'agit pour ces domestiques, qui sont souvent issus de l'immigration et sans diplôme, mais pas toujours, d'une opportunité d'ascension sociale quelquefois fulgurante. On parle d' "exploitation dorée". de leur côté, les employeurs fortunés recherchent un personnel totalement dévoué, auquel ils confient l'ensemble des tâches domestiques, ce qui leur permet de se consacrer seulement à leur travail ou aux occupations qu'ils choisissent. Pour satisfaire besoins et désirs ils fixent les règles du jeu, des règles souvent extrêmement contraignantes voire insensées. J'ai beaucoup aimé découvrir l'étude sociologique d'Alizée Delpierre, dont la lecture m'a été conseillée par une des bibliothécaires de la médiathèque où je me rends habituellement. Je ne connaissais pas du tout le monde décrit par la sociologue ; son parcours, la méthodologie qu'elle a utilisée sont décrits et vraiment intéressants. J'ai lu tous les entretiens qui sont rapportés, et j'ai eu quelquefois du mal à m'imaginer que tout ce qui était rapporté était vrai, et se déroulait à notre époque. J'étais certainement naïve, et j'ai beaucoup appris. J'ai aimé le fait qu' Alizée Delpierre rapporte des faits, et se garde de porter un jugement critique sur ces relations particulières employées/employeurs. Tout au long de l'étude, elle montre comment chacun des groupes, au final, trouve sa place au sein de mécanismes complexes. Une bibliographie très fournie nous permet d'aller plus loin ; au terme de notre lecture, nous disposons de tous les éléments pour mener à bien notre propre réflexion sur le fait de servir et d'être servi. Et c'est édifiant.
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés